ABBA

comparant son histoire au cycle de mûrissement d’un champ de blé. Le poème à forme fixe en quatorze vers est un sonnet français à la métrique de l’alexandrin. Les premiers deux strophes sont des quatrains qui comportent deux rimes embrassés (abba – abba). Dans ces premières strophes du Bellay décrit un champ foisonnant de brins verts. Alors que les brindilles éclosent, le blé mûrit et jaunit sous la chaleur du soleil. Après avoir établi le contexte avec la première strophe, la deuxième strophe

sentiments factices. Ici, référence à Laure ( comparaison du vers 13 ), pointe brillante du dernier vers ( épanorthose : « au moins tant que vivront les plumes et le livre » ), sonnet à la construction complexe sur le mode binaire, sonnet italien ( abba, abba, cdc, dcd ), métaphore de la prison au vers 4 : insistance avec le participe passé passif « captive » latin qui redouble « enchaîner » . Ronsard utilise les deux codes dans un recueil de commande : en 1578, il a 54 ans et est en demi- disgrâce

sentiments factices. Ici, référence à Laure ( comparaison du vers 13 ), pointe brillante du dernier vers ( épanorthose : « au moins tant que vivront les plumes et le livre » ), sonnet à la construction complexe sur le mode binaire, sonnet italien ( abba, abba, cdc, dcd ), métaphore de la prison au vers 4 : insistance avec le participe passé passif « captive » latin qui redouble « enchaîner » . Ronsard utilise les deux codes dans un recueil de commande : en 1578, il a 54 ans et est en demi- disgrâce

« La Complainte » Rutebeuf Le sonnet, importé d'Italie au XVIe siècle, a d’abord été écrit en décasyllabes, puis en alexandrins. Il comprend quatorze vers : deux quatrains et deux tercets (sizain). Le schéma habituel des rimes est le suivant: abba / abba / [ccd (/) eed] ou [ccd (/) ede] mais il a pu être assoupli, notamment au XIXe siècle. Exemple Ronsard, « Les Amours, Sur la Mort » de Marie, V Le sonnet est un genre poétique qui est le plus libre à l’époque. Dans la poésie traditionnelle

Jargeau, et tard avec soudard. S i o n d é s i g n e c h a q u e r i m e p a r u n e l e t t r e d e l ' a l p h a b e t ( a p o u r l a p r emière, b pour la deuxième, etc.). Les rimes peuvent être : 1. plates : aa / bb / cc / dd... 2. embrassées : abba / abba ou cddc... 3. croisées ou alternées : abab, etc. ou ababcdcd, etc. a) Indique ici le numéro qui désigne l'ordre des rimes : .................... b) Indique pour la strophe 1, depuis le long du coteau jusqu'à s'en vont par ces allées quelles sont

c’est lyrique. ❖ Étude de la structure : Ce poème suit la structure traditionnelle du sonnet parce qu’il y a deux quatrains et des deux tercets, il y a aussi une alternance d’un décasyllabe et d’un octosyllabe. Son schéma rythmique est (ABBA ABBA CDC DCC). Quand a structure interne le poème se divise en deux parties. La première partie (qui a comme thème principal la métamorphose entre le chat et Jeanne Duval) est composée de deux quatrains et la deuxième se forme des deux derniers tercets

vit libre mais sans appui ; s'il vit à la cour, il est protégé mais il est esclave. (La Bruyère) Lorsque les termes d'une double antithèse (libre/esclave ; sans appui/protégé) sont disposés selon le schéma ABBA, on parle de chiasme (à noter qu'on peut aussi parler de chiasme lorsqu'il n'y a pas antithèse (ABBA) : Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger. (Molière)). L'antiphrase Elle exprime une idée par son contraire dans une intention ironique. Quel courage ! pour dénoncer la lâcheté

conception de variété propre du XVIe siècle. Il a reçu aussi le titre Prince des poètes. Étant donné que le poème est un sonnet, il est composé de deux quatrains et deux tercets. Les deux quatrains ont toujours la même rime, c’est une rime fixée ABBA ABBA, embrassée. Cependant, la rime des tercets peut varier en fonction du type de sonnet que l’auteur utilise. Dans ce cas, il choisit ce qu’on appelle le sonnet « régulier » de Peletier, donc la rime des tercets est CCD EDE et les vers sont en alexandrins

suivis de deux tercets. On peut aussi considérer, compte tenu de la structure des rimes des six derniers vers que l’on a deux quatrains suivis d’un sizain. . b) Structure des rimes. Dans ce sonnet, la structure des rimes est la suivante : abba abba cdc cdd c) Type de vers utilisé. Ce sonnet est écrit en décasyllabes canoniques, composés selon le rythme 4 + 6 (donc en cadence majeure : la mélodie monte dans la première partie, la protase ; elle descend dans la seconde, l’apodose)

femme qui écrit. +renvoie implicitement au feu ( soleil qui assèche) et à l’eau ( qui rend la plante verte) -> cohérence des images. - Jeu sur les sonorités : modification du schéma des rimes ds les tercets =) Quatrains à rimes embrassées ABBA ABBA Tercets : originalité car habituellement c'est : CCD EED ou EDE et ici c'est : CDC CDD -> ce sont tjrs les mêmes sonorités qui reviennent, recherche d’une esthétique de la répétition  + isolement d’un distique final qui met en avant l’antithèse