A Quelle Vérité La Raison Nous Mène T Elle

… à Descartes – Québec, 16 juillet 2013 Monsieur, Le 17ieme siècle fût autrefois reconnu principalement par son évolution au niveau de la pensée et de l’esprit rationnel. Des grands philosophes tels  que: Aristote et Copernic se sont questionnés afin de mieux comprendre le monde. Marqué par le rationaliste, le 17ieme siècle oppose le pouvoir de l’église et le pouvoir de la science. À l’aide de la thèse de Copernic, Galilée arrive à démontrer que la vérité ne se trouve pas dans les saintes écritures

reflète pas une vérité exacte, elle n’est qu’un avis, une position basée sur du vécu, souvent des idées préconçues, entendues ou encore véhiculées par les médias, la famille, les amis ; un mélange qui fait qu'on adopte une idée pour dire que c'est notre opinion, alors les opinions sont sources de conflits dans la mesure ou deux parties s’affrontent pour défendre deux idées divergentes. Devrons-nous nous attacher à nos opinions et les défendre coûte que coûte? Est-il- possible de renoncer à ses propres

collectives, c'est à dire des représentations qui sont tenues pour vraies mais qui ne sont pas connues démonstrativement ou rationellement (elle supposent une révélation). Ces types de croyances instituent deux niveaux de réalité : Le profane qui est le monde ordinaire, familier où l'homme vaque à ses affaires. Le sacré qui à une dimension supérieur du réel, divine et originaire. (Dans toute les religions, on a des récits de création qui nous expliquent de quelle manière la terre à été crée par des

s’opposent de telle sorte qu’ils ne peuvent être vrais tous les deux à la fois. Mais toutes contradictions n’est pas un problème philosophique. Un problème philosophique c’est une contradiction dont les deux propositions paraissent vraies. Problématique : Comment deux propositions peuvent être vraies toutes les deux puisqu’elles se contredisent, si l’une est vraie, l’autre devrait être forcément fausse ? D’après Descarte, la Raison permettrait de distinguer le Vrai du Faux Exemple : D’un côté

la conscience, si puissante qu'elle s'installe à demeure et se fait centre de tout. Etat de celui qui subit - passivité -Conception classique : condamnation -Dès Platon, les passions apparaissent nocives: elles mènent à la démesure («l'ubris») sinon à la folie, obligent la raison à se pervertir pour leur obéir, et condamnent l'être humain qui en est la victime à un monde illusoire. Eloignant de toute vérité, elles ne sauraient révéler la vérité de l'homme lui-même. Dans l'Antiquité, comme

Cette question pose le problème de la compatibilité entre la foi et la raison. Il s'agit de savoir si la raison doit jouer le rôle de justification, au sens de validation, des croyances religieuses. La croyance dépend-elle du fait que nous ayions de bonnes raisons d'y croire?          I- La réponse théiste : on peut justifier la croyance en l’existence de Dieu par la raison.         1) Définition du théisme         Pris généralement, le terme « théisme » désigne (en anglais) le non athéisme

dans la recherche d'une vérité métaphysique. Abordant différents domaines, aussi bien philosophiques, métaphysiques que purement scientifiques, le thème du Discours de la Méthode est indéniablement une recherche raisonnée de la Vérité dans les sciences. Fil directeur : il n'y a pas à proprement parler de fil directeur dans le Discours. Cependant la cohérence interne est celle qui consiste à n'accepter que les faits absolument certains pour progresser dans la réflexion, à tenter de diversifier

Antique. A l’époque de Périclès. Le mot n’apparait qu’au 5ème siècle. A l’époque, la philosophie et les sciences ne se distinguent pas, donc la philosophie est une morale, une logique, une physique. La philosophie n’est pas une théorie mais un mode de vie. Philosophie = recherche de la sagesse On réfléchit, on fait un retour sur soi. On ne possède pas le savoir, on le recherche. Ce sont les questions qui sont essentielles. C’est Socrate qui nous lègue cette maïolique. De même qu’il n’y a pas de

convient d’opposer les apparences à la réalité, ou encore le monde sensible au monde des Idées. Le monde sensible, c'est-à-dire le monde terrestre, constitue un ensemble matériel, superficiel et changeant que l’on connaît avec les sens. Il n’est qu’apparence. Au contraire, le monde intelligible, ou le monde des Idées, est indiscutable. Il est vrai, réel. Ramuz dresse le portrait d’un homme épris d’absolu, désarmé et gouverné par l’absurdité de la vie. Suite à l’apparition de Miss Anabella, une

cesse de se réformer. Ainsi, nos différentes pratiques et façons de penser évoluent à en venir à considérer des concepts qui usuellement acceptés se voient perçus d’une toute autre façon. Le concept de tolérance , cette qualité morale de personnes laissant à chacun la latitude de s'exprimer et de défendre des opinions qu'elles-mêmes ne partagent pas, n’a de sens selon Comte-Sponville que si l’on a quelque chose à perdre car, tolérer ce qui ne nous touche pas, n’est pas de la tolérance, c’est de l’égoïsme