A Des Oiseaux Envolés

Batholdi (place de terreaux à Lyon) … Gustave Eiffel : 1832-1923, Ingénieur et industriel français, Auteur de la célèbre Tour Eiffel et d’un nombre important de charpentes, de bâtiments à travers le monde. Edouard Lefebvre de Laboulaye : 1811-1883, ami de Bartholdi, juriste et homme politique Français, admirateur de la constitution américaine. L’œuvre : Au début idée d’Edouard Lefebvre de Laboulaye. Le projet de la statue de la liberté est confié en 1871 à Auguste Bartholdi. Elle est

romans d’horreur, avec comme sujets principaux le surnaturel et le satanisme. Dans le roman fantastique, il y a une atmosphère particulière, ainsi que des thèmes propres au genre : le diable, les monstres, les fantômes… Les romans d’horreur moderne, qui ont pour maître Stephen King, remontent directement des romans gothiques. L’horreur moderne se distingue du fantastique, dans ces romans, on a une représentation claire de l’horreur « pure », avec des descriptions très crues. L’horreur sur grand

Analyse de l’extrait de l’oeuvre Sueurs Froides,(VERTIGO) de Alfred Hitchcock.1958  Olivier  Pierre-Pipo  La nature de l’œuvre :  L’extrait choisi a été nommé par le compositeur ‘Farewell and the Tower' Cet extrait a été composé par Bernard Herrmann; en 1958, pour le film Américain Vertigo de Alfred Hitchcock.  Cette musique de Bernard Herrmann fait aujourd'hui partie des grands chef-d'œuvres de la musique de film, une musique immédiatement reconnaissable par son célèbre motif principal en forme

instruira plus les oiseaux par la cage, Quand les sociétés difformes sentiront Dans lʼenfant mieux compris se redresser leur front(...) Et que le plein midi rayonnera pour tous, Savoir étant sublime, apprendre sera doux. Un tel programme vous parait-il de nature à constituer un enseignement idéal dans le monde dʼaujourdʼhui? ! Notre système éducatif nʼas cessé dʼévoluer depuis des siècles passant de Charlemagne à Jules Ferry puis à 1968 pour enfin arriver à celui que lʼon a aujourdʼhui. Lʼéducation

ainsi que nous allons voir tout d’abord quels intérêts a la question suivante, « la poésie permet elle au lecteur de s’évader » ? Quel est l’intérêt de lire un poème ? Se cultiver ? Comblé un manque affectif ? Rien de tout cela à mon sens, la poésie permet principalement de faire jouer son imagination, de se libérer du monde réel durant un court instant, « s’évader ». Nous étudierons les poèmes suivant de manière chronologique, c’est à dire du XVIème jusqu’au XXème siècle. Nous débuterons

un ciel et un autre ciel de la forme d’un oiseau qui prend son envol. Le ciel dans l’oiseau est clair et paisible, on peut voir des nuages. Le ciel à l’arrière-plan , lui, est gris,

d’attendre le passage du chasse-neige. 4. Les citernes ont été vidées afin d’être nettoyées. 5. Les galettes ont été réussies, elles ont été dégustées par les invités. 6. Nous sommes partis à l’heure, nous sommes arrivés à temps à la gare. 7. La télévision a été livrée avec un micro-ordinateur. 8. La campagne a été ensevelie sous la neige, les maisons étaient encapuchonnées de blanc. 9. Les pétales roses sont tombés. 10. Les araignées, de motte en motte, avaient déjà tendu les fins cheveux de lumière

Baudelaire) - L'envol Champ lexical du mouvement "au-dessus", "par-delà", "meus", "agilité"‚ "sillonnes", "envoie-toi", "va", "air supérieur", "aile vigoureuse" ( métonymie), "s'élancé", "vers les cieux", "libre essor", "plane sur la vie". Cet envol est aussi évoqué par l'allitération du [m] dans Q3 "miasmes morbides", "comme", "limpides») qui montre la lourdeur du monde terrestre, par l'assonance de [eu] dans Q4 («brumeuse", "heureux", "peut", "vigoureuse", "lumineux") qui montre la legato acquise

que l’oiseau serait toujours une métaphore du poète ; il en constitue au contraire, et même très souvent, l’autre, le contrepoint. L’intériorité et la subjectivité animales échappent alors à l’homme, qui ne peut s’en saisir qu’avec difficulté. Autrement dit, si la Nature est un livre, on ne peut pas lire à livre ouvert dans l’animal. Mots clés : écopoétique ; parole animale ; Romantisme ; Hugo ; Lamartine Référence : Aude Jeannerod, « Parole poétique et parole animale : Lamartine et Hugo »

simultanées : le « Spleen », correspondant à la dépression, au malheur ( exprimé par des images de platitude, d'horizontalité, de stagnation…) et l'Idéal, tendance à l'envol vers des contrées supérieures, les valeurs comme le Beau, le Bon, le Vrai… Cette tendance à l'envol de l'esprit est constamment contrariée, dans notre misérable condition humaine, par une angoisse existentielle, liée à la lourdeur de la matière. Alors, comment faire pour que