L'humanité n'est pas une passante

733 mots 3 pages
Jean Rostand
L’humanité n’est pas une passante

Texte depuis « l’homme, avait jusqu’ici, le sentiment…..mourir sur la même planète.

L’auteur
Jean Rostand est un célèbre naturaliste, écrivain et biologiste français. Il est aussi historien des sciences et philosophe. Il veut faire connaître la génétique et la faire accepter du grand public.
Il entre à l’académie française en 1959.
Présentation du texte
En 1967, il publie les ‘Inquiétudes d’un bilogiste’ dans lequel il essaie de montrer l’importance de la biologie et son impact universel.
Le texte étudié vient après un appel à un nouvel humanisme que Jean Rostand a lancé aux hommes.
Annonce des axes :
Une première étude démontrera l’argumentation que développe Jean Rostand avant d’exhorter les hommes à changer de comportements dans une seconde partie.

A) Arguments utilisés
1° du début du texte à la ligne 5
L’auteur fait un constat ; l’homme s’est fait une fausse idée de la planète. Il pensait que la nature était inépuisable et contenait de ressources infinies. De manière inconsciente, il n’a pas prévu de les préserver. C’est l’attitude d’un homme irresponsable.
On note le champ lexical du gâchis : souiller – gaspiller
L’emploi de l’imparfait dès le début du texte ‘avait – pouvait’ sert à montrer que le temps du gaspillage est maintenant révolu.

Si l’homme le veut :’ il lui faudrait apprendre’ : l’emploi du conditionnel marque la possibilité de choix que l’homme peut faire. Il peut changer d’attitude si il le veut. Ce changement dépend de son unique volonté.
D’irresponsable, l’homme peut devenir responsable du destin de la terre. 2° ligne 6 à 21
Cette prise de conscience amène l’homme à s’inquiéter et à réfléchir.
Réflexions de l’homme :
Les 30 dernières années ont révélé à l’homme l’ampleur des ravages qu’il faisait dans la nature et lui ont fait prendre conscience de la necéssité d’un changement d’habitudes.
Le deuxième paragraphe commence par une notion de temps opposée

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