2e régiment de hussards

balustrades ornées de têtes de Méduse séparées par des boucliers antiques et des palmettes. Les frises de l’entablement (H : 2,12m). À l’Est : Les Grands Personnages de la Révolution et de l’Empire de S. BRUN Cavaliers et Grenadiers de C-R LAITIÉ Hussards et Sapeurs du génie de G. JAC-QUOT. À l’Ouest : Allégorie de L-D CAILLOUETTE ; Retour des armées d’Italie de G-B SEURRE Retour des armées d’Egypte de F. RUDE. Les écoinçons des arcs : Renommées de J. PRADIER (grands arcs) L’infanterie de T. BRA La

cavalerie cuirassée pour prendre l’offensive et exécuter 1 Voir pour cette partie, outre les ouvrages déjà cités de RÜSTOW, JÆHNS, DELBRÜCK: A history of the Art of War : the Middle ages from the fourth to the fourteenth century, by Ch. OMAN. London, 1905 2e édition ; Origines de la tactique française, par E. HARDY. 1881 ; DELBRÜCK. Geschichte der Kriegskunst im Rahmen der politischen Geschichte ; 3e Teil : « Das Mitelalter ». Berlin, 1907. 8 LA TACTIQUE DE L’INFANTERIE AU XVIIIe SIECLE les manœuvres

juillet 1907 et morte à Paris le 28 octobre 1993, mariée en secondes noces avec le réalisateur François Gir, et Charles (Carlos Teolindo Javier), né à Courbevoie le 12 septembre 1908 et « mort pour la France » à Rethel le 20 mai 1940 (soldat au 152e régiment d'infanterie), « fauché par une mitrailleuse allemande4 ». Personnage un peu fantasquen 3, son père, qui ne peut plus exercer sa profession d’avocat depuis son installation en France, s’improvise diamantaire avant de partir plusieurs années au

service de la France. Ces compagnies constituent les premiers noyaux du futur régiment le Royal-Corse 1739 : mai, les pieve de Casinca, Ampugnani, Campulori, ainsi que Corte et le Nebbiu, fournissent des compagnies de volontaires corses à Maillebois, qui disposera avec les six bataillons d'infanterie, des hussards et de l'artillerie débarqués à Bastia, d'une armée de 16 bataillons à 510 hommes chacun, deux escadrons de hussards à 100 hommes et 60 miquelets. Avec les troupes génoises, les effectifs s'élèvent

guerre, il avait quitté Rognes, tout saignant du drame où il venait de perdre sa femme Françoise et les terres qu'elle lui avait apportées ; il s'était réengagé à trente−neuf ans, retrouvant ses galons de caporal, tout de suite incorporé au 106e régiment de ligne, dont on complétait les cadres ; et, parfois, il s'étonnait encore, de se revoir avec la capote aux épaules, lui qui, après Solférino, était si joyeux de quitter le service, de n'être plus un traîneur de sabre, un tueur de monde. Mais quoi

(1896) “Les exploits du brigadier général Gérard’’ Roman Gérard entra en 1787 dans le 5e régiment de hussards. Il fut assez longtemps dans les grades subalternes, mais les guerres de l'Empire lui fournirent l'occasion de déployer tout son talent et de s'élever aux premiers grades. Devenu major du 3e hussards le 6 brumaire an XII, il obtint le 4 germinal suivant la Légion d'Honneur. Colonel du 2e hussards le 7 octobre 1806, il fit partie de la Grande Armée en 1806 et 1807. Le 17 mars 1807, il repoussa

(1896) “Les exploits du brigadier général Gérard’’ Roman Gérard entra en 1787 dans le 5e régiment de hussards. Il fut assez longtemps dans les grades subalternes, mais les guerres de l'Empire lui fournirent l'occasion de déployer tout son talent et de s'élever aux premiers grades. Devenu major du 3e hussards le 6 brumaire an XII, il obtint le 4 germinal suivant la Légion d'Honneur. Colonel du 2e hussards le 7 octobre 1806, il fit partie de la Grande Armée en 1806 et 1807. Le 17 mars 1807, il repoussa

Céline : « Allez-vous-en tous ! » « Allez rejoindre vos régiments ! » - Voici la phrase exclamative contenue dans le texte de Céline : « C’est par là ! » - Voici les phrases interrogatives contenues dans le texte de Céline : « Où qu’il est, le régiment, mon commandant ? », « Où que c’est Barbagny ? » b) Les questions sont mal posées. Les voici posées correctement : - Où est-il, le régiment, mon commandant ? / Où est-ce qu’il est le régiment, mon commandant ? - Où est-ce, Barbagny ? / Où est-ce que

est aux républicains) - l’hymne national devient La Marseillaise, les Chambres rentrent à Paris (Furet : « La Révolution française entre au port ») - début du plan Freycinet (construction de chemins de fer, jusqu’en 1914) - loi Paul Bert : les « hussards noirs » (Charles Péguy) de la République sont formés dans les Ecoles Normales (cf La gloire de mon père, Marcel Pagnol, 1957) 1880 - la République adopte le 14 juillet comme fête nationale (ainsi que le drapeau tricolore) - loi d’amnistie des

et asiatique de la Turquie, hommes de main, du reste, et suffisants pour le rôle de force, de violence et d’audace qu’ils avaient à remplir. Embarqués à Smyrne ou à Constantinople, les Turcs étaient, aussitôt leur arrivée, incorporés dans un des régiments de la milice, qui conserva sa division par oudjacs, telle que l’avait établie Khaïr-el-Dinn, et classé dans une de ses sept casernes(1). A partir de ce moment, il était soldé, il prenait le titre d’aniouldach, jeune soldat. Au bout de trois ans,