Accords de Lomé

infrastructures, mauvaise administration, démographique. L’Afrique toute entière ne représente que la moitié du PNB de la France. - Les anciennes puissances coloniales, en particulier la France, continuent à jouer un rôle important : la France a passé des accords de défense avec huit pays (essentiellement des anciennes colonies). Si la France est intervenue 40 fois en Afrique, elle cherche de plus en plus à faire agir les Africains eux-mêmes. Il ne reste que 2 bases militaires permanentes. Les relations politico-économiques

placés dans des paradis fiscaux, Éco-emballage instaure une nouvelle direction et une nouvelle gouvernanc... 4. [pic] Le volet social du développement durable dans les organismes publics 11 déc. 2008 Actualité équité sociale Un accord a été signé entre le ministère du développement durable et la sécurité sociale / UNCASS pour favoriser l'accélération de la prise en compte du volet social du développeme... 5. [pic] Scandale : Éco-emballages perd l'argent public dans

franco-africains (depuis 1973) • Soutien officiel à la démocratisation DÉFENSE • Accords de défense • Accords de coopération militaire • Forces permanentes • Forces prépositionnées ou tournantes • Programme RECAMP • Forces sous mandat ONU • Stages et bourses • Nombreuses actions extérieures de l’armée française ÉCONOMIE • Franc CFA (Zone franc) • Aide directe aux budgets des États • Aide publique au développement (APD) • Accords ACP (Lomé de 1975 à 2000, Cotonou depuis 2000) • Aide humanitaire • Taxe sur les

prévalence de l’irrationalité de la nature humaine et des choix) 3. La négociation - Zartman : toute négociation repose sur un marchandage (les «référents» : définition subjective des principes auxquels le décideur est attaché) (ex. Les accords de Lomé : concession CEE-ACP) (ex. élargissement de la CEE : concession GB-CEE) - Théorie des jeux (convergence/divergence des référents reposent sur la perception réciproque des parties): o La convergence des référents = non zero sum game (acquis de

Gouvernement des pays membres décident de faire élire les députés européens au suffrage universel direct et de se réunirrégulièrement en Conseil européen, pour traiter des affaires communautaires et de la coopération politique. 1975 : Convention de Lomé signée entre la Communauté européenne et quarante six pays en voie de développement. 1975 : création du Fonds Européen de Développement Régional (FEDER). 13 mars 1979 : création du Système Monétaire Européen (SME) et de l'ECU. 7-10 juin 1979 : 1ère

toujours le « waiver »; Cycle de Tokyo (73-79) : la « clause d’habilitation » ; sans modifier le texte original mais accord des Parties Contractantes Extrait de la clause d’habilitation « nonobstant les dispositions de l’article premier de l’Accord Général, les Parties Contractantes peuvent accorder un traitement différencié plus favorable aux pays en développement sans accorder le dit traitement aux autres Parties Contractantes ». NB sur les préférences Caractère unilatéral: peuvent être

algérienne (1960) puis d’ «  Etat algérien souverain ». En avril 1961, putsch des militaires soutenus par les pieds noirs mais de Gaulle a l’opinion métropolitaine pour lui, les attentats de l’OAS (organisation de l’Armée Secrète) ne changent rien. Accords d’Evian et l’indépendance de l’Algérie. En ce qui concerne l’Afrique Noire, les pays acceptent d’entrer dans la Communauté Française fondée par la Constitution de la V° République (à l’exception de la Guinée). Ces Etats évoluent vers l’indépendance

s’affirmer sur la scène internationale. Elle exporte ses valeurs de solidarité et de démocratie aux pays en développement, et lance une politique étrangère favorisant le maintien de la paix dans le monde. C’est en 1975 que les premiers accords de Lomé ont eu lieu. L’Europe permet alors à plus de 45 pays d’Afriques, des Caraïbes et du Pacifique, d’exporter la totalité de leur production locale, et de bénéficier d’aides financières européennes. Ces actions permettent aux pays en développement

Président du Liberia, William Tubman, qui en a lancé l’idée. Un accord a été signé entre la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Liberia et le Sierra Leone en février 1965, mais celui-ci n’a pas abouti. En avril 1972, le Général Gowon du Nigeria et le Général Eyadema du Togo ont relancé ce projet, ont préparé des 2 propositions et ont rendu visite à 12 pays, demandant leurs contributions de juillet à août 1973. Une réunion a été organisée à Lomé en vue d’étudier une proposition de traité. Une réunion d’experts

1944), de Québec (12 septembre 1944), de Dumberton Oaks (octobre 1944), de Yalta en février 1945, et de Postdam en août 1 1945 établissaient des accords qui visaient à reconstruire la configuration politique des pays vaincus et à assurer un avenir de paix au monde. Cependant, la réalité de la fin de la guerre invalida la teneur de ces accords en mettant en lumière l’agressivité idéologique et territoriale de l’URSS. 1/ Vers l’affrontement. D’abord, en effet, l’URSS avait commencé de modifier