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Nuit Rhénane Poésie Auteur : Apollinaire Introduction : Premier poème des neuf poèmes réunis sous le nom de Rhénane  ils se rapportent à la Rhénanie, Région d’Allemagne ou Apollinaire a travaillé en tant que percepteur dans cette région. Ce poème est d’abord peinture d’une scène de Taverne puis le poète opère le glissement sans doute à la faveur de l’ivresse. Nous allons voir comment ce glissement peut s’opérer tout en étudiant la vision de la femme et de l’art poétique. I. Une scène de taverne :

des élèves qui doivent répéter sans cesse la leçon. En revanche, les autres répétitions présentes dans le poème suscitent une forme de musicalité, comme si ce poème pouvait être chanté. 5. Pourquoi peut-on penser que « l’oiseau-lyre » est un jeu de mots ? On peut penser que le poète a choisi le terme « oiseau-lyre » pour jouer sur l’homonymie entre « lyre » et « lire ». La lecture apparaîtrait ainsi comme un moyen de s’évader de la monotonie. Par ailleurs, la lyre fait également référence à la poésie

donc dire que les membres du OULIPO créent des contraintes LA LITTERATURE OULIPIENNE EST UNE LITTERATURE SOUS CONTRAINTES On définit leur auteur comme "un rat qui construit lui-même le labyrinthe dont il se propose de sortir". Ce labyrinthe est de mots, de sons, de phrases, de paragraphes, de chapitres, de livres, de bibliothèques, de prose, de poésie, et tout ça... Je peux également vous citez Jean Queneau (zazie dans le métro Comme vous le voyez cette façon d’écrire est loin d’être courante

l'auteur nous montre aussi les point communs entre l'arbre et le navire v.8 « Portant toujours le front jusqu'au près des Etoiles ». La métamorphose provoque un changement de nature, de lieu exprimé à l'aide de glissements lexicaux grâce à des jeux de mots, des sonorités qui traduisent le passage lent d'un monde à l'autre. B. La réflexion sur la vie Le rôle du destin Ce thème ce développe dans le 1er tercet. Le pronom personnel « je » qui parle évoque les dangers du vaisseaux et ceux qui

langage soutenu.• Les champs lexicaux de la fatalité, du devoir, de la faute…• Les allusions à l’autorité de Dieu.Le registre comiqueLe registre comique est associé au genre de la comédie. On distingue différentes formes de comique : le comique de mots (jeux de mots, calembour, polysémie, jeu sur les sonorités) ; le comique de répétition (le dialogue de sourds, répétitions d’expressions, de situations) ; le comique de caractère ou de geste (on peut alors être attentif à la rapidité du rythme) ; le jeu sur

jamais rencontré. C’est donc l’histoire d’un cycle infini à la base d’un questionnement plus profond. En effet, la pièce « En attendant Godot » cache énormément de mystère puisque derrière son apparente simplicité du langage et l'humour des jeux de mots, on peut voir apparaître une partition d'une extrême poésie. C’est dans cette optique que l’on peut se demander dans quel mesure « En attendant Godot » de Samuel Beckett est l’héritière de ce renouveau théâtrale pour enfin comprendre les véritables

prend donc évidemment le parti des choses, cherchant à leur donner la possibilité de l’expression à travers la polysémie des mots. Le poète devient alors pour Ponge une sorte d’équivalent neutre de l’objet lui-même et se transforme en véritable objet littéraire, « un objeu » mot qu’il utilise d’ailleurs de nombreuses fois dans ses recueils. Par l’utilisation de nombreux jeux de mots, de sons ou de graphiques, la poésie de Ponge devient une sorte de redoublement du réel, cherchant à abolir la distinction

est répété plusieurs fois : « aimer » (v.2), « aimez » (v.2), aux vers 6, 8, 9, 10, « aime » (v.14), « amour » (v.4). La majuscule du premier « aimer » donne une dimension sacrée de l’amour. « Aimez moi » est répété plusieurs fois. b) Ce jeu de mots est savamment mis en valeur par la conjonction de plusieurs procédés : · Effet de chiasme : « Marie ... Aimer ... aimez ... Marie » · Le verbe aimer se trouve milieu d’un vers, à la fin du premier hémistiche ou au début du second. Le verbe encadre

• Les champs lexicaux de la fatalité, du devoir, de la faute… • Les allusions à l’autorité de Dieu. Le registre comique Le registre comique est associé au genre de la comédie. On distingue différentes formes de comique : le comique de mots (jeux de mots, calembour, polysémie, jeu sur les sonorités) ; le comique de répétition (le dialogue de sourds, répétitions d’expressions, de situations) ; le comique de caractère ou de geste (on peut alors être attentif à la rapidité du rythme) ; le jeu sur

Que signifie le rire ? Qu’y a-t-il au fond du risible ? Que trouverait-on de commun entre une grimace de pitre, un jeu de mots, un quiproquo de vaudeville, une scène de fine comédie ? Quelle distillation nous donnera l’essence, toujours la même, à laquelle tant de produits divers empruntent ou leur indiscrète odeur ou leur parfum délicat ? Les plus grands penseurs, depuis Aristote, se sont attaqués à ce petit problème, qui toujours se dérobe sous l’effort, glisse, s’échappe, se redresse, impertinent