2eme Chambre Civile 12 Septembre 2002

1875 car ces 3 lois n’avaient rien réglé du fonctionnement des institutions. Les élections apportent de plus en plus de Républicains et ces lois doivent alors contrer cette tendance. Les lois prévoient un chef de l’Etat qui peut dissoudre les chambres, pas de Premier Ministre, il n’y a qu’un ministre qui de facto es chef du gouvernement (ce n’est qu’avec la Première Guerre Mondiale qu’apparaissent les chefs de gouvernement sans portefeuille ministériel.). Et ce n’est qu’en 1936 qu’apparaît

CCiv distingue 3 catégories de règles : les modalités de l’obligation la transmission de l’obligation fera l’objet d’un chapitre mais n’est pas envisagé comme partie dans le Code Civil l’extinction de l’obligation La preuve de l’obligation. Chapitre 1 : Les modalités de l’obligation Article 1168 du Code Civil, les modalités de l’obligation sont les différents visages que peut prendre une obligation. Dans sa forme la plus simple, l’obligation est lien de droit par lequel une personne, le débiteur

gouvernement est responsable devant le chef d’Etat et devant le parlement. Le pouvoir exécutif est donc un exécutif bicéphale (chef d’Etat&gouvernement). Le pouvoir législatif, lui, peut être soit monomérale (avec une seul chambre) ou soit bicaméral (parlement avec deux chambres : l’assemblée nationale et le sénat). La relation entre pouvoir législatif et exécutif est collaborative. On dit qu’un régime parlementaire est moniste quand il y a effacement progressif du rôle du chef de l’Etat et donc

l'Etat. Mais elle joue avant tout un rôle symbolique et de représentation. Elle continue à exercer trois droits essentiels : le droit d'être consultée, le droit de conseiller et celui de mettre en garde. A la suite des élections législatives de la chambre basse du parlement, le leader du parti ou de la coalition majoritaire est en général nommé Premier Ministre par la Reine, pour servir un mandat de 5 ans. * Le Premier Ministre est le chef du gouvernement et il bénéficie de tous les pouvoirs exécutifs

physiques Tout être vivant ne constitue pas une personne physique. (ex : les animaux) article 528 du code civil :  « son meuble par nature les animaux et les corps qui peuvent se transporter d’un lieu à un autre »  cette vision de l’animal est critiquée par certaines qui pensent qu’on ne peut pas mettre au même niveau un objet et un animal. Un projet de loi vise à introduire dans le code civil un article 515-14 qui définit les animaux comme des « êtres vivants doués de sensibilité », cependant ils

DROIT CIVIL Éditeur code civil => 2011 => DALLOZ / LEXISNEXIS – LITEC LEGIFRANCE => site officiel comportant tout les textes de droit Plusieurs termes: jurisprudence, cour de cassation (arrêts) Introduction en droit: Droit: ensemble de règles juridiques plus ou moins complexes/abstraites s'appliquant à tout ceux qui vivent dans une même société, règles qui vont fixer la vie en société. Sens plus subjectif: on envisage le droit comme quelque chose de plus personnel (droit de vote par

1 Introduction Les expressions varient en ce qui concerne cette matière. Elle peut s’appeler également droit judiciaire privé ou droit processuel. Le terme de procédure civile : La procédure selon Couchez « s’entend d’un ensemble d’actes ou de formalités dont l’accomplissement permet à une juridiction de trancher un problème juridique ». Le mot latin procedere signifie aller en avant. Ce verbe inclus donc un mouvement, une marche à suivre. Il évoque au sens large les formalités. Ce qui frappe

La France présidentielle : l’influence du suffrage universel sur la vie politique, Paris, Presses de la Fondation nationale des Sciences Politiques, 1995. René Rémond, La République souveraine : la vie politique en France (1879-1939), Paris, Pocket, 2002. Jean-François Sirinelli et alii, Dictionnaire historique de la vie politique française au XXe siècle, Paris, PUF, 2003. Jean-François Sirinelli (dir.), La France de 1914 à nos jours, Paris, PUF, 2004. Michel Verpeaux (dir.), Institutions et vie politique

§1 : La notion juridique de patrimoine 11 §2 : Le régime juridique du patrimoine 11 A : L’universalité 11 B : L’unicité 11 Section II : Les biens éléments du patrimoine 12 §1 : Des choses appropriables 12 A : Des choses appropriables mais non appropriées 12 B : Les choses non appropriables 12 §2 : Les droits patrimoniaux sur les choses appropriées 13 Section III : La classification des biens 13 §1 : Les meubles et immeubles 13 A : Les immeubles 13 1 :

DONNAT) Séance n° 3 : La formation du contrat (2) : L’intégrité du consentement Programme de révision : Les vices du consentement : l’erreur, le dol, la violence ; La protection du consentement I- TEXTES Document n° 1 : Articles du Code civil II- LES VICES DU CONSENTEMENT A- L’ERREUR Document n° 2 : L’affaire Poussin : Cass. 1ère civ. 22 février 1978, D. 1978, 601, note Ph. Malinvaud ; G.A.J.Civ. n° 148 B- LE DOL Document n° 3 : Cass. soc. 16 février 1999, D. 1999, I.R. 74