C'est à partir du 11 novembre 1942 que la zone libre est envahie par les Allemands et les Italiens, suite au débarquement allié en Afrique du Nord le 8 novembre. Dès lors, la zone libre est appelée « zone Sud » et la zone occupée est appelée « zone Nord ». Jusqu'à lors, le Sud du pays faisait partie de ces endroits de refuges, où les français y éprouvaient un sentiment de "presque-répit". L'occupation, avec ses restrictions et maintenant ses menaces rependues à travers toute la nation, ne crée nullement un climat favorable. C’est le temps où les bombes s'ajoutent aux menaces du S.T.O, des arrestations...
En effet, à partir de 1942, les soldats allemands sont partout, ils contrôlent la totalité du pays et font régner leur domination.
Ainsi, alors que l'occupant pensait obtenir par sa propagande l'acquiescement ou du moins la passivité de la population, un climat d'insécurité s'installe peu à peu ; les autorités renforcent les mesures de répression : couvre-feu et restrictions draconiennes des déplacements, qui accroissent les réactions de rejet.

C'est ainsi que lors de l'arrivée des Allemands dans la zone non occupée, contrairement aux grandes ville les « ont dit » dans les livres et ce qu'on nous apprend, le couvre feux qui arrive après 11 novembre 1942 n'était pas permanent : c'est à dire que lorsque les troupes de résistances, s'attaquer aux allemands par des assassinats ou encore par sabotages, c'est dans ces circonstances là que le couvre feux était imposé aux Agenais et aux communes dans les alentours vers 20h, les habitants devaient alors fermer les volets et se coucher. Les troupes allemandes rodaient dans la ville et les communes. Ainsi sans autorisation (Ausweis), il était strictement interdit de sortir la nuit ou après le couvre feux.
Les juifs français étaient alors

En avril 1942, Laval revient au pouvoir et essaye de promouvoir la politique de la « Relève », c'est-à-dire, le départ en Allemagne de jeunes travailleurs français dans le cadre