Accords de Matignon

pain paix liberté. Il obtient la majorité absolue et Léon Blum devient le président du conseil. Des grèves paralysent le pays car les ouvriers veulent des changements tout de suite et font ainsi pression sur le gouvernement et les patrons. Les accords Matignon donnent satisfaction aux ouvriers grâce aux augmentations de salaires, des libertés syndicales, conventions collectives… auxquels s’ajoutent des lois sociales comme la semaine de 40 heures, les 2 semaines de congés payés… L’économie doit redémarrer

textes de lois proposés au vote du parlement émanent du gouvernement (situation classique dans les démocraties aujourd’hui), or c’est lui qui le nomme (le chef du gouvernement, le Premier ministre depuis 2012 Jean-Marc Ayrault, l’hôte de l’Hôtel Matignon, il est le chef de l’exécutif soit a en charge l’application de la loi). Il est chef des armées. Il décide seul de l’utilisation de la force nucléaire embarquée dans sous-marins basés à Brest. Il nomme ses relais dans les régions et départements

élu et met en place de nombreuses réformes sociales. Le socialiste Léon Blum devient chef d’un gouvernement composé de ministres de différents partis de gauche. Ce gouvernement met fin à l’occupation des usines par les ouvriers avec les accords de Matignon qui leur accordent des augmentations de salaire et des meilleurs droits syndicaux. Quelques jours plus tard, des lois sociales importantes sont votées : les 15 jours de congés payés par an, les 40 heures de travail par semaine et les conventions

le mari travaille également dans l’entreprises touche moins que ces collègues femmes. La faiblesse des salaires féminins est souvent justifiées par l’absence de qualification ouvrière. En 1936, les conventions collectives négociées après les accords Matignon officialisent les doubles grilles qui distingues les salaires féminines et les salaires masculins. Ils précisent même le salaire de base selon le sexe sur le même poste. Dans la métallurgie parisienne par exemple, le salaire horaire est de 7

l’Europe en tenant compte de la solidarité croissante des pays de l’Union. Elle participe activement à la mise en œuvre des instruments de stabilisation régionale (traités FCE, " Ciel ouvert " - document sur les mesures de confiance et de sécurité -, Accords de Dayton) ainsi qu’aux initiatives développées en matière de maîtrise des armements dans le cadre de l’OSCE (lutte contre la dissémination des armes légères et de petit calibre - ALPC), initiative franco-néerlandaise sur les stocks de munitions)

AFFICHE DE PEIROS, mai 1936  Cette affiche est commanditée par la CGT (confédération général de travail) et elle s’adresse à la population. Elle a été publiée en Mai 1936, après les réformes misent en place suite aux accords de Matignon signés peu avant. Au premier plan on peut voir un ouvrier, en bleu de travail : il est heureux d’aller travailler et il salue sa famille (sa femme est son enfant). En arrière plan, le soleil se lève derrière les cheminés de l’usine pour indiquer

socialistes et radicaux décident de s’unir et de former le front populaire pour défendre la République ils vont remporter les élections législatives de mai 1936.a la tete du gouvernement, Léon Blum en Juin 1936,entreprend des réformes sociales (accord de matignon,hausse des salaires…) peu apres les front populaires est confrontés a des critiques de la droites a cause des divisons internes.Léon Blum démissione en Juin 1937. La seconde Guerre Mondiale : Pour étendre son espace vital, hitler s’attaque en

résolu, bien sûr, mais sans angoisse. » La musique, les chants et la danse sont les maîtres mots de ses grèves des années 1936. Elles aboutiront à une baisse du temps de travail au profit des loisirs, et à une augmentation de salaires des accords de Matignon. Ils obtiennent aussi le passage à quatre semaines de congés payés, ce qui incite les ouvriers à partir, pour la première fois, en vacances. En effet, les grèves des années 1930 ont engendré de profonds bouleversements dans l'organisation du

promises et montrer leur détermination au patronat. B/ Les réformes Dès son arrivée au pouvoir Léon Blum réunit les syndicats de salariés et les patrons. Le 7 Juin 1936, les accords Matignon sont signés. Ces accords reconnaissent la liberté syndicale, le droit de grève, la mise en place des conventions collectives (accord entre les syndicats et les patrons pour définir les conditions de travail dans les entreprises) et l’augmentation des salaires. Par la suite, ils sont suivis de lois sociales (loi

reconnaissance sans volonté révolutionnaire. Ces grèves du printemps 1936 provoquent l’effroi des patrons qui acceptent de négocier sous l’égide du gouvernement. Le 7 juin 1936, les représentants de la C.G.T. et des patrons concluent les accords Matignon. Ces accords généralisent les Conventions Collectives, reconnaissent le droit syndical et les délégués du personnel dans les entreprises, prévoient des augmentations de salaire. Quelques jours plus tard la Chambre vote la loi sur les Congés Payés (