Accroissement naturel

Année universitaire 2006/2007 Sommaire Introduction 4 L’extinction des espèces : un phénomène inhérent à l’évolutionnisme 6 L’évolutionnisme de Darwin 6 La sélection naturelle 6 Le combat intra- et interspécifique 7 Conséquences éthiques de l’adhésion à l’évolutionnisme 7 Quelle implication morale pour l’homme ? 7 La responsabilité de l’homme dans l’extinction des espèces 8 Des transformations trop brutales

l’économie du développement lorsque l’on a commencer a constater que les ressource naturelle étaient épuisable les économiste néoclassique on tenter d’intégrer l’environnement dans le modèle d’équilibre générale walrassien. Cette intégration a commencer par hotelling en 1931 et a été suivi par de nombreux travaux. Les analyses étende les enseignement de la théorie du capital au capital naturel qui intègre tout actif naturel. La principale règle qui va découler de ces recherches est énoncer par Hartwick

Dépassement écologique avec Biocapacité = Surface  Bioproductivité et Empreinte écologique = Population  Consommation par personne  Intensité en ressources et en déchets Être en dépassement écologique signifie que l´on déprécie du capital naturel (en puisant dans les stocks plutôt que dans le surplus généré annuellement) et/ou que l´on accumule des déchets dans l´environnement (en émettant plus de déchets que ce que la nature peut assimiler annuellement). L'empreinte écologique peut aussi

désertification se produit dans les zones au climat aride, semi-aride ou subhumide sec. L'aridité est une caractéristique permanente du climat, définissable par un déficit pluviométrique structurel par rapport aux besoins en eau de la végétation naturelle et cultivée. Elle est caractéristique des zones pour lesquelles les besoins en eau sont au moins une fois et demie plus élevés que les précipitations. En termes scientifiques, le rapport entre précipitations et évapotranspiration potentielle (P/ETP)

| |1 Le mécanisme de l'effet de serre | |2 Émissions dues aux activités humaines | |3 Emissions naturelles | |4 Le potentiel de réchauffement global | |5 Mesure des émissions | |6 Durée de séjour

Chapitre 12 : Urbanisme, gestion des établissements humains et développement durable. • Chapitre 13 : Energie et développement durable. • Chapitre 14 : Maîtrise des nuisances et développement durable Section III : Gestion durable des ressources naturelles • Introduction • Chapitre 15 : Gestion et utilisation des ressources en eau pour le développement durable • Chapitre 16 : Gestion et utilisation durable des terres • Chapitre 17 : Gestion et utilisation des ressources de la biodiversité pour le

e e f ´tant continue (et mˆme deux fois d´rivable) sur cet ensemble, elle est continue en x. En e e e passant ` la limite dans f (xn ) = 0 (n → +∞) on obtient f (x) = 0. a (b) f ´tant de classe C 1 sur l’intervalle [xn , xn+1 ], l’´galit´ des accroissements finis donne l’exise e e tence de yn ∈]xn , xn+1 [ tel que f (xn+1 ) − f (xn ) = (xn+1 − xn )f (yn ) et donc f (yn ) = 0. (c) (xn ) et (xn+1 ) ´tant convergentes de limite x, on a yn → x par th´or`me d’encadrement. e e e Par continuit´ de f en x

qu'est-ce que le bien être? Melbourne est la première ville heureuse (où il y a le plus de bien être) d'après 30 critères. Le bien être est très dur à mesurer car il a une multiplicité de critères. - Photo de Bangkok: un nombre de catastrophes naturelles sont dues par le réchauffement climatique. Des économistes disent que c'est à cause de nous qui cherchons à produire toujours plus sans faire attention aux conséquences qu'il y aurait sur la nature. On peut prendre l'exemple des Etats Unis où il

Introduction Pour revenir un petit peu à la base de la théorie de l'évolution et de la sélection naturelle, nous allons en rappeler les grandes lignes. Dans la conception de sa théorie, Darwin a fait deux constatations et en a tiré une conclusion : 1) Il a observé que les organismes varient et que leurs variations se transmettent (en partie du moins) à leur descendants[1]. 2) Il a aussi noté que les organismes produisent plus de descendants qu'il ne peut en survivre. Et il en a conclu

mondiale sur l'environnement à Stockholm, une prise de conscience générale a eu lieu : les ressources naturelles ne sont ni intarissables, ni inaltérables. Malgré la formidable capacité de la planète à "digérer" les déchets multiples créés par l'activité de l'homme, nul ne croit plus, comme l'écrivait au début du 19ème siècle un économiste français du nom de Jean-Baptiste Say1, que "les richesses naturelles sont inépuisables car sans cela nous ne les obtiendrions pas gratuitement. Ne pouvant être multipliées