Environnement & Nature

du droit de l’environnement Leçon n° 2 - Les sources du droit de l’environnement Leçon n° 3 - Les principes du droit de l’environnement Leçon n° 4 - Les principes en devenir du droit de l’environnement Chapitre 2 : Le droit de la protection de la nature Leçon n° 5 - La protection des espèces Leçon n° 6 - Les instruments globaux de protection des espaces Leçon n° 7 - La protection des espaces spécifiques (le littoral et la montagne) Leçon n° 8 - La gestion des ressources naturelles (l’eau et les forêts)

servent à rien, alors quelle est la finalité de l'art et pourquoi les œuvres d'art ont-elles cette pérennité ? Des artistes, pour quoi faire ? Structure du texte : Le contexte : la sphère des productions humaines en tant qu'elle s'oppose à la nature. (Début de la première phrase) Premier critère de distinction entre les œuvres d'art et les autres productions humaines : leur durée dans le temps. (De «... on distingue » à «... les plus mondaines des choses.») Les productions permanentes

les parties prenantes et un partenariat étroit sont indispensables pour définir un schéma économique équilibré à partir d’un constat partagé. 8 - RÉSEAU FERRÉ DE FRANCE - LES TROIS ENJEUX DU RÉSEAU FERROVIAIRE Le réseau ferroviaire obéit par nature à une logique de long terme Le réseau est d’abord l’héritier d’un patrimoine industriel ancien, qui a besoin de temps pour évoluer. Le développement durable consiste à assumer collectivement ces temps de mutation. Ensuite, les projets étudiés aujourd’hui

= ce que l’homme ajoute à la nature. Si, par culture, l’homme crée un monde qui constitue son environnement, il semble que la culture soit négation de la nature. + nature : ce qui est déjà là, non transformé par l’homme. Mais (second sens) la nature de l’homme = ce qui le définit en propre, son essence. D’où : l’homme peut-il être défini comme un être culturel ? 2. Problématique et plan Parler de seconde nature, c’est présupposer qu’il y a une première nature => est-ce chronologiquement ou

exploité la nature pour sa survie passant de la cueillette et de la chasse à la transformation de ses produits. A partir du XVIIIe siècle l’exploitation de la nature par l’homme a pris de l’ampleur tant sur le plan du prélèvement que de l’utilisation des produits entrainant d’une part des déséquilibres au niveau des écosystèmes et d’autre part de la pollution. La révolution scientifique, la croissance économique et démographique sont les causes de cette exploitation effrénée de la nature. Les

savoir était de nous écouter… La matière Ensuite vient les écorces et les branches. Afin de nous sensibiliser à ce qu’était une essence d’arbre, elle nous convoqua au jardin botanique de Dijon pour une séance de découverte de la nature. Cette « leçon de chose » au parc m’a plu car j’ai appris à le regarder non plus comme un parc municipal mais comme une bibliothèque de richesses chlorophyllées. Il y avait partout des pancartes avec des noms latins qui semblaient être plus des incantations

ces connexions qui lieraient les organes et les membres nous permettrait de vivre. Cependant, ces tuyaux et ces mécanismes seraient trop petits pour être perçus par nos sens. Nos sens, nous permettent de saisir et de nous rendre compte de notre environnement et des sensations les plus intenses de notre corps, cependant nous ne sentons pas nos muscles s’oxygéner. Ce qui permet au corps d’être coordonné est l’union, ou la collaboration, entre le corps et l’esprit car en effet, l’esprit donne en quelques

du latin socius, le terme de société désigne un groupement d'hommes fondé sur des relations d'interdépendance ou d'association entre les individus. Ces relations ne vont bien sûr pas de soi et toute société peut être caractérisée par le type et la nature du lien social qui unit ses membres. Le mot reflète d'ailleurs dans ses usages courants cette diversité : parler de la « bonne société » ou de la « haute société », c'est reconnaître implicitement que la société renvoie à une réalité stratifiée, et

désert le ronge de façon alarmante. A cela , il faut ajouter la dévastation de la nature par l’homme, comme le feu de brousse, l’exploitation forestière abusive ou incontrôlée, ou une certaine forme d’urbanisation, la rareté des pluies, conséquence néfaste du fléau de la désertification, a profondément éprouvé l’agriculture, ce grand pilier de notre économie. L’homme se heurte quotidiennement à l’hostilité de la nature. ECO-CLUB est une structure animée d’une conscience qui la précède et l’oriente

problème des rapports entre la technique et la nature humaine. En effet, deux questions peuvent être soulevées dans ce domaine. D’abord, nous nous demandons ce qui fait la supériorité de l’homme par rapport au reste de la nature. Cette supériorité est incontestable car objectivement constatable : dans les faits, l’homme domine, en cela qu’il a réussi à se doter, grâce à la technique, des moyens lui permettant de maîtriser et modifier son environnement naturel, ce qu’aucune autre espèce vivante ne