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réalité que nous nous concevons permet de donné un sens ou une valeur aux actions que nous posons. Ces comportements de plus en plus récurrents ont certainement plusieurs raisons d’être et pourraient être expliqués

google_plusone_share More Sharing Services 16 Tags bac philo 2013 « Il n’y a presque rien qui n'ait été dit par l'un, et dont le contraire n'ait été affirmé par quelque autre. Et il ne serait d'aucun profit de compter les voix, pour suivre l'opinion qui a le plus de répondants[1] : car, lorsqu'il s'agit d'une question difficile, il est plus vraisemblable qu'il s'en soit trouvé peu, et non beaucoup, pour découvrir la vérité à son sujet. Mais quand bien même[2] ils seraient tous d'accord, leur enseignement

réponse est claire, elle est si claire que vous l’avez senti vous-même L’humanité s’est toujours battue, s’est toujours acharné pour vivre et non pour mourir ! C’est pour cette raison que nous sommes là, dans ce monde, pour surmonter les obstacles, endurés les souffrances, même au plus profondes peines, même face à la mort ! C’est ce qui nous hisse d’emblée au détriment des êtres et constitue notre orgueil et notre dignité … Cette dignité qui s’écroule, qui tombe dans les ténèbres quand on

de la vérité plus dangereux que les mensonges. » Friedrich Nietzsche Année 1933. Hitler prend le pouvoir. C’est un dictateur allemand impitoyable. Pour lui, toute personne qui ne rentre pas dans le moule de la race « aryenne » est un être inférieur. Ses convictions ont eu des conséquences désastreuses : des milliers d’innocents tués, un nombre important de familles déchirées, obligées de vivre dans la peur constante d’être les prochains à être éliminés. Ce dictateur allemand réussit même à déclencher

point d’être dans le vrai, c'est-à-dire d’entrer dans la vérité, de s’y tenir. Cependant il existe le doute, qui remet en cause des certitudes afin de trouver la vérité, ce qui montrerait qu’une certitude n’est pas suffisante. Suffit-il alors d’être certain pour être dans le vrai ? Etant donné que la certitude est la conviction d’être dans le vrai, on peut alors se demander s’il ne manque rien d’autre lorsqu’on a des convictions, des certitudes pour être conforme à la réalité ? Puisque tel est la

» les hommes par la raison et d’élargir leurs connaissances dans tous les domaines. Leur mission était donc de former l’esprit critique de leurs lecteurs. Ceux qui se sont donnés le nom de « Lumières » ont ainsi illustré leur projet par une métaphore : « éclairer » signifie rendre clair, compréhensible ; de la même façon, l’adjectif lucide, qui signifie une personne manifestant la clarté de son esprit, vient du latin « lux » qui signifie lumière. En opposant la lumière à l’obscurité, les savants

La Vérité Dans la vie, il semble que tout le monde a certaines similarités. Comme les émotions ressentit lors d’un événement attristant ou des choix importants pris au cours de leurs vies. D’après le philosophe et auteur Camus, la seule ressemblance humaine que l’on partage est que tout le monde va mourir. Dans L’Étranger d’Albert Camus, Meursault n’est pas responsable des actes qu’il pose. On peut dire cela parce que Meursault ne prend pas les décisions complètes lorsqu’il fait une action, il ne

vient de ressusciter à Passy, que je n'en croirais rien. Une seule démonstration me frappe plus que cinquante faits » a dit Dennis Diderot. La démonstration est marquée dans beaucoup d’esprits comme l’instrument par excellence d’établissement de la vérité. Il suffirait alors de maîtriser l’art de la rhétorique et de la persuasion, à la manière de l’argumentation d’un avocat, pour procéder à une démonstration qui révèlerait la vérité, une vérité dépendante de l’homme, contrairement à la réalité. Mais

Douter, est-ce renoncer à la vérité ? En considérant le doute comme un état de l’esprit correspondant à la suspension d’un jugement et la vérité comme l’aboutissement de la connaissance fondée sur des critères d’objectivité et d’absolu, pouvons-nous réellement affirmer que douter n’est autre que renoncer à la vérité ? Car il semblerait que le doute, remettant en cause les fondements mêmes de toute connaissance, anéantisse l’accès à la vérité puisqu’aucune définition universelle n’est reconnue

parce qu’il distingue le savoir (épistémè) de l’opinion ou la croyance (doxa). Contrairement à l’opinion, le savoir est une croyance que l’on peut justifier par des raisons, et non une croyance simplement admise. Cette distinction est si fondamentale qu’on y voit la naissance de la rationalité et de la philosophie proprement dite. A partir de Socrate on ne pourra plus se contenter de fragments poétiques à la mode d’Héraclite ou de Parménide : les affirmations des penseurs devront être justifiées par