L'identité
Nous confondons souvent identité et appartenance. Quand on nous demande notre identité, nous répondons par notre appartenance à un groupe ou une ethnie or cette affirmation est une erreur de logique et de raisonnement.
Les papiers d'identités n'ont pas toujours existé, ils concernaient juste les gens qu'il fallait contrôler comme les juifs au temps des nazis. Il y avait une négation de l'identité, toutes les filles juives s'appelaient Sarah par exemple. Nos papiers d'identité servent à nous retrouver et c'est l'existence des papiers qui nous protège.
Nous sommes une somme d'appartenance qui s'arrête que je jour de notre mort. L'identité peut donc se définir comme une somme d'appartenance, elle n'est jamais limité qu'a une seule appartenance.
L’identité, soit elle est mouvante (appartenance qui évolue) soit elle est juste « moi-même ») et finalement elle n'est pas grand chose.
De plus nous faisons une confusion entre identité et appartenance et si identité il y a, nous sommes la somme d'une multiplicité d'appartenance.
Toutes formes de discrimination nées du fait de réduire un individu par une seule caractéristiques.
L'identité introuvable :
Finalement, l'identité d'un individu est introuvable. Elle n'indique que des appartenances. Cette liste n'est jamais définitive, elle ne le sera que lorsque nous serons morts. L'identité est instable. Sartre , « L'existentialisme est un humanisme » : L'homme se construit par ses actes . Sartre défend l'idée que l'identité n'est jamais figée, je suis toujours libre d'agir, je ne suis pas toujours un lâche ou un héros. Mon identité est ouverte. Dire d'un individu qu'il a telle identité, c'est le limité voie le fermer.
Définir quelqu'un de manière définitive c'est le privé de liberté de changer.
Dangereuse utilité de l'identité nationale :
Problème d'immigration par rapport à l'identité nationale. Qu'est ce qu'être français pose le même problème que pour la question « Qui suis je? »
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