ABBA

villages sans églises ABAB : rimes croisées Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits; ABBA : rimes embrassées Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées; Mon paletot soudain devenait idéal; J'allais sous le ciel, Muse, et j'étais ton féal; Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées! Diérèse et synérèse : Exemple : prononciation

même structure syntaxique à l'échelle de la phrase, du vers, du paragraphe. | L'anaphore | Elle répète un mot ou un groupe de mots en tête de phrase, du vers, du paragraphe. | Le chiasme | C'est une structure symétrique (de type ABBA) permettant d'unir ou d'opposer des éléments. |

croix jaune, le soleil. Le pays est gouverné par le Roi Charles XVI Gustave La monnaie est la Couronne suédoise (pas l’euro!!) La Suède compte beaucoup de personnalités, en voici quelques unes que je connais : Ibrahimocic/joueur de foot; Abba/groupe de musique qui a gagné l’eurovision en 1974; Fifi Brindacier; Victoria Silvstedt/animatrice tv (la roue de la fortune), Bjorn Borg/joueur de tennis, ...; Les suédois adorent les boulettes de viande hachée (boulettes de chez IKEA);

temps de du Bellay. Sonnet : Ce poème est un sonnet, car il contient deux quatrains et deux tercets. Le sonnet est très en vogue à cette époque, car il est difficile à utiliser et les poètes aiment relever ce genre de défis. Il est de la forme : ABBA ABBA CCD EDE. Les deux quatrains sont en rimes embrassées, puis dans le premier tercet on retrouve deux rimes plates, et la fin et en rimes croisées. Les rimes que j’ai pu relever sont les suivantes : « -me » ; «-ois » ; « -ment » ; « -uit » ; « stance »

théories de « l'art pour l'art » énoncées par Théophile Gauthier. 1- Le sonnet. La forme utilisée pour la description de la mer des Antilles est la forme poétique la plus contraignante: le sonnet. D'origine italienne, le sonnet est une forme fixe (ABBA – ABBA- CCD- EED) qui implique l'usage de l'alexandrin et des rimes embrassées ou suivies. La progression de la description respecte rigoureusement les strophes selon un usage traditionnel : le premier quatrain pose le décor de la « forêt des coraux abyssins »

ballade/rondeau : poèmes de 3 strophes qui jouent sur le nombre de vers et de syllabes, comportant un refrain → sonnet : poème de 14 vers de même mètre, répartis en 4 strophe (2 quatrains, 2 tercets), sonnet classique/marotique (de Clément Marot) : ABBA, ABBA, CCD, EDE (ou EED) Poèmes à forme libres → vers libre : ne suit pas les règles de la versification mais témoigne d’une attention aux effets sonores, rythmiques et à l’accentuation → verset : associe le paragraphe à des membres de phrases très

sinon chez Montesquieu peut-être, la même ordonnance, la plus simplement superbe. » Ce poème semble donner raison à l’éloge de Ponge dans la mesure où il s’agit d’un sonnet des plus réguliers : on retrouve les alexandrins ainsi que la disposition ABBA ABBA CCD EDE. De plus les rimes sont suffisantes ou riches, montrant ainsi le talent du poète. Le rythme est binaire, et nous retrouvons la césure à l’hémistiche, qui crée un effet de régularité, d’équilibre et d’harmonie. La progression du sonnet donne

“ A Ingres” est un sonnet composé de deux quatrains et deux tercets. Le poème écrit en alexandrin respecte les règles “traditionnelles” du sonnet. Il est ainsi composé d'une alternance de rimes embrassées dans les deux premiers quatrains du type ABBA ABBA, et de rimes croisées et plates dans les six derniers vers du type CDCD EE. Les deux premiers quatrains sont caractérisés par l'alternance de rimes masculines et féminines du type masculine-féminine-féminine-masculine. Les quatre rimes sont de

chaque strophe reviennent comme premier et troisième vers de la strophe suivante. L’intention du poète est : • Donner l’idée d’un mouvement progressif • Donner l’idée du rythme Donc de mettre tout en harmonie et en musique La Rime Enchainée: abba baab abba baab Les Figures Rhétoriques • Personification : “sons et parfums tournent”, “coeur afflige”, “ciel triste et beau”, “le soleil s’est noyé”, “coeur qui hait” • Métaphore : “le soleil s’est noyé dans le sang qui se fige”, “du passé lumineux recueille

ballade/rondeau : poèmes de 3 strophes qui jouent sur le nombre de vers et de syllabes, comportant un refrain → sonnet : poème de 14 vers de même mètre, répartis en 4 strophe (2 quatrains, 2 tercets), sonnet classique/marotique (de Clément Marot) : ABBA, ABBA, CCD, EDE (ou EED) Poèmes à forme libres → vers libre : ne suit pas les règles de la versification mais témoigne d’une attention aux effets sonores, rythmiques et à l’accentuation → verset : associe le paragraphe à des membres de phrases très courts