A Quoi Tient La Force De La Religion

Bac Blanc Décembre 2008 – corrigés et commentaires – TS 2.3. & TES 2 Sujet 1. Qu’est-ce que faire une expérience ? L’intérêt de ce sujet consiste à faire usage avec habileté de la pluralité des sens du mot « expérience ». On peut en effet distinguer trois sens : l’expérience désignant la connaissance sensible, empirique l’expérience vécue d’un individu, son passé l’expérience scientifique, expérimentation On remarquera que la troisième exige une objectivité impossible dans les deux premières

La dissertation d'aujourd'hui a pour but d'analyser un thème de notre quotidien qui est celui de la réussite. le sentiment de réussite, dans la génération qui est la notre, est fondé sur des valeurs humaines, plus collectives qu’individuelles. La volonté de mener une vie meilleure progresse, au détriment de l’individualisme, de l’idéologie du succès et de l’obsession de la performance. Mais cela n'est pas valable pour tout le monde et chacun peut partager un tout autre avis. Voila pourquoi je

toutes les idées du siècle où l'on vit, c'est des sources de l'erreur celle qui est la plus féconde. A ces gens qui veulent rendre modernes tous les siècles anciens je dirai ce que les prêtres d'Egypte dirent à Solon : O Athéniens, vous n'êtes que des enfants ! » Esprit des Lois, XXX, 14. « Montesquieu a fait voir... » Mine DE STAËL. « La France avait perdu ses titres de noblesse ; Montesquieu les lui a rendus. » VOLTAIRE. TABLE DES MATIÈRES AVANT-PROPOS CHAPITRE PREMIER. — 7 Une révolution

seulement qu' à vous laisser conduire. Contentez mon desir, et n' ayez point d' effroi : Je vous réponds de tout, et prends le mal sur moi. Vous toussez fort, madame. Elmire. Oui, je suis au supplice. Tartuffe. Vous plaît-il un morceau de ce jus de réglisse ? Elmire. C' est un rhume obstiné, sans doute ; et je vois bien Que tous les jus du monde ici ne feront rien. Tartuffe. Cela certe est fâcheux. Elmire. Oui, plus qu' on ne peut dire. Tartuffe. Enfin votre scrupule est facile à détruire

Mon corps et le corps de l’autre Parcours 2 Mon corps, c’est moi ! Que la « super-machine » tourne bien ou qu’elle se détraque, je suis touché. De mon corps je ne peux pas dire : « il est à moi ». Mieux vaut dire : « Il est moi. » Ce serait parfois tentant d’en sortir, de m’en délivrer, de vivre comme un esprit… Mais ce qui est certain, c’est qu’alors je vivrais dans le rêve, j’habiterais le pays des chimères… Mon corps n’est pas un outil que j’utilise

se heurte à certaines difficultés . Est-il vraiment réalisable ? Mais encore est-il vraiment souhaitable et vraiment sincère ? Tout d’abord, est-il vraiment possible de vivre sans illusion, de supprimer toute forme d’illusion? Car l’illusion est une sorte d’ignorance au carré (une ignorance qui s’ignore elle-même). On peut donc sincèrement vouloir être lucide et s’illusionner sur sa propre lucidité ! Par conséquent, la conscience ne se fait-elle pas des illusions sur son pouvoir à traquer l’illusion

La pratique religieuse à La Réunion recouvre une diversité d’expressions qui sont décalées par rapport aux normes des religions instituées. Par l’observation de terrain émerge en effet un phénomène religieux original qui perdure à travers la modernisation de l’île. Pour le qualifier, l’histoire du peuplement fournit des éléments d’évaluation de la part des différents apports extérieurs qui participent à sa constitution. Mais le phénomène observé ne se ramène à aucune forme définie car il est

exemples : « la raison des choses », « rien ne se produit sans raison » ) ou encore le motif légitime d’une action. 2. La Raison, quant à elle, désigne au sens strict la faculté de raisonner, c’est à dire de former des concepts ( des idées abstraites ) et de les combiner entre eux de manière logique. Par extension, elle peut aussi désigner la faculté de bien juger, c’est à dire de distinguer ce qui est vrai d’avec ce qui est faux, ce qui est bien d’avec ce qui est mal, de qui est beau d’avec ce qui laid

Les Fleurs du Mal 1_ « Au lecteur » : en quoi ce poème est-il provocateur ? Dans ce poème liminaire, Baudelaire peint une image très pessimiste de l’Homme. En effet on voit que dans les deux premiers quatrains le poète met en avant les faiblesses et vices de l’Homme, on observe deux faiblesses mise en avant, celle de l’esprit d’un côté et celui du corps de l’autre. Dès le premier vers un constat des faiblesses est décrit par une accumulation. On voit à travers les deux premiers quatrains que l’Homme

mort, dont le but est de séparer tout ce que le sexe a uni, de ramener à zéro toute tension pulsionnelle. Dans Malaise dans la civilisation, essai de  1929, contemporain de la montée des totalitarismes dans l’Europe de l’entre-deux-guerres, le psychanalyste viennois définit « l’hostilité primaire », que l’universalité de la pulsion agressive génère (« nous pouvons déceler en nous-mêmes » cette « tendance à l’agression » « dont nous supposons à bon droit l’existence chez autrui »), comme étant « le