Abbé Raynal

monastique. Les textes qui nous sont proposés permettent d’appréhender ce qu’était être chartreux au Moyen Age. Le premier, intitulé « Saint Bruno et les premiers Chartreux », est un récit extrait de l’autobiographie de Guilbert de Nogent (1053-v.1124), abbé de Nogent-sous-Courcy. Ce dernier, bien qu’il soit surtout resté célèbre pour sa chronique de la première croisade, livre dans ce texte un précieux témoignage sur l’organisation d’un monastère Chartreux tel que le souhaitait Saint Bruno (1030-1101)

nature, son caractère, sa rigueur ou son austérité, rappelle ou évoque la vie de couvent. - Prébende : * RELIG. CATH. Revenu ecclésiastique provenant à l'origine du partage de la mense capitulaire (= mense conventuelle : revenu ecclésiastique d’un abbé, d’un chanoine, d’un évêque…généralement foncier, ce sont les biens qui reviennent aux membres du chapitre) et destiné à l'entretien d'un chanoine séculier, mais qui peut être attribué à un autre clerc ou même transféré à un laïc. * Général : Revenu

prêtre ou d un curé Diocèse : territoire sous l autorité religieuse d un évêque il comprend plusieurs paroisses Moines : hommes ou femme membre du clergé qui s est retiré du monde pour se consacrer à la prière soit seule soit en communauté Abbé (abbesse) : religieux ou religieuse dirigeant une communauté monastique. Abbaye : monastère important qui en contrôle souvent d’autres. Clergé régulier : ensemble des clercs qui vivent en suivant une règle monastique comme les moines et les abbés

de Saint-Mihiel rédigées par un moine anonyme de ce monastère situé près de Verdun. L’auteur utilise avec un esprit critique des chartes, des témoignages oraux et ses souvenirs. Dei Gesta per Francos de Guibert de Nogent (1109) : point de vue d’un abbé sur la première croisade (il n’y a pas participé). - Les gestes : Apparus au VIIIe siècle, les gestes d’évêques ou d’abbés rassemblent des notices sur les évêques d’une cité ou les abbés d’un monastère, afin de glorifier leur institution et

monseigneur Bienvenu Le palais épiscopal de Digne était attenant à l’hôpital. Le palais épiscopal était un vaste et bel hôtel bâti en pierre au commencement du siècle dernier par monseigneur Henri Puget, docteur en théologie de la faculté de Paris, abbé de Simore, lequel était évêque de Digne en 1712. Ce palais était un vrai logis seigneurial. Tout y avait grand air, les appartements de l’évêque, les salons, les antichambres, la cour d’honneur, fort large avec promenoirs à arcades, selon l’ancienne

purification des mœurs du clergé, lutte contre la simonie, contre le trafic des bénéfices, centralisation de l’Eglise. 1er texte : Puissance du pape qui st au dessus des souverains 2ème texte : argument en faveur de cet absolutisme. b) Hugues, abbé de Saint Victor à Paris (fin du XIème siècle à 1141). 1086-1141 : philosophe théologien. Chanoine à Saint Victor à Paris. Recommandait à ses disciples de tout apprendre car rien n’est inutile. c) Bernard de Clairvaux : 1091-1153 : Lettre au pape

trouvait sur l’actuelle place de la Sorbonne, l’habitat près des thermes. Les abbés (aussi remplissant la fonction d’enseignants du Collège de Cluny), ont habité l’Hôtel de Cluny jusqu’à la Révolution française. A là fin du XVe siècle, Jacques d’Amboise, abbé de Cluny, décide de reconstruire l’hôtel parisien des abbés de Cluny, sa chapelle et le collège (aujourd’hui disparu). La construction fut rapide. En 1634, l’hôtel de Cluny reçoit de nombreux hôtes royaux et était habité par le cardinal Mazarin. Ce

d’argent, avec 3 merlettes gravées. Il décide de cacher l’anneau chez lui.Le lendemain, frère Jérôme, le moine portier de l’abbaye, découvre le cadavre d’un pèlerin de Saint-Jacques de Compostelle, étendu sur le parvis de l’église.Frère Arnould, le père abbé, le juge Guillaume Taillefer, Messire Raymond de Pleaux, seigneur de la Vicomté se retrouvent sur les lieux pour examiner le cadavre, bientôt rejoints par Guy de Servières, un jeune noble déchu, et Dame Agnès, fiancée du Vicomte de Pleaux.Guy qui a

De l’horrible danger de la lecture Nous, Jean-Pierre de la Roche, soumis au Glorieux Royaume de la Canfre, orateur des orateurs, abbé entre les abbés, à tous les chrétiens ici présents qui bénits seront et attaque entendront. Comme ainsi soit que Guillaume Camiraux, ci-devant, enfant du chœur de la Sainte Église de Saint-Hilaire Saint-Florent, à l’ouest de la France entre le Pays Basque et les Pays-Bas, nous apporte en lui l’éducation, l’apprentissage de nouvelles connaissances enseignées par

siècle avec l'organisation de la vie du moine cistercien Développement :Tout d'abord un moine cistercien vie dans une abbaye ou dans un monastère où il doit suivre la règle de saint Benoît qui date du VI siècle . Le moine cistercien a un chef appeler abbé qui apparaît aussi sous le nom de « Supérieur » son enseignement et l'obéissance des disciples feront l'objet d'un examen au Jugement de Dieu. Pour être un moine il est obliger par nécessiter ou la pauvreté , de travailler eux mêmes aux récoltes si