À tout jamais

des semaines,et des mois j'ai entendue les gens dirent ça. Moi je suis pas désolé. Tu es mort ? Oui,et alors ? Ça fait mal,ça me tue,ça me bousille et autre synonyme mais je ne suis pas désolé. J'ai jamais vraiment fait mon deuille,j'ai jamais réellement tourner la page. Et je sens que je tournerai jamais la page. Tu sais pourquoi ? Parce que c'est impossible. Oui c'est vraie "rien est impossible",mais la c'est impossible. Pour la simple et unique raison qu'on ne peut pas tourner la page , c'était.

sourire , que je sais a quoi elle pense quand quelqu'un dit quelque chose , et pis un tas d'autre trucs beaucoup trop long a ecrire , Mais le plus important c'est qu'on qu'on continuera notre vie ensemble, comme deux gros phoque , le sourire au lévre, quoi qu'il arrive !♥-Si je n’avais qu’une heure d’amour, si c’est tout ce qui m’était donné, une heure d’amour sur cette terre c’est à toi que je la consacrerai. ♥ Y'a tout les autres et pis y'a toi , la fille qui se distingue de tout le monde, meme si

ews*Arrête de regarder ton portable toutes les trente secondes, il ne t'a pas envoyé de message, il t'en enverra pas. Non il n'est pas en silencieux, il est bel et bien sûr vibreur. Arrête de regarder ses photos, de surveiller son Facebook, il ne regarde jamais le tien. Ne pète pas un câble quand il met un cœur à une fille, tu pourrais te taper tous les gars sur terre il en aurait rien à faire. Ne pleure pas devant ses messages, supprime-les, c'est ce qu'il a fait depuis longtemps. Ne lui envoie

El genial Quino aplica su talento y su mordaz sentido del humor al análisis de nuestro presente político y social, y la conclusión a la que llega ya se anticipa en el título. El humor sirve en este caso de herramienta para diseccionar el mundo que nos rodea, con dignidad y lucidez, y también, con la habitual ternura que caracteriza a Quino, para poder reflexionar sobre nuestro "impresentable" presente sin por ello perder la sonrisa. Quino est un dessinateur essentiel de comprendre le sens de la

Histoire et violence sociale : 1950 à nos jours A. Simone Weil, La Condition ouvrière (1951), « Journal d’usine » Simone Weil est une philosophe qui dans son Journal d’usine fait récit de son expérience chez Alsthom puis chez Renault, durant les années 1934-1935, et questionne l’essence de la condition ouvrière. Par cette expérience, Simone Weil se met à l’épreuve du réel, de la vérité. Une ouvrière du perçage a eu toute une touffe de cheveux

et sûr, Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu. Feuilles de jour et mousse de rosée, Roseaux du vent, sourires parfumés, Ailes couvrant le monde de lumière, Bateaux chargés du ciel et de la mer, Chasseurs des bruits et sources des couleurs, Parfums éclos d'une couvée d'aurores Qui gît toujours sur la paille des astres, Comme le jour dépend de l'innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs Et tout mon sang coule dans leurs regards

On n'oublie jamais rien, on vit avec... Ce n'est jamais qu'une histoire Comme celle de milliers de gens Mais voilà c'est mon histoire Et bien sûr c'est différent On essaie, on croit pouvoir Oublier avec le temps On n'oublie jamais rien, on vit avec Forse non sei stato mai Il presente che vorrei E sbaglagio a fare tuoi Quei progetti solo miei Ma ho imparato a dire no All'illusione che ci sei Per vivere il ricordo che ho di noi Refrain : On a plusieurs vies, mais une seule grande

XIXème siècle au XXIème siècle Intitulé du parcours : Alchimie poétique, la boue et l’or Textes ayant fait l’objet d’une étude détaillée : TEXTE 1 : "La Vache", Les Voix intérieures, V. HUGO, 1837 TEXTE 2 : "Vénus Anadyomène", Les Cahiers de Douai, A. RIMBAUD, 1870 TEXTE 3 : "L'huître", Le Parti-pris des choses, F. PONGE, 1942. Œuvre intégrale : Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE, 1861 Textes ayant fait l’objet d’une étude détaillée : TEXTE 4 : “ Parfum exotique”, Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE

serai dans tes bras, Des mots doux, tu me diras, Toujours a deux, on sera, Aucune tragédie ne nous arrivera. Un jour, on s'aimera pour de vrai, A deux on vivra, la vie rêvée, Nous serons toujours lié, Ensemble, nous serons pour l'éternité Mais arrêtons de rêver, Cela ne va jamais arriver, Car tu ne vas jamais m'aimer, On vivra chacun de son coté. Mais tu ne peux t'imaginer, Comment je suis capable de t'aimer, Je pense a toi sans arrêt, Mais le rêve est terminé. J’aimerais te

qu’ils ne peuvent continuer à attendre Godot. L’extrait proposé, fortement similaire à la première scène, clôture cette pièce qui est des plus absurde. Plusieurs tentatives pour échapper à l’attente (tel que le suicide) sont imaginée, mais elles échoueront, ne seront jamais terminées, voir même jamais engagées. Cette pièce cependant pleine d’actions, de rencontres, de dialogues, n’aboutit à rien. En effet, la situation des personnages reste identique que ce soit au début à la fin de la pièce ou de