A Deux Beaux Yeux Gautier

José-Maria de Heredia 8 Cinquième Texte : « L’esclave », Serge Lama 8 Sixième Texte : « Afrique mon Afrique », David Diop 9 Septième Texte : « Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux », Michel Berger 9 Huitième Texte : « L’esclave », Théophile Gautier 10 Neuvième Texte : « L’esclave », Chateaubriand 11 Dixième Texte : « C’était un très bon nègre », Aimé Césaire 12 Préface Cher Lecteur, La poésie est un art littéraire connu sous de nombreuses formes telles que la prose, les vers, ou les vers

CAYUELA Mathilde 1ère ES2 Anthologie de la poésie de l’Antiquité à nos jours De l'Antiquité à nos jours, en vers ou en prose, la poésie est omniprésente dans la littérature. Étymologie du mot poésie: Le mot « poésie » vient du latin poesis («poésie, art poétique, œuvre poétique»), lui-même issu du grec ancien poíêsis («action de faire, création»). La poésie est donc un art qui fabrique quelque chose mais en utilisant comme matériau le langage, en utilisant le rythme, l'harmonie et

nouvelle s'appelle Théophile Gautier, il est né le 30.08.1811 à Tarbes et est mort le 23.10.1872 à Neuilly-sur-Seine. Il était peintre, écrivain, poète et critique d'art. En 1831-32, il a publié ses premières poésies qui n'ont eu aucun succès. En 1852, il a fait Emaux et Camée, un recueil de vers, qui a fait de son auteur un chef d'école. Il a été nommé bibliothécaire de la princesse Mathilde et a fréquenté les salons littéraires du second Empire. Lors de sa mort en 1872, il a laissé l'image d'un témoin

-«Éloge de l'amour» du recueil du recueil Les amours de Psyché et de Cupidon, de Jean De La Fontaine. -«Vos beaux yeux» du recueil Poésies diverses, de Pierre Corneille. -«Il n'y a pas d'amour heureux» du recueil La Diane française, de Louis Aragon. -«Sensation» du recueil Poésies, de Arthur Rimbaud. -«Es-tu brune ou blonde ?» du recueil Chansons pour elle, de Paul Verlaine. -«À deux beaux yeux» du recueil La comédie de la mort, de Théophile Gauthier. -«Se voir le plus possible» du recueil Poésies

Živanović Mme Branka Geratović Le terme cénacle présente une innovation du XIXe siècle, et est indissociable de l'histoire du romantisme. D’abord, on va voir à quoi se réfère exactement ce terme et quels sont les événements historiques et sociales qui ont favorisé son apparition. Les cénacles ont apparu au XIXe siècle comme des nouvelles formes de sociabilité. En effet, il s’agit que, après la Révolution

| |“Si le rétablissement des sciences et des arts | |a contribué à épurer les mœurs.” | |Discours qui a remporté le prix de l’Académie de Dijon | |en l’année 1750

chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêlent L’or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton. Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant

ETUDE LITTERAIRE DU POEME DE VICTOR HUGO ‘’DEMAIN DES L’AUBE’’ EXTRAIT DE SON ŒUVRE ‘’LES CONTEMPLATIONS’’ Demain dès l’aube Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour

« Soleils couchants », Victor Hugo Le Parnasse : « L'art », Théophile Gautier Baudelaire : « Le chien et le flacon », Le Spleen de Paris, Baudelaire Le Symbolisme : «Art poétique», Paul Verlaine I – La poésie du XVI ème siècle «  Mignonne allons voir si la rose », Pierre Ronsard PLEIADE À Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose Sa robe de pourpre au soleil, A point perdu cette vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint

en avril 1549 sous la signature de Joachim Du Bellay. Son contenu vise à mener une réflexion sur les moyens d’enrichir la langue française par des emprunts, la fabrication de néologismes, le rappel de mots disparus, etc. Ce mouvement est marqué par deux poètes : Ronsard et Du Belley Mignonne, allons voir si la rose A Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint