Abbatiale

qui explique que les Grégoriens en fassent une hérésie au XIème siècle. =>la simonie-achat de charges ecclésiastiques aux laïcs / de la simonie-vente (trafic de sacrements, vente de reliques…) La 1er revient à acheter les charges épiscopales, abbatiales ou presbytérales des paroisses. Les rois et princes ont souvent tendance à: - vendre les charges qu’ils possèdent au plus offrant (le temporel de l’évêché étant féodal) - donner à un parent ou à un proche pour le fidéliser ou le récompenser

on y tenait aussi des assemblées à dominante politique sous la présidence de l'évêque. Jusque vers le milieu du XIIe siècle, les cathédrales ne se distinguent pas par leur ampleur. Elles sont le plus souvent dépassées à cet égard par les églises abbatiales, oeuvres de communautés très puissantes. Mais grâce au développement de la richesse laïque ou, mieux, populaire, dans la seconde moitié du siècle, un désir irrésistible fait irruption, dégorge par les ruelles des jeunes villes et submerge la France

imoin Glossaire : vocabulaire du patrimoine © Michèle LARDY, Maître de Conférences d’anglais Université Paris1 Panthéon-Sorbonne Remarques et suggestions bienvenues à Michele.Lardy@univ-paris1.fr A Abandon, à l’: derelict abat-jour : lampshade abbatiale : abbey abbé : abbot abriter, contenir : to house NB. : “in-house” = interne, en interne ( an in-house collection) archiver, stocker en dehors du bâtiment principal : to out-house abside : apse accolé : appended accrochage : (tableaux) hanging; (expo)

traversée par un réseau de chemins de fer qui approvisionne la vaste usine dans laquelle le vieux bourg abbatial s’est pour ainsi dire absorbé. ça et là, sur les quarante hectares de terrain que couvrent les ateliers, se dessinent les façades décoratives des halles de travail, pleines de feu et de fumée, de bruit et de mouvement… » Louis Reybaud, Le fer et la houille, Brionne, 1874. 1. Abbesse et abbatial : se rapportent à la présence d’une abbaye (communauté religieuse). 2. Westphalie : région de l’ouest

qu'il était un hameau dans une seigneurie comtale, nom qu'il portait de­ puis longtemps Il ; au cours de l'été de l'année 1086, l'évêque con­ sacra ce monastère bénédictin et lui octroya un statut de libertas comprenant, notamment la libre élection abbatiale et l'exemption de toute ayouerie princière ; à cette même date, le comte de Louvain et son frère reconnurent ce statut privilégié, renonr:ant donc à l'avoue­ rie sur le monastère, et lui firent, en outre, donation de près de deux cent cinquante hectares

Boniface reforma l'église qui devint pastorale et monastique. Les évêques redevinrent des chefs spirituels et des éducateurs dans les écoles épiscopales.             La vie intellectuelle: Sous Charlemagne on bâtit de nombreuses écoles épiscopales et abbatiales qui répandirent un programme d'enseignement méthodique en Latin. L'enseignement se faisait en 2 cycles: - un Ier cycle le trivium, visait la grammaire, la rhétorique, l'art du raisonnement; - le IIème le quadrivium, traitait de thèmes comme: l'arithmétique

qui retourne au comte. Au XIème siècle, les princes et les comtes se sont emparés des fonctions et des biens ecclésiastiques sur leur territoire et ont imposé leurs candidats – des membres de leur famille – sur les sièges épiscopaux (évêque) ou abbatiaux (abbés) et dans les collégiales de chanoines (moines) : l’Eglise est passée aux mains des laïques. Ces nouveaux évêques ou abbés, investis de leur dignité et de leurs possessions temporelles sont pour la plupart devenus de véritables seigneurs exerçant

abbaye sont divisé en deux parties: la manse abbatiale qui va directement à l'abbé et la manse conventuelle qui elle est collective au profit des moines avec une affectation selon la spécialité des fonctions «les offices» claustrales . L'avoué, il s'agit du spécialiste ds le couvent de la gestion des revenus du temporel nommé par le roi tendant à l'hérédité. PS: Le roi carolingien se réserve la nomination d'abbés laïques bénéficiant de la manse abbatiale jusqu'à la réforme du Pape Grégoire VII au

écrits de 1519- 1530, on apprend qu’ un certain Johann Sourbroit, meier[10] von Weywerche est installé à l'orée des bois d'Averscheidt ; c’est-à-dire à peu près à l’endroit où l’on se trouve. C'était un endroit fort fréquenté à la limite des terres abbatiales de Stavelot-Malmédy, au bord du chemin reliant le duché de Limbourg et le grand duché du Luxembourg, au carrefour de la "Voie du Fer" et de divers chemins reliant les localités riveraines de la Fagne. Le nom de Mr. Sourbrodt allait supplanter rapidement

ses cendres au Panthéon de Paris avec les honneurs dus aux grands hommes, ses restes sont, deux siècles plus tard, toujours « coincés » entre deux autres pierres tombales - celles de Jean Mabillon et de Bernard de Montfaucon - dans une chapelle abbatiale de l'église Saint-Germain-des-Prés, à Paris. L'arrêté de la Convention n'a toujours pas été appliqué. Le projet cartésien : la recherche d’une science universelle [modifier] Descartes par Moncornet. Quand Descartes commence à s'intéresser aux