les biais cognitifs chez les québécois
L’objectif est de cet recherche est de tester l’existence de biais cognitifs chez les Québécois. Cette recherche nous fait réfléchir sur comment les biais cognitifs affectent notre perception sur les individus qui nous entourent.Tout d’abord, lorsqu’on parle de biais de confirmation, l’effet de halo et le biais social ça nous ramène aux différents biais cognitifs. Les raccourcis mentaux qu’on connait aussi sous le nom de biais cognitifs sont des erreurs mentales dans nos pensées (Gratton, Gagnon St-Pierre, 2020). Ces conceptions erronées que l’on interprète affecte nos perceptions sur des situations ou encore sur des individus dans la société (Gratton, Gagnon St-Pierre, …afficher plus de contenu…
L’auteur est Philippe Couture. Il est un journaliste et rédacteur.Dans cet article de journal, l’auteur touche sur les impacts de la désinformation. En premier lieu, les fausses nouvelles circulent plus largement en utilisant les émotions fortes (Couture, 2020 p.2). De ce fait, croire aux fausses nouvelles créées de l’anxiété. De plus, cet article démontre qu’un Québécois sur six aurait tendance à souffrir d’anxiété lié à la pandémie à force de croire aux fausses nouvelles (Couture, 2020 p.2). La désinformation amène aussi de la confusion puisque les informations vérifiées et vérifiables se perdent dans l’océan de contenus ce qui affectent la capacité à distinguer le vrai du faux (Couture, 2020 p.2). Ce facteur de confusion amène les individus à ne pas faire confiance aux institutions politiques ou médiatiques (Couture, 2020 p.2). La désinformation provoque aussi de la violence. Les tensions sociales augmentent dans la société.