Christianisme

SERIE DE RECENSIONS Présentée par Justin-Gr. Muzigwa KASHEMA Prof des Sciences et du Cours philosophique Diacre permanent LU POUR VOUS RECENSION N°4 LA PUISSANCE D’HUMANITE : du néolithique aux temps contemporains ou LE GENIE DU CHRISTIANISME Livre d’Yves ROUCAULT, éd. François-Xavier de Gulbert, 2011, ISBN : 978-27554-0451-7, 440p. L’auteur est agrégé de philosophie, docteur d’Etat et agrégé de sciences politiques. Professeur des Universités à la Faculté de droit de Paris X-Nanterre

introduit ds les programmes de 2002 (pt fort avec l’Islam) Introduction des faits religieux à l’école primaire Pas d’affaiblissement de la laïcité Objectif  = donner des clefs de lecture de notre sté → notamment patrimoine Empreintes du christianisme = œuvres d’art (médiéval), calendrier, jours fériés, littérature… Mieux comprendre références Comprendre siècles suivants et chemin vers laïcisation D’un point de vue interdisciplinaire - intéressant pr domaine littéraire - artistique

rôles son mêlés, et ne son possibles que pask’il é Prophète (messager de Dieu). Il vous manque son statut dans le christianisme (qui est le même que dans le judaïsme, avec en plus une fonction de « précurseur de Jésus ») et dans l’islam (Prophète particulier des Hébreux, qui a reçu la même révélation que Muhammad, mais adressée à un autre peuple) | Judaïsme (1200 avt. JC) | Christianisme (30-50 après JC) | Islam (610 après JC) | Moïse ; Mosche ;Mussa | -Intermédiaire, messagerprophète.-sauveur/libérateur-législateur-personnage

chrétienne n’était pas une caractéristique de l’empire. Au Ive siècle, elle devient un fondement nouveau. Dans le même temps, le christianisme est une nouvelle base de départ et un lieu de rencontre avec les apportes germaniques. a. L’empereur Constantin (306-337) En 313, il décide par l’édit impérial de Milan de tolérer le christianisme, un début de l’intégration du christianisme. En 325, devenu chrétien lui-même, il dirige une assemblée, le concile de Nicée. En 330, il fonde une seconde capitale chrétienne

auctoritas-potestas » mis en exergue par Maurice Sachot dans un livre( « Quand le christianisme a changé le monde » Odile Jacob mars 2007. Ce livre écrit par un professeur d’histoire de la philosophie de Strasbourg, se situe dans la ligne de la médiologie de Régis Debray ) qu’il vient de consacrer à la manière dont le christianisme a transformé la pensée politique occidentale. La thèse de l’auteur est que le christianisme (qui s’est lui-même constitué dans les trois premiers siècles de notre ère à travers

regroupe l’ensemble du clergé. - Les fondements du christianisme : les Chrétiens croient un seul Dieu, divisé en 3 personnes : le Père, le Fils et le Saint-Esprit = la Trinité. On devient chrétien par le baptême. La Bible : livre sacré. 2 parties : Ancien Testament (Bible juive, épisodes avant Jésus : Salomon, Abraham, David, Moise, Noé…) et le Nouveau Testament (les 4 Evangiles de Matthieu, Marc, Luc et Jean, l’Apocalypse de Jean, etc). C- Le christianisme, une religion à la recherche du salut http://etmaintenant

un certain nombre de caractéristiques communes à toute religion (notamment la notion de sacré), elle présente toutefois certaines limites : - Durkheim entend donner une définition neutre, mais il emploie le terme d’« Eglise », lequel renvoie au christianisme. Si une religion est une communauté de fidèle, celle-ci n’est pas forcément l’Eglise. - Surtout, la faiblesse de cette définition est qu’elle ne nous dit rien de comment la religion se vit, c’est-à-dire de la dimension de la religion comme sentiment

autre sens et ne serait plus autant tragique. Nous pourrons discuter de la présence divine en abordant premièrement le rôle qu’occupe les dieux dans Phèdre de Racine, leur relations avec les différents personnages et en terminant par l’effet du christianisme sur la pièce. Pour commencer, il fait prendre note que le rôle des dieux dans Phèdre de Racine se voit atténué compte tenu du contexte historique dans lequel la pièce fut interprétée. On peut l’observer entre autre par le fait qu’Artémis

licite à certaines conditions et est traditionnellement justifiée par divers passages du Coran avec toutefois un maximum de quatre épouses simultanément. Néanmoins, les foyers monogamiques ont toujours été majoritaires. B. Le Christianisme Dans la plupart des christianismes, le mariage chrétien est monogamique, à l'exception de l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, dans laquelle le mariage plural a été établi puis aboli en 1889. Quelques minorités, localisées aux États-Unis, pratiquent

citations) opérées par les auteurs du Nouveau Testament sur ce qu'il y aurait dans l'Ancien, et les contradictions flagrantes entre Ancien et Nouveau Testament. D'après ce livre "il existe 60 à 70% de chances qu'un juif qui envisage de se convertir au Christianisme, ou qui a déjà été converti, fasse un retour au judaïsme s'il accepte d'écouter le point de vue juif". Le pseudo-massacre des innocents Voir l'argumentaire "Debunking Every Argument of Christian Fundamentalists and Evangelists", plus complet