180 Mots

Raymond Devos Intro : Qui suis-je ? I/ parcours artistique Raymond Devos avait hérité de sa mère une grande part de ses talents artistiques. Agnès Devos adorait faire des jeux de mots et elle jouait aussi du violon et de la mandoline. Il découvre très tôt son don pour raconter des histoires et surtout pour captiver son auditoire. Élève à l’Institution libre du Sacré-Cœur à Tourcoing, il doit arrêter ses études à 13 ans C’est donc par lui-même qu’il parfait sa culture et sa maîtrise de la langue

le Comte en le qualifiant de « bon maître » et en l’appelant « mon excellence ». Il est soucieux et pointilleux de sa réputation : il a tout de suite remarqué les giroflées écrasées et il dit avoir une réputation à défendre. b. Comique de mots Le langage est pittoresque (celui d’un jardinier) : « juro » « oui-da ». philosophie triviale qui se manifeste dans cette réplique, syntaxe : »Monseigneur dit si vous ne devinez pas ». On a un jeu de mot entre « gris » et « ténébreux » et avec le

l’enseignant. | |A) Lecture silencieuse, puis à haute voix, de quelques poèmes (5 ou 6) à dominante « pratique ludique de la langue », « jeux | |structuraux » et « jeux de mots ». Par exemple : | |            Ce qui est comique | |Savez

charrue, Dioclétien plantant ses choux, et les empereurs de la Chine inaugurant l’année par des semailles » = Discours appuyé sur des connaissances littéraires et historiques très éloignées de la réalité normande. Les séries de phrases nominales ou de mots isolés contribuent à donner un aspect très concret à cet ensemble de propos. De son côté, le discours de Rodolphe a aussi ses caractéristiques, qui le rendent assez proche de celui du président du jury : « Rodolphe, avec madame Bovary, causait

permettre de déterminer les deux trois ou quatre grands axes qui vont constituer les grandes idées du texte. La rédaction de l’introduction : 6 points que l’on dégage. Première élément la phrase introductive d’accroche: par exemple une citation, un jeu de mots ou un élément d’actualité. Évitez de mettre un bout du texte. La phrase doit avoir un rapport avec le sujet. Deuxième élément on situe le texte dans son contexte, il faut expliquer le titre, l’auteur, la date bien situer le texte : paragraphe bref

grand que moi, Plus grand que moi. Et il est plus âgé que moi, Et plus fort que moi. Et ses bras son plus long que les miens. Mais en tout JB chante avec moi Je vais m'entrainer Peut etre en me mettant du coté du frisson. Sans jeu de mots, il a été soulevée par la puissance et la Volonté. Comme Luke avec la force,si une poussé te fait basculer. Comme Cobe de la 4e, de l'eau glacée et du sang Je dois être le meilleur , Et oui Nous volons le plus haut Comme David et Goliath

n'est qu'une variation sur un mot : aimer. Il est répété plusieur fois : « aimer » (v.2,9,10,14). La césure (v.2) met en valeur le verbe aimer à l'infinitif ( idée d'eternité) et à l'imperatif, ce qui donne une dimension sacrée de l'amour. Ce jeu de mots est savamment mis en valeur par la conjonction de plusieurs procédés : effet de chiasme : « Marie … Aimer... aimez … Marie » ;

nous reviendrons plus longuement au moment de la préparation à l’oral (important dossier dans Théâtre aujourd’hui n° 6)  Difficultés particulières du texte shakespearien : - Obscurité de certains passages, avec débats sur la transcription de certains mots : par exemple « sledded polacks », p. 45. Par exemple, p. 61, « solid flesh » ou « sullied flesh » (chair solide ou chair souillée). Compréhension littérale du sens n’est pas toujours évidente. - Densité de certains passages et en particulier problème

avec le prologue ? (bon sens dans ses paroles burlesques). • Satire de la parole inefficace. -> Seul ordre du prieure = enfermer le seul moine qui défend l’abbaye -> Souci spirituel décalé. u Défense du moine • Personnelle -> Chiasme et jeu de mots mettent en valeur la confusion entre le profane (boisson = plaisir) et le sacré (le vin de messe) -> Apostrophe « Monsieur le prieur » sépare le prieur du reste de l’assemblée. • Défense de la cause collective -> Adressée aux moines « vous autres

subterfuge au roi. Rime = recherche de l’esthétique, de la beauté littéraire. Pas donné à tt le monde. Et en rimant bien souvent je m’enrime ; 2ème vers annonce le ton de sa pauvreté. En faisant ces rimes il s’enrime, cad il s’enrhume. Jeu de mots. => montre qu’il est dans le besoin mais élégament. Rima= blessure occasionée par le froid. Sur les deux premiers vers le mot ’rime’ apparait déjà 3 fois. Schéma du poème apparait = au premier vers, le mot rime sans équivoque. Ensuite au vers