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Remarques sur le problème de la vérité chez SpinozaPhilonsorbonne  5 | 2011 Année 2010-2011 Remarques sur le problème de la vérité chez Spinoza Marcos André GLEIZER Édition électronique URL : https://journals.openedition.org/philonsorbonne/361 DOI : 10.4000/philonsorbonne.361 ISSN : 2270-7336 Éditeur Publications de la Sorbonne Édition imprimée Date de publication : 15 mai 2011 Pagination : 119-135 ISBN : 978-2-85944-680-2 ISSN : 1255-183X Référence électronique Marcos André GLEIZER, « Remarques

Textes à télécharger J’accuse par Émile Zola Ces pages ont paru dans L'Aurore, le 13 janvier 1898. Ce qu'on ignore, c'est qu'elles furent d'abord imprimées en une brochure, comme les deux Lettres précédentes. Au moment de mettre cette brochure en vente, la pensée me vint de donner à ma Lettre une publicité plus large, plus retentissante, en la publiant dans un journal, L'Aurore avait déjà pris parti, avec une indépendance, un courage admirable, et je m'adressai naturellement à elle

Lorsqu’on est certain, on est à la fois convaincu d’avoir raison et d’avoir la preuve que l’on détient la vérité. Au contraire, douter, c’est remettre en question des prétendues vérités. De nos jours, beaucoup d’Hommes sont certains d’avoir raison, notamment au niveau religieux, et on aurait tendance à leur tenir ce caractère comme une qualité grâce à l’assurance que la certitude leur procure. Cependant, il est incontestable qu’il n’existe objectivement qu’une seule vérité, et, par conséquent, puisque

essaient de progresser pour arriver à un accord. Ce processus dialectique s’effectue par contradictions surmontées. A une proposition posée, l’autre pose une limite, cette limite est ensuite admise et une autre proposition est recherchée. Le dialogue est-il le chemin de la vérité ? Les conclusions auxquelles il parvient peuvent-elles être admises comme vraies ? Le dialogue est-il le seul chemin vers la vérité ? L’est-il toujours ? Quelles autres voies mènent à la vérité ? Le dialogue, par certains

CDM Sciences Sociales Le 12 / 02 /2014 -La méthodologie désigne un ensemble de règles, étapes et procédures auxquelles on a recours dans une science pour choisir l’objet étudié. Elle est donc indispensable -«  La méthode est l’ensemble des opérations intellectuelles par lesquels une discipline cherche à atteindre les vérités qu’elle poursuit, les démontre, les vérifie. » Madeleine Grawitz -La science est un mode de compréhension et d’explication de notre univers. Attention, ce

Introduction à la philosophie « philos » : grec = ami sagesse I/ La philosophie au lycée « lycée » inventé par Aristote au IIIe siècle avant Jésus-Christ Pendant la IIIe République : décide que les citoyens ont le droit à l'accès aux savoirs, à l'esprit critique (démocratie) A quoi sert la philosophie ? Thalès : VIe siècle avant J-C Présupposé : quelque chose qui est supposé avant l'affirmation implicite (pas formulé) mais présente qui se cache dans nos questions La question porte

Ma philosophie expliquée à ma fille. Le mot « philosophie » signifie en grec ancien « amour de la sagesse ». Faire de la philosophie c’est chercher à savoir la vérité. On peut chercher la vérité dans le domaine de la morale ou de la politique mais ce ne sont pas les seuls domaines, on parlera plus précisément de domaine des idées. En mathématiques, le philosophe va s’occuper de l’idée de preuve, idée de démonstration ou encore d’idée de nombre. En histoire, on parlera de l’idée d’évènement. Ces

« Rien n’est plus dangereux que la certitude d’avoir toujours raison » (F. Jacob) L’homme a souvent tendance à se raccrocher à des certitudes, surtout dans des situations ou il n’a pas de repère, où en réalité il a un manque d’information qu’il a besoin de combler. De par cette citation François Jacob condamne cette attitude. Peut-on justifier ses propos ? Malgré le fait que la certitude poussée à son stade ultime, donc dans le fanatisme, a historiquement occasionné beaucoup de dégâts, ne peut-on pas

Du grec « dia » et « logos », le mot dialogue se réfère à un concept traduisible par « suivre une pensée ». Friedrich Hegel dit que « pensée et langage sont indissociables » : les mots et les idées sont étroitement liés, et sans pensées, il n’y a pas de langage : « Leur mot donne aux pensées leur être-là le plus digne et le plus vrai. » Pourtant, le dialogue nécessite de nombreuses conditions pour être mis en œuvre. Lesquelles sont-elles ? Nous installerons la discussion sur ce thème précis, en

Introduction Plusieurs philosophies basées sur la religion de cette Terre sont exposées à des stéréotypes et sont très méconnues par les autres croyants. C’est particulièrement le cas avec la philosophie islamique. Cette analyse, certes courte, mais concise, parlera de deux grands philosophes modèles de ce courant philosophique d’une importance capitale pour le monde moderne, Avicenne et Averroès, de la conciliation entre la religion elle-même et la philosophie qu’elle engendre au sein de la communauté