Accélérateur de particules

- Un service de médecine carcinologique de 21 lits ; - Un service de curiethérapie de 2 lits ; - Un service de médecine polyvalente de 14 lits; - Un service de chimiothérapie ambulatoire de 10 places ; - Un service de radiothérapie (Cobalt, Accélérateur) www.crom95.org ; - Un service de radiologie (Scanner, Radiologie, Echographie) www.imsm.fr; - Une IRM (Mai 2005) - Une unité de soins intensifs (U.S.I) ; - Une unité d'exploration cardio-vasculaire (CARDILEC) ; - Service d'urgence 24h/24

classique requiert. On appelle ce phénomène l’effet tunnel. L'origine de cet effet provient de ce qu'on a appelé la dualité onde-corpuscule. À toute onde on peut associer des particules: par exemple, la lumière peut se décrire comme des ondes électromagnétiques ou se comporter comme un flux de photons, et inversement toute particule matérielle peut avoir des comportements relevant plutôt du domaine des ondes. Imaginez une balle que vous lanciez contre un mur. Soit elle est lancée assez fort, et elle

hautement nuisibles; en particulier le monoxyde d'azote est toxique, alors que le bioxyde d'azote est fortement irritant. • les oxydes de soufre (SOx) provoquent des problèmes respiratoires et la formation des pluies acides. • les Suits (particules solides) provoque des dommages aux voles respiratoires et on pense qu'il ont des effets cancérigènes. Pour les moteurs Diesel, les émissions qui doivent être contrôlées plus spécialement sont celles de Suits, qui provoquent la fumée caractéristique

jamais atteinte dans un accélérateur de particules. Trois fois et demie celle de l’instrument jusqu’alors expérimenté par les américains. Pour se représenter la violence d’une telle collision, il faut se rappeler qu’un TeV est l’énergie cinétique … d’un moustique en vol, mais concentrée dans un espace mille milliards de fois plus petit que l’insecte lui-même, ce qui la rend proprement titanesque. C’est à cette condition que les physiciens espèrent, en fracassant des particules lancées en sens contraire

traitement locorégional des cancers. Elle consiste à utiliser des rayonnements (on dit aussi rayons ou radiations) pour détruire les cellules cancéreuses en bloquant leur capacité à se multiplier. Ces rayonnements sont produits soit par des accélérateurs de particules, soit par des sources radioactives. On parle d'irradiation de la tumeur ou de la zone à traiter. Le médecin spécialiste de la radiothérapie est un cancérologue, appelé « oncologue radiothérapeute » ou encore « radiothérapeute ». La radiothérapie

rayonnement alpha du polonium 210 se contrôle facilement. Il ne pénètre que peu la matière. Une couche d’air de quelques centimètres ou une feuille de papier suffit à l’arrêter. Mais inhalé ou absorbé, cet isotope devient un redoutable toxique car les particules chargées qui composent son rayonnement lèsent irrémédiablement les tissus de l’organisme qu’elles irradient et notamment ceux qui produisent des cellules sanguines. À en croire les spécialistes, le polonium est, à masse égale, un million de fois

carbonées ou molécules organiques  molécules dont la charpente (ou squelette) est composé de Carbone. LE NOYAU : au centre, cœur de l’atome il est composé  de neutrons : particules n’ayant pas de charge électrique (électriquement neutres)  de protons : particules chargées positivement (p+) LES ELECTRONS : particules gravitant autour du noyau et ayant une charge électrique négative (e-) L’atome (noyau+électrons) a donc une charge globalement neutre, c’est à dire qu’il y a autant de p+ que

mondial en 1993. Ces aimants supraconducteurs servent aussi dans la physique des particules : pour pouvoir bien guider les particules, les maintenir sur des orbites définies, focaliser et recentrer les faisceaux. D'autres aimants servent à la détection de particules élémentaires émises lors des collisions dans les accélérateurs. On a donc des aimants supraconducteurs sur tout le parcours des particules. |

de Physique Corpusculaire de Clermont-Ferrand d’avoir accepté de diriger cette thèse et de m’avoir soutenu et fait confiance toutes ces années. Vous m’avez donné la chance de découvrir et d’appréhender les applications médicales de la physique des particules dans le cadre du développement de la plate-forme de simulation Monte-Carlo GATE mais aussi d’explorer de nombreux outils informatique comme les grilles de calculs. J’admire votre perspicacité votre pédagogie et votre clairvoyance aussi bien en physique

radiothérapie adéquate elle s’adapte en continuité en faisant appel à des techniques créative de robotique , d’imagerie etc…Parallèlement à cette radiothérapie accomplie avec des accélérateurs créant des faisceaux de photons et d’électrons de haute énergie, se développe la prothonthérapie qui utilise des particules qu’on appelle des protons (noyaux d’hydrogène), émis par des particuliers : des cyclotrons. Il existe deux centres de protonthérapieen France, qui sont réservés aux remèdes de tumeurs