Abbatiale

maladrerie, maisonnette isolée et mal vue. Mais ce qui attirait surtout le regard, et le fixait longtemps sur ce point, c’était l’abbaye elle-même. Il est certain que ce monastère, qui avait une grande mine et comme église et comme seigneurie, ce palais abbatial, où les évêques de Paris s’estimaient heureux de coucher une nuit, ce réfectoire auquel l’architecte avait donné l’air, la beauté et la splendide rosace d’une cathédrale, cette élégante chapelle de la Vierge, ce dortoir monumental, ces vastes jardins

Prandtauer. Située sur promontoire à pic au-dessus du Danube. Eglise abbatiale de l’abbaye de Melk. Deux tours à pinacle et imposante coupole. Ensemble encadré par deux pavillons symétriques qui abritent l’un la salle de marbre et l’autre la bibliothèque. Ces deux pavillons sont reliés en arc de cercle par deux ales plus basses qui dessinent sorte de cour semi circulaire et se rejoignent en leur centre avec un arc dans l’axe de l’église abbatiale, qui est l’ouverture vers le fleuve. Décoration intérieure

lyrique relativement fournie. Dans la représentation de l’amour mystique, Béatrice sert un peu de prétexte de spéculation théologique, dans une perspective mysticisante. Ensuite, il suit sa formation intellectuelle : il fait ses études dans des écoles abbatiales de Florence, chez les dominicains et les franciscains. C’est important pour son œuvre, car elle est constituée d’une composante intellectuelle et d’une composante sociale et de simplicité chacune héritée d’une de ces formations. Il a dû étudier

Cluny. Il relaie l’action clunisienne en imposant dans le domaine un modèle de Paix de Dieu en 1023. Le pouvoir de Robert II repose sur les acquis antérieurs : une principauté personnelle augmentée du duché de Bourgogne, de charges épiscopales et abbatiales, une bonne entente avec quelques chefs de principautés comme Foulque Nerra et des alliances familiales (mariage de sa fille avec l’héritier du comté de Nevers). Néanmoins, le pouvoir royal est toujours limité par les mêmes obstacles : l’instabilité

système à trois couleurs de base à un système à six couleurs. C'est ainsi que le bleu devient en quelque sorte le contraire du rouge. Si on avait dit ça à Aristote, cela l'aurait fait sourire! Vers 1140, quand l'abbé Suger fait reconstruire l'église abbatiale de Saint-Denis, il veut mettre partout des couleurs pour dissiper les ténèbres, et notamment du bleu. On utilisera pour les vitraux un produit fort cher, le cafre (que l'on appellera bien plus tard le bleu de cobalt). De Saint-Denis ce bleu va se

terroir au pays et à la région" par Serge DONTENWILL, Les espaces sociaux en Roannais à l'époque préindustrielle (milieu XVIIème – fin du XVIIIème siècle, Publications de l'Université de Saint-Etienne, 1997, pages 7-8 + carte du roannais. - Eglise abbatiale de La Bénisson-Dieu, abbé René MANCEY, réédition de 1994 – Les Amis de l'Abbaye. - Cahiers de recherches historiques sur le Roannais. Peste, guerre, famine dans les pays du Forez, du Roannais et du Lyonnais par Monique VIALLA, Thoba's éditions, 2011

Nouveaux loisirs La France par les fleuves et les canaux / Maknight H. / 1988 Montereau et la Brie verte : du Val de Seine au Val d’Ancoeur (Pays de Seine-et-Marne) / Gilbert-Robert Delahaye / Relié 1999 Pierre de Montereau, architecte de l’église abbatiale de Saint-Denis / Stein H. Montereau (Histoire de) / Paul Quesvers / Décembre 2004 Recherches sur les terrasses alluviales de la Seine entre la Manche et Montereau / Chaput E. La révolution d’un seul grain d’herbe sauvage / Masanobu Fukuoka / Guy

règle est adopté à un concile de 817 qui s’est tenu à Aix la Chapelle. Il y a toujours la délivrance des immunité et des exemptions. La préoccupation temporelle est importante. Les revenus du monastère sont divisé en deux part. d’un côté la manses abbatial c’est le revenu de l’abbé et l’autre c’est la manses conventuelle c’est la part des moines affectés au fait de la réalisation de leur travail. Les abbés prennent coutumes de confier à un avouer qui est lui aussi un laïque nommé par le roi et notamment

c’est-à-dire que, selon sa légende, elle a préféré mourir plutôt que de renoncer à sa foi. Cette légende, popularisée au XIIe siècle, fait d’elle un modèle à suivre pour les chrétiens. Par ailleurs, le culte de sainte Foy (doc. 1) a été encou- 1. L’église abbatiale est adaptée aux pèlerinages à la fois par sa vaste dimension (doc. 3) qui permet une grande affluence, et par la structure du chœur : autour du trésor des reliques, qui s’y trouve conservé, a été aménagé un déambulatoire qui permet aux pèlerins de

proviendrait du latin redimere et signifiant «restituer», afin d'évoquer le retour de ces cantons dans le giron belge. En réalité il s’agissait d’une réunification de parties des anciens duchés de Limbourg et de Luxembourg ainsi que de la principauté abbatiale de Stavelot-Malmedy, qui avaient été découpées en 1815 au traité de Vienne. Les villes de Eupen, Malmedy, Saint-Vith et Moresnet furent rattachées à la Belgique, avec une population totale de 63 000 habitants. Dès lors, la langue allemande fit partie