L’argent est-il un facteur de la dégradation du sport ?
La charte olympique créée en 1896 puis modifiée par une session du Comité international olympique en 2010 présente les différents principes de l’olympisme. Cette charte promeut notamment les valeurs éthique, éducative, morale, la gratuité du sport et l’équité. Dans « La belle époque », Albert Camus montre que le sport a une valeur éducative, qu’il peut permettre d’apprendre la morale. Je partage l’avis de la journaliste Marie Guichoux qui estime que les valeurs partagées entre les sportifs comme l’esprit d’équipe, le dépassement de soi ou le fair-play permettent la victoire. Le sport serait donc vecteur d’un idéal, de la perfection. Je pense que grâce au sport, l’homme peut accroitre ses qualités physiques, intellectuelles et morales.
Cependant, depuis la médiatisation du sport, l’argent est entré en jeu. Il a alors crée des excès, des tromperies et semble manipuler l’univers sportif au détriment de la pratique sportive. Dans L’homme qui rit de Victor Hugo, je constate que les paris peuvent dénaturer le sport. Des sommes d’argent étant en jeu, les compétitions peuvent alors être truquée et ne plus refléter les sportifs à leur juste valeur. Ces athlètes subissent d’ailleurs une grosse pression à cause de tout l’argent qu’on a misé sur eux du fait de l’hypermédiatisation des évènements sportifs au niveau mondial. . Comme nous le montre le personnage de Le ventre