Abside

Lassus Nuper rosarum flores, 1436 ▪ Guillaume Dufay (1400-1474) ▪ Commandé pour la consécration du dôme de Santa Maria del Fiore à Florence ▪ Motet isorythmique ▪ Structure calquée sur les proportions de l’édifice : 6 (nef), 4 (transept), 2 (abside), 3 (coupole) : quatre sections musicales dont les durées suivant les mêmes proportions. Synthèse et passage au Baroque ▪ Moyen-Age et Renaissance : la musique doit être écoutée de manière linéaire, comme une superposition de mélodies et non

du transept Croisillon sud du transept avec ses arcatures en soubassement | Cliquez sur une vignette pour l’agrandir | Le chœur Le maître-autel Le chœur, légèrement désaxé vers le nord, compte cinq travées droites et une abside en hémicycle à cinq pans. Il s'élève sur trois niveaux : de grandes arcatures au tracé très aigu reposant sur des piles cylindriques, couronnées de chapiteaux à feuilles ornés de têtes recevant les ogives ; un triforium aveugle aux fines arcades aigües

en brique crue posée sur un lit de pierre. Sur ces fondations est venue s'installer, au Ve siècle, une église byzantine dont on distingue un peu partout les symboles et les ornements. L'ancienne porte monumentale de l'atelier fut alors convertie en abside. Pélopéion Le Pélopion est un monument en l'honneur de Pélops. Il consistait en un autel ceint d'un mur pentagonal doté d'une entrée monumentale. Le monument connut de très nombreuses transformations entre le VIe siècle av. J.-C. et le IVe siècle

France, puis rayonne dans l'ensemble de l'Europe. 2. A partir du Xe s., les architectes modifient le plan en forme de croix (doc. 25, p. 34). Derrière la croisée, on ajoute le chœur, réservé au clergé, et, pour les bâtiments plus importants, une abside voire même de petites chapelles rayonnantes (ou absidioles) et un déambulatoire. Par ailleurs, les bâtisseurs cherchent à solidifier la couverture du bâtiment: ils recourent à la voûte et non plus au plafond. a. Premier procédé: la voûte en berceau

corps du Christ avec la plus grande déférence et incarne le peintre qui prie pour son salut. Ce tableau est une synthèse de l’œuvre de Titien. C'est aussi un hommage à Bellini, à la peinture vénitienne : expression du maniérisme vénitien, la voute en abside, la lumière, le chromatisme chaud intense. L’œuvre fait partie du style tardif de Titien. Il prend une liberté avec les touches de peinture. Elles sont apparentes. Il y a une désintégration des formes par la lumière. La lumière a une certaine

portant statues, peintures, inscriptions et candélabres, devant lequel se déploient des gradins pour les spectateurs. En 1625 et 1629, Bernin préfère aux arcades ouvertes des entrecolonnements chargés de tableaux. Un apparato de ce type masque nef et abside pour l'« adoration de quarante heures » à Saint-Laurent-en-Damase (Pierre de Cortone, 1633) ou à la chapelle Pauline (Bernin, vers 1669). Mais pour les quarante heures au Gesù, C. Rainaldi (1650) puis le père Pozzo (1685, 1695) travestissent l'église

auparavant une travée de nef s’étendait sur 2 travées collatérales. Sur ce schéma de base, les maîtres d’œuvre imaginent des solutions différentes, tout en conservant ou en partant de cette base. ANNEXE VOCABULAIRE D'ARCHITECTURE abbaye abbé abside/à chapelles accoler aile ajouré amortissement angle animaux symboliques aplomb appareil /construction grand appareil petit appareil arbre généalogique arc arc brisé arc trilobé arc boutant arc doubleau arche de Noé archevêque architectonique

s’immerge au cœur des lieux qu’il sténographie en de rapides croquis en temps réel. Avant même de découvrir l’œuvre, les élèves, assis derrière la structure en drap, captent « à l’aveugle » des éléments et cherchent à deviner ce qui est exposé dans cette abside en tissu. Ensuite, les différentes strates qui se superposent et s'imbriquent sur l’écran sont décodées et détaillées avec le guide. Ce travail complexe et élaboré convoque de multiples niveaux de signification qui seront essentiellement abordés avec

villes, le type classique de l'édifice se compose d'une salle assez longue délimitée par une colonnade: la nef (na vis : vaisseau) flanquée de deux salles parallèles de part e d'autre, moins élevées, les nefs latérales; les nef s'achèvent dans une abside (apsis : arc, hémicycle d'un basilique romaine) semi-circulaire. La couverture a ét longtemps faite en charpente. La voûte, appareillage d pierres se tenant les unes les autres, apparaît tôt e Occident, mais n'élimina pas partout la charpente. D'Orient

personnage principal › Reconnaître le registre pathétique › Repérer l’ironie du narrateur Dominante Lecture analytique Vocabulaire : Nef (p. 34) : partie centrale d'une église qui va de l'entrée au choeur, au fond de l'église. Lutrin (p. 34) : pupitre. Abside (p. 34) : extrémité d'une église, derrière l'autel. Saint-Esprit (p. 34) : une des trois figures de Dieu dans la religion chrétienne, souvent symbolisé par une colombe. Tabernacle (p. 34) : petite armoire où sont conservées les hosties, petites