A Quelle Vérité La Raison Nous Mène T Elle

Jeudi, 29 Septembre 2011 06:59 | Écrit par Observatoire Nous reproduisons ici une interview accordée par Marguerite A. Peeters à l'agence Zenit et publiée le 27 septembre 2011.   L’origine d’un concept et les remèdes possibles ROME, Mardi 27 septembre 2011 (ZENIT.org) – Marguerite A. Peeters est intervenue au Colloque sur le « gender » (la théorie du « genre ») qui s’est tenu à la faculté de droit de Toulon les 17 et 18 septembre. Il était organisé conjointement par l’Observatoire Sociopolitique

aux libertins. Sa mère est morte quand il avait 3 ans et c’est son père qui l’a donc élevé. Son père est très cultivé et Blaise va donc participer à des réunions de savants dès 8 ans. Le Port royal est un couvent pas loin de Paris qui est le foyer du jansénisme. A 12 ans Blaise va réinventer la géométrie, à 16 ans il écrit un essais sur les coniques, à 20 ans il invente une calculette. Il va écrire des théories sur l’apesanteur etc. Blaise est Mondain dans sa jeunesse. Il joue et mise de l’argent

révolutionnaires au niveau scientifique ont tous rejeté le géocentrisme qui donne un certain sens sacré à l’homme et la terre en les plaçant au centre de l’univers pour laisser place à l’héliocentrisme. Descartes souhaite donc définir le plus exactement possible l’homme et utilise donc les mathématiques, science comportant des règles strictes et toujours démontrables. C’est ainsi qu’il arrive avec une vérité inébranlable, soit, le premier principe de la philosophie : Je pense, donc je suis. J’expliquerai

avoir raison contre tous ? Par François HOUSSET | Les Textes #79 | commenter | | Pasteur s’est battu pour convaincre ses collègues qui croyaient à la génération spontanée. L’histoire lui a donné raison, mais il avait gagné parce que son statut et son charisme l’emportaient sur ses adversaires. Une vérité scientifique est provisoire ! La science revient sans arrêt sur ses postulats, selon la pertinence et surtout l'autorité de ses chercheurs. Galilée a eu tort d’opposer la raison à la foi

s'arrête pas à la simple satisfaction de ses sens mais émet sans cesse des hypothèses des théories dont il pense qu'elle correspondraient à la réalité de la nature. Il désire s'expliquer le monde qui l'entoure, comme le montre l'avancée des sciences de nos jours (au fil du temps?) : il cherche la vérité. Cependant, rares sont les fois où le but de cette recherche est la vérité en elle même et le but des hommes est souvent de simplifier ou d'améliorer leur vies en trouvant une application à ces théories

de croyances dogmatiques, c’est-à-dire d’opinions que les hommes reçoivent de confiance et sans les discuter. Si chacun entreprenait lui-même de former toutes ses opinions et de poursuivre isolément la vérité dans des chemins frayés par lui seul, il n’est pas probable qu’un grand nombre d’hommes dût jamais se réunir dans aucune croyance commune. Or, il est facile de voir qu’il n’y a pas de société qui puisse prospérer sans croyan-ces semblables, ou plutôt il n’y en a point qui subsistent ainsi ; car

rationnel par la raison , son moyen pour mener une bonne vie est de recherche la vérité grâce à la raison) La vie bonne selon Socrate : Socrate répondrait que c’est d’être authentique et chercher la vérité profonde de l’individu.. c’est ainsi de découvrir le véritable moi au-delà des habitudes , des apparences ou des conventions. C’est ainsi vivre en accord avec la conscience à chaque moment de la vie , il faut savoir comment bien vivre. Rejeter le relativisme et choisir la vérité plutôt que la richesse

plus dangereux que la certitude d’avoir raison » (F. Jacob) De nos jours, nous sommes quotidiennement confrontés à de nombreuses prises de décisions. Alors que certaines personnes hésitent continuellement avant de faire leurs choix, d’autres foncent droit au but sans se poser de questions et sans réfléchir aux conséquences futures. En tout cas, François Jacob est bien tranché sur le sujet affirmant que «rien n’est plus dangereux que la certitude d’avoir raison », autrement dit, le fait de ne jamais

Le fanatisme : excès ou manque de foi ? L’Histoire a été marquée par l’apparition et le développement de nombreux groupes fanatiques, tel les nazis, ce qui a entrainé de nombreuses analyses différentes sur la définition même d’un fanatique. Alors l’on peut se demander si le fanatisme est caractérisé par un excès de foi ou bien plutôt par un manque de foi. Nous verrons dans un premier temps l’analyse rationaliste qui prône l’excès de foi, puis nous analyserons la réfutation de cette thèse

L’affaire Dreyfus Introduction : L’affaire Dreyfus est un conflit social et politique majeur de la Troisième République survenu à la fin du xixe siècle, autour de l’accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus,  de confession juive, qui sera finalement innocenté. Elle a bouleversé la société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards »