Abbaye du Thoronet

Villeneuve, Octobre 2012 Harmonie des Abbayes et Divine Proportion Avant-propos… En 2000, au cours de ma préretraite qui m’a valu deux années de passage au siège de l’OCDE, au Château de la Muette à Paris où j’avais été chargé d’organiser l’externalisation des services commerciaux, notamment par la gestion du supermarché qui approvisionnait les 3000 diplomates en poste à Paris, les boutiques « duty-free », le kiosque à journaux - le plus important de Paris en fait de références, puisque nous y vendions

Avignon p. 21 C. Hyères p. 22 D. Massif des Maures p. 22 E. Fréjus, ville d’art et d’histoire p. 23 F. Le massif de l’Estérel p. 23 G. Les villages perchés du pays de Fayence p. 24 H. L’abbaye du Thoronet p. 24 I. Massif de la Sainte Baume p. 24 J. Aix en Provence p. 25 K. Musée du bonbon p. 25 L. Château des Baux de Provence p. 26 M. Château royal de Provence p. 26 N. Arles p. 26

salles pavées de mosaïques. Saint Honorat qui fonda le monastère de Lérins serait venu se recueillir à Porquerolles. Un monastère adjoint à celui du Levant (succursale de Saint Honorat) a été construit dans l’île, il dépendait du couvent du Thoronet, autre abbaye cistercienne de la Provence. Les habitants de Porquerolles eurent à subir les pillages des pirates barbaresques. Les Sarrazins firent des raids sur l’île de 1198 à 1505. Pour lutter contre les pirates sur l’ile de Porquerolles, Charles II

l'eucharistie... ..Mais tout en étant lié au symbole des cultes religieux, si le clergé devint propriétaire de nombreux vignoles, c'est que le vin, comme mentionné plus haut, servait de monnaie d'échange. Les Hospices de Beaune, les moines des abbayes du Thoronet, des îles de Lérins, de Saint-Pons et de Saint Victor, vendaient leurs récoltes pour faire acte de charité en venant en aide aux malades. Pour les musulmans, les choses sont plus strictes. Cette boisson comme les boissons fermentées sont

portail dans un but éducatif⇒ apprendre la religion aux fidèles (image qui sert a expliqué la bible, l’histoire de la religion) l’architecture cistercienne⇒ L’architecture cistercienne est un style d’architecture associé aux églises, monastères et abbayes de l’Ordre Cistercien Catholique Romain, tendance très sobre, sans aucun décors ni de sculpture monumentale. • nef centrale • bas-côtés (ou collatéraux) • travées • transept • croisée du transept • bras du transept (ou croisillons) • choeur • déambulatoire

Age  Une abbaye, une basilique ou une église 10 L'Abbaye royale de Fontevraud [Livre]. Association des amis de l'abbaye royale, 1984. Abbaye de Fontevraud [Diapositive]. CDDP de Maine-et-Loire, 1983. Martella, Christine. Le Cistercien en Provence : l'Abbaye du Thoronet [Diapositive]. CRDP de l'académie de Nice, 1989. Corre, Serge. Le Mont-Saint-Michel au moyen-âge [Diapositive]. CNDP ; O. Jacob, 1991. La Bretagne au temps des Ducs : Abbaye de Daoulas [Livre]. Musée Dobrée ; Abbaye de Daoulas

sculpté ou peint qui pourrait distraire le fidèle de sa prière, pas de trop grandes ouvertures qui pourraient donner une lumière favorisant les illusions, pas de grands clochers trop prétentieux. Exemples Fontenay, et trois abbayes cisterciennes implantées en Provence : Le Thoronet, Silvacane, Sénanque. Zoom sur... Vue intérieure de l’église de l’abbaye cistercienne de Noirlac Les piliers carrés de la nef se terminent par une imposte. La seule décoration réside dans les nervures des voûtes qui reposent

patrimoine Château d'Azay-le-Rideau Abbaye de Fontevraud Remparts d'Aigues-Mortes Château de Pierrefonds Château du Roi René à Angers Église abbatiale de Saint-Denis Abbaye du Thoronet Château de Vincennes Ancienne abbaye de Cluny Château d'If à Marseille Fort de Salses Palais du Tau à Reims Fouilles de Glanum à Saint-Rémy Tours de la Rochelle Locmariaquer Nombre d’entrées 1 200 000 1 000 000 800 000 600 000 400 000 200 000 0 Arc de Triomphe de l'Etoile Abbaye du Mont-Saint-Michel Sainte-Chapelle

reconstruite au XIème siècle. Le développement de l’architecture romane s’exprime à travers une grande diversité stylistique liée aux particularités régionales. Tandis que les abbayes de Cluny et de Paray-le-monial expriment le développement de la monumentalité et la richesse décorative, les abbayes de Cîteaux et du Thoronet imposent pour leur part, la simplicité et le dépouillement. Les performances de plus en plus spectaculaires de ces édifices qui gagnent en hauteur, en ouverture et en lumière

promesses qui, en 1024, dans l'une de ces assemblées, furent imposées aux chevaliers : les rompre, c'était se précipiter, tête première, parmi les démons. » (Duby, le Temps des cathédrales.) L'Église a des intérêts précis, ceux de ses- grandes abbayes bénédictines, groupées autour de Cluny (fondée en 915) ; ces établissements et le clergé séculier accumulent l'essentiel des surplus, dons et héritages. En effet, pour se concilier l'indulgence divine, les seigneurs lèguent aux moines la moitié, voire