Èuuu
-Mettre en accusation cet homme qui a prononcé la peine (ici je ne sais pas trop quoi utiliser comme registre).
-Pour ensuite mettre en accusation la peine de mort (ici je pourrais réutiliser les argument mis en avant par les auteurs du coprus, mais quels registres utiliser ? j'ai pansé au polémique, satirique...)
Mr le Président,
Voilà maintenant plus de vingt ans que mon pauvre père et moi avons été séparés, le même homme que vous avez condamné à mort pour une action paraît-il cent fois punissable.
Je n'avais pas quatre ans lorsqu'il parti, ma mère était déjà morte, j'ignore encore pour quelle raison, j'ai simplement ouïe dire qu'elle serai morte en me donnant la vie.
Un Curé m'a recueuillie sur les marches de son église, il m'apprit à lire et à écrire.
Ce père de substitution me donnait tout l'amour de son corps, mais cela ne pouvais pas combler le manque d'amour d'un père et d'une mère.
J'ai grandi avec ce manque qui ne fut jamais comblé, et qui ne le sera probablement jamais.
Lorsque j'avais de la peine, je n'avais pas de père pour me serrer dans ses bras, pas de mère pour me consoler avec des mots doux et rassurants.
Lorsque j'était pleine de joie, il n'y avait ni père ni mère pour la partager.
Monsieur le président,
voila maintenant plus de vingt ans que mon père a été séparé de moi, ce même homme que vous avez condamné à mort pour un acte qui, selon vous aurait valu une telle peine.
je n'avais que 3 ans lorsqu'il fût éxécuté à l'amphithéâtre, ma mère, elle, était déjà morte lorsqu'elle ma mise au monde. j'ai été recueillis par de braves gens qui m'ont donné tout l'amour de leurs âmes, mais cela ne suffisait point à combler l'amour d'une mère et d'un père. ce fût un manque encore plus immense lorsque j'avais de la peine.
Il y a très peu de temps, mes parents de substitution m'ont fait lire le journal intime de mon