L'impact de la crise financiere sue l'economie marocaine
L'amélioration du niveau de vie ou de pouvoir d'achat des américains surtout ceux à faiblesrevenus, c'était l'objectif ultime des responsables américains, et la décision prise pour atteindre cebut n'était pas l'augmentation des salaires de cette classe sociale, mais la distribution de crédits avec un taux d'intérêts plus bas (peut être égal à 1), cette décision est prise par l'ancien président des réserves fédérales (FED) Alan Greenspan et ses collaborateurs. Les banques ou les établissements de crédit commençaient alors à distribuer de crédits (crédits immobiliers, crédits à la consommation, cartes de crédit…) à des ménages représentant d'importants risques d'insolvabilité, avec des facilitations de remboursement, partant par le principe que dans les 2 premières années, l'emprunteur ne rembourse presque rien, mais le vrai remboursement commence à partir de la troisième année, les établissements de crédits prenaient le logement comme garantie.
Ces emprunteurs avaient l'idée que les primes de remboursement vont diminuer avec la diminution continue du taux d'intérêt, et que la valeur de leurs immobiliers ne cesse pas d'accroitre voir même se doubler (presque à chaque trimestre), et qu'ils vendent leur patrimoine, une partie pour payer l'emprunt, et le reste se considère comme bénéfice pour l'emprunteur.
C'était bien passé comme ça, mais malheureusement que ça n'a pas continué dans ce rythme, et qu'à un moment donné, les responsables se réveillaient pour décider l'augmentation du taux d'intérêts, ainsi la valeur de l'immobilier a baissé, la conséquence était alors la difficulté de remboursement par les ménages, où ils étaient obligé de quitter leurs logement, qui entraient aux saisies. Mais vu que la valeur du logement a baissé, les banques se trouvaient dans des problèmes de liquidités, c'est pourquoi plusieurs banques ont fait faillites, et les vivantes arrêtent de prêter entre eux pas crainte que les autres font également faillites. Là, on est