À tout jamais

Comme la rosée du matin Imprègne tout mon être et m’enivre de son parfum Pour toi, même pierre l’apôtre se transformerait en le plus niais des cabotins Te regarder fait foirer mes neurones un par un U ne fois mon regard pose sur toi Tout devient blême Je ne me contrôle plus, je me tiens coi Sentir ton aura, me transforme en moderne Polyphème Chaque vibration de ton corps est ressentie par le mien Une seule phrase alors au bout des lèvres : viens Réponds a l’appel de ton aime Je ne veux

toi qui a commencé de parler de Madame ! C’est toujours comme ça avec toi. Madame ceci, Madame cela ! Claire, je te déteste. MADAME, arrivée soudainementMais qu’est-ce qu’il y a ? Pourquoi vous vous disputez, les bonnes ? Oh, je n’ai pas les mots. D’entendre de telles choses dire ! Jamais dans ma vie …SOLANGEAh ! Et voilà, c’est notre maîtresse qui nous adore, hein ? Regarde la, on dirait qu’elle a vu un fantôme ! C’est fini, Claire. Madame nous déteste. Tu as tout faux.CLAIRE

période assez difficile et incertaine pour bon nombre d’entre nous, ce message a attiré mon attention, et j’aimerais le | | |partager avec toi. | | | | | |Dieu ne se trompe jamais!

d’hostilité, de rancune et de violence. Mais avant tout, la haine est synonyme de vengeance. Bouddha a dit : «Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle»? En fait, elle ne cesse jamais. L’homme est une drôle de créature qui n’a jamais voulu apprendre les rudiments du pardon. Rare sont ceux qui le pratiquent. Nommez-moi une seule personne (mis à par Jésus) qui, toute sa vie, a sue pardonner chaque personnes qui lui ont fait du tore sans jamais vouloir leur faire subir la même chose. Moi-même

Dissertation Sujet : La légende d’Electre et d’Oreste, les enfants d’Agamemnon et de Clytemnestre, a inspiré les tragédiens de l’Antiquité. Au XXème siècle, la reprise du mythe a permis d’en renouveler la signification. On pourra confronter ces différentes versions de la légende autour des axes suivants : - les manifestations du tragique : la lamentation de la passion souffrante, le sentiment de culpabilité, la lutte des héros contre la fatalité ; - les représentations du destin : la présence

nous le ressentons pour la première fois, nous savons ce qu’il est et ce qu’il représente ? Car nous ne savons jamais vraiment ce que c’est que l’amour puisque nous l’avons seulement vu ou lu mais jamais expérimenté. Que pouvons-nous donc apprécier dans l’amour ? Et quand on pense ressentir de l’amour envers quelqu’un ou quelque chose, que cherchons-nous ? Il existe plusieurs réponses à ces questions pour la simple et bonne raison que chaque personne est unique et différente. Certains chercheront

autant d’attendrissants, la passion pour la langue jouale et de la colère face à leurs conditions de vie. Vers les années 60, sa première pièce Les Belles-sœurs met en scène des personnages vrais, désespérés par leurs conditions de vie et ce qui a fait complètement ébranler le public québécois qui trouvait des ressemblances véridiques dans cette scène. Ces personnages se retrouvent aussi dans ces pièces Le Vrai Monde? Et À toi pour toujours, ta Marie-Lou. Alors, peut-on affirmer que Marie-Louise et

moment-là tout allait bien. J'étais forte, et tu es devenu ma seule faiblesse. Tu sais le principe des messages du genre SMS, c'est de pouvoir répondre tout de suite. Sinon je t'envoie une lettre par la poste... Pas la peine d'espionner son mur Chérie. Tout se passe en privée. "Une rupture, c'est comme un miroir brisé. Il est préférable de le laisser brisé, que de se faire du mal à essayer de la réparer. Si un homme quitte sa copine ou sa femme pour sortir avec toi, attends toi à être larguer

Plan de l’exposé : « La littérature et l’expérience. » Introduction. A. L’expérience de l’écriture. a. L’écrivain et l’art. b. Le sujet. c. L’unique. B. L’expérience de l’œuvre. a. Le monde. b. L’imaginaire. c. La mort. Conclusion. Introduction La littérature ; notion fuyante, jamais donnée, elle n’est jamais. Elle est ce que Maurice Blanchot alors appelait « le livre à venir. » Ce n’est pas en sortant des œuvres mais en s’y enfonçant et en y revenant

l’auteur nommé « Journal à rebours » paru en 1941expose sans ambiguïté à tous ses lecteurs que la littérature a été quasi inexistante durant son enfance et son adolescence, en tout cas du point de vue de l’écriture. Dans un premier temps, on remarque que l’ensemble du texte est soutenu par la négation, soulignant ainsi le refus d’admettre une place à la littérature à cette époque de sa vie. Ensuite, on découvre que si la littérature est absente, elle laisse la place a un univers essentiel d’émotions