l'étude de cas
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COURS: Classement et Instruments de recherche
Date : 19 octobre 2013
L’étude des trois plans de classification va nous permettre d’analyser en profondeur tout en faisant ressortir les points qu’ils ont en commun, si le processus utilisé est identique aux autres plans de classification et s’ils respectent les principes du respect des fonds et tous les règlements qui sont reliés à ce sujet. D’abord, commençons avec le plan de Charles-Antoine-Ernest Gagnon qui est né à Rivière-Ouelle le 4 décembre 1846, qui était notaire et qui a occupé pas mal de positions dans la fonction publique; puis, est décédé à Québec, le 11 juin 1901 à l’âge de 54 ans et 6 mois. D’après l’article premier du code civil de Québec : « tout être humain possède la personnalité juridique : il a la pleine jouissance des droits civils. ». De ce fait, le plan de classification Charles-Antoine-Ernest Gagnon doit être considéré comme un fonds d’archives personnelles et familiales puisqu’il contient un ensemble de documents et d’activités dont il était le créateur. C’est un ancien fonds qui date depuis plus d’une génération. Ce plan est bien détaillé. Les documents sont bien identifiés et ont tous une codification. Il a un nom. Les documents sont classés en série, sous-série et en ordre alphanumérique et ils ne sont pas mélangés. Ce plan de classification respecte bien les critères du respect des fonds, Charles-Antoine-Ernest Gagnon est le responsable des documents créés, accumulés et utilisés dans le cadre de ses fonctions. C’est un fonds ouvert et fermé dans le sens que le créateur du fond a partagé ses documents à un autre organisme qui les a recueillis par la suite. Dans ce plan de classification figure en tout premier lieu ses activités personnelles identifié avec la codification ayant pour série S et la cotation 1, ce qui donne : S1; et la sous-série : SS1, qui contient ses documents