La serre rosicole au Kenya
Le Kenya est un pays émergent d’Afrique qui domine l’industrie florale du continent. Aujourd’hui, c’est le secteur agricole le plus dynamique car le climat est très favorable à la culture de la rose. Ce secteur joue un rôle primordial dans le développement économique du pays après le thé, la 1ère source de revenue kenyane. Le secteur floricole est un des premiers contributeurs d’emplois au niveau national et une filière exportatrice majeure. 94% des fleurs cultivées sont exportées vers l’Europe.
En effet, l’industrie florale kenyane est installée dans la vallée de Naivachi, qui est parmis le plus étendue de grand domaine coloniaux au kenya dans le lift valley. Cette vallée a été modélisée et exploitée au file de temps pour devenir un grand domaine horticole du continent. Le Kenya comme d’autre pays d’Afrique a été colonisé et c’est grace à ce système que la culture de la rose s’est développé.
La rose étant une culture très exigeante, la kenyane est une culture sous serre, financée d’une grande partie par les investisseurs étrangers d’une part et les natinaux d’autre part. Parmis les investisseurs étrangers, il y a la Hollande qui a délocalisé une unité de production, la France qui finance les serres à traves la société RICHEL et l’Israël fournissant les systèmes d’irrigation.
L’exploitation de la rose kenyane est un processus réticulaire et aréolaire mise en place pour assurer la qualité et la commercialisation de cette rose dans le monde. Cette cconfiguration est produit de la mondialisation. De ce fait, l’industrie horticole kenyane est une industrie de point modélisée qui a joué un rôle dans la reconversion territoriale spatiale.
I. Les investissements directs étrangers et l’engagement national pour la rose
II. La complexificité de la mise en culture florale