Abel-François Villemain

François-René de Chateaubriand 1 François-René de Chateaubriand François-René de Chateaubriand Portrait de François-René de Chateaubriand. Données clés Activités Écrivain Traducteur Ministre des Affaires étrangères Ambassadeur 4 septembre 1768 Saint-Malo,  Royaume de France 4 juillet 1848 (à 79 ) Paris,  France, IIe République Naissance Décès Langue d'écriture français Mouvement Genres Romantisme romans, essais, mémoires Œuvres principales • • • • Atala (1801) Génie du christianisme

Bonaparte, roi d'Espagne et en garnison dans le Doubs au moment de la naissance de son fils, et de Sophie Trébuchet (17721821), jeune femme issue de la bourgeoisie nantaise (voir maison natale de Victor Hugo). Benjamin d'une famille de trois enfants après Abel Joseph Hugo (17981855) et Eugène Hugo (18001837), il passe son enfance à Paris. De fréquents séjours à Naples et en Espagne, à la suite des affectations militaires de son père, marqueront ses premières années. Ainsi, en 1811, il est, avec son frère

C'est peu de temps après que Nerval publie "Le Christ aux Oliviers" dont l'épigraphe est "Dieu est mort !". Hugo va plus loin que ne le pouvait espérer Nerval dans le rôle que le poète avait voulu lui donner : Hugo ne ménage pas sa peine auprès de Villemain pour faire obtenir au poète souffrant une petite pension qui lui fut en effet octroyée. Il sera peut-être aussi de ceux qui interviendront pour qu'il ne parte pas en Orient sans viatique. Le dossier concernant cette 25. Gérard de Nerval, op. cit

montait, citait des chiffres, des offres qu'on lui avait faites, Bos, le fameux Bos de la rue de l'Abbaye, et il s'y connaissait, celui−là! prêt à donner vingt mille francs rien que pour trois pièces de la collection, trois lettres de Charles−Quint à François Rabelais. «Des paperasses, ah! oui−da!» Mme Astier l'écoutait stupéfaite. Elle savait bien que depuis deux ou trois ans il s'était mis à collectionner des vieux papiers, il lui parlait quelquefois de ses trouvailles, qu'elle écoutait de cette oreille

biographiques, « Vauvenargues », Paris, 1921, pp.91-146, (étude de 1855). DESNOIRETERRES (Gustave), Voltaire et la société au XVIII° siècle, Paris, 1871, pp.97-104. FAURIE (M.A.), Etude sur Vauvenargues, Toulouse, imprimerie de P. Montaubin, 1876. FRANCOIS (Roger), « Vauvenargues chrétien », Bibliothèque universelle de Genève, Paris, édition Cherbuliez Joël, janvier 1852, pp.28-45 ; février 1852, pp.129-148. GALITZIN (Auguste), « Etude littéraire sur Vauvenargues », Bulletin du bibliophile, 1857, pp

Paris (vieille maison au cœur du Paris médiéval qui se trouvait à l’emplacement actuel de la librairie Hachette car elle fut détruite lors de la percée du boulevard Saint-Germain). Il fut baptisé le 7 juin à Saint-Sulpice. Il était le fils de Joseph-François Baudelaire, qui avait été dans sa jeunesse prêtre du diocèse de Châlons-sur-Marne, mais n’avait, selon toute apparence, jamais exercé le sacerdoce, car il devint répétiteur à Sainte-Barbe puis précepteur des enfants du duc de Choiseul-Praslin. Il

Chapitre V Tombeau convenable ........................................... 487 À propos de cette édition électronique .................................496 –5– Livre premier Un juste –6– Chapitre I Monsieur Myriel1 En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C’était un vieillard d’environ soixante-quinze ans ; il occupait le siège de Digne depuis 1806. Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que nous avons à raconter, il n’est peut-être

Chapitre V Tombeau convenable ........................................... 487 À propos de cette édition électronique .................................496 –5– Livre premier Un juste –6– Chapitre I Monsieur Myriel1 En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C’était un vieillard d’environ soixante-quinze ans ; il occupait le siège de Digne depuis 1806. Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que nous avons à raconter, il n’est peut-être

. 480 Chapitre V Tombeau convenable ........................................... 487 À propos de cette édition électronique .................................496 –5– Livre premier Un juste –6– Chapitre I Monsieur Myriel1 En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C’était un vieillard d’environ soixante-quinze ans ; il occupait le siège de Digne depuis 1806. Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que nous avons à raconter, il n’est peut-être

**** air d’un célèbre opéra-comique de Nicolas Isouard, Joconde ou les Coureurs d’aventures(1814). ***** une pantomime de Balisson de Rougemont (1781-1840), parodie de mélodrame, s’intitulait La Femme innocente, malheureuse et persécutée. ****** François de Malherbe (1555-1628), Consolation à Du Périer 54 charmante dans sa simplicité*… »60 La cinquième citation de Vautrin : « ô Richard, ô mon roi ! L’univers t’abandonne** »61 Enfin, la dernière citation de Vautrin : « Dormez, mes chères