3 Fondements Monotheiste

commandent (indépendamment des conséquences). Sommaire 1 Définition 1.1 La morale et l'éthique 1.2 La morale et le Droit 1.3 La morale et la religion 1.4 La morale et la technique 2 La morale religieuse 3 La morale selon les philosophes 3.1 Philosophie antique 3.2 Philosophie moderne 3.3 Philosophie contemporaine 4 La morale selon les théologiens 5 Débats contemporains 6 Citations 7 Références 8 Bibliographie

veux suggérer qu’il est vrai que Socrate ne croit pas aux dieux auxquels croit la cité, et que l’accusation de corrompre les jeunes gens signifie pour une bonne part que ceux-ci finiront par ne plus y croire non plus (voir par exemple 26b et Euthyphron 3 ab). Je m’appuie notamment sur le fait que, dans sa plaidoirie écrite, Socrate ne cherche jamais à repousser cette partie de l’accusation. Nulle part dans l’Apologie il ne déclare qu’il croit en effet aux dieux auxquels croit la cité. Il démontre

(Torah ou Pentateuque), Les Prophètes (Neviim), et d’autres écrits (Ketouvim). Les Chrétiens lui adjoignent le Nouveau Testament (Evangiles, Actes des Apôtres, Epîtres, Apocalypse). • la Bible est un ouvrage de référence pour les trois religions monothéistes, dites justement “religions du Livre” : un livre pour les juifs, deux pour les chrétiens, trois pour les musulmans (qui y ajoutent le Coran). 1.1 • Genèse Lecture : Genèse, ch.1, “Création du monde” • la Genèse (du grec Γένεσις = “commencement”)

SOMMAIRE INTRODUCTION________________________________________________ ___________2 1- De la colonisation à l’indépendance 3 1.1 Les populations indigènes 3 1.2 La colonisation 6 1.3 Guerre d’indépendance 7 1.4 Le 19ème siècle, reconstruction d’une société mexicaine au lendemain de l’indépendance 9 2-Le positivisme de Comte 12 2.1Contexte de la montée du positivisme 12 2.2 Principes fondateurs de la pensée positiviste 14 2.2.1 La loi des trois états

et de négliger ici la religion des païens qui est « naturelle ». « Le facteur religieux que nous voyons à l’œuvre, écrit un auteur (G. de Broglie, Colloque précité, p.9), n’est pas la traduction pure de l’idée religieuse. Les trois religions monothéistes ne sont pas, par fondation, antagonistes. Elles peuvent au contraire entretenir des relations conformes à leur idéal. Le symbole de leur parenté pourrait être Jérusalem. Mais les forces religieuses qui agissent empruntent des formes religieuses

composition même de la préface. Elle est agencée en plusieurs temps. En premier lieu, et dans un esprit qui est commun à tous les philosophes, elle dénonce la superstition. Plus exactement elle en analyse 1° la cause et 2° l'usage, car, si elle a des fondements dans la nature de l'homme, elle est entretenue de manière bien peu innocente par ceux qui peuvent en bénéficier. Mais ce dont il est question sous ce nom n'est rien d'autre que ce que les hommes tiennent pour la religion. Il ne s'agit pourtant pour

siècle en Arabie. Un adepte de l'islam est appelé un musulman. L'islam a pour fondement et enseignement principal le tawhid (monothéisme, unicité), c'est-à-dire qu'elle revendique le monothéisme le plus épuré où le culte est voué exclusivement à Dieu. La religion musulmane se veut une révélation en langue arabe de la religion originelle d'Adam, de Noé, et de tous les prophètes parmi lesquels elle place aussi Jésus[3]. Ainsi, elle se présente comme un retour à la religion d'Abraham (appelé, en

populations voisines comme les Hébreux. Dans cette région, le morcellement préislamique a prévalu et l’unité ne se fera que par l’Islam. I. La situation géographique La péninsule arabique est un pays désertique, isolée par la mer sur 3 de ses côtés et reliée au continent sur le 4ème par un désert. Cet isolement est encore accentué à l’ouest par une chaîne de montagnes s’élevant le long de la Mer rouge. Cette ample plate-forme granitique recouverte de sable et de coulées volcaniques

donnée, être discutée, remise en cause ou a fortiori niée5. Il y a plus encore : l’affirmation de la sacralité de ce qui est sacré se présente comme le fondement de la religion concernée6, fondement qui, justement parce qu’il est indiscutable, n’a pas à être expliqué. Et dans tous les cas, les éventuelles “justifications” théologiques de ce fondement n’appartiennent pas en propre à la religion concernée. Nous voulons dire par là que premièrement, elles sont toujours développées a posteriori, et bien

religion dans une société? La nature d'une religion détermine l'attitude par rapport au droit. Il y a 3 cas de figure: - Les religions, les philosophies orientales: elles ont tendance à repousser, rejeter le droit normatif. Le recours au droit est un aveu d'échec (Chine). - Les religions polythéistes: elles ont tendance à tolérer le droit, ce n'est qu'un des moyens. Les religions monothéistes: elles ont tendance à induire un respect absolu au droit, car il est d'origine divine. L’étude des