L"education sentimale, germinal et les miserables comparaison
Nous avons ici trois roman écrit au 19eme siècle, celui de Flaubert avec l'éducation sentimentale, Zola avec germinale, et Hugo avec les misérables.
Nous allons voir dans 1er temps les points communs dans la représentation du peuple entre Flaubert et Zola, puis dans un 2eme temps en quoi ces deux texte s'oppose a celui de Hugo.
Nous pouvons voir que Flaubert et Zola évoque tout deux l'idée d'un peuple en révolte. Zola nous décrit des mineurs grévistes, affamés, et enflammés par la colère devant la baisse de leurs salaires et l'échec des négociations, ils sont prêts a tout pour obtenir satisfaction, donc ils deviennent violent. Ainsi « la colère, la faim, ces deux mois de souffrance et cette débandade enragée au travers des fosses.. » cette citation nous montre que le peuple déboule dans la ville pour montrer leurs mécontentements. C'est un peuple vainqueur que nous décrit Flaubert, ainsi « et le peuple, moins passa vengeance que pour affirmer sa possession, brisa, lacéra les glaces et les rideaux, les lustres, les flambeaux, les tables, les chaises, les tabourets, tous les meubles,jusqu'à des album de dessins, jusqu'à des corbeille de tapisserie. Puisqu'on était victorieux, ne fallait-il pas s'amuser! » cette citation montre que le peuple est révoltés, et comme ils sont victorieux, ils détruisent tout sur leurs passage, pour montrer que c'est eux les vainqueurs .
Nous pouvons voir aussi que ces deux écrivains évoque l'idée d'un peuple révolutionnaire. Zola ainsi que Flaubert évoque la marseillaise, qui est un chant guerrier, révolutionnaire.
Mais nous pouvons voir aussi un peuple ouvrier. Zola évoque les mineurs de Montsou, qui chante la marseillaise ainsi « les yeux brulaient, on voyait seulement les trous des bouches noires, chantant la marseillaise » ils ont étaient vu par Mme Hennebeau et ses invités, qui les ont trouvés atroce.
Flaubert lui évoque un peuple de Paris, qu'il mentionne « un prolétaire a barbe