Accumulation du capital

déterminants la croissance, l’investissement est souvent présenté comme l’un des plus importants. Un investissement est une dépense dont les agents économiques espèrent tirer un profit. La comptabilité nationale parle de FBCF (Formation brute de capital fixe) pour désigner l’ensemble des moyens de production durables, ceux qui ne disparaissent pas au cours du processus production. Mais en quoi l’investissement favorise t’il la croissance économique ? Dans un premier temps, nous montrerons que l’investissement

MALINVAUD: « LA CN est la présentation suivant un cadre comptable rigoureux de l’ensemble des informations chiffrées relative à l’activité économique nationale. Elle décrit le phénomène fondamental de la production, de la distribution de la répartition, accumulation des richesses. Elle enregistre les transactions entre les grands ensembles qui constituent la nation. Ces résultats se présente sous une forme propre à facilité les comparaisons et les études synthétique » Initiation à la comptabilité national

productifs propres à un autre genre, propres à créer le produit dont ils ont besoin, - et par services productifs j’entends non-seulement les services que rend le travail que l’auteur aurait dû nommer industrie, mais de plus les services que rendent les capitaux et les terres. Il en résulte, pour chaque genre, une quantité d’offres et de demandes qui règle la valeur courante, le prix courant de tous ces différents services. Il n’y a point là de prix naturel, de taux commun et fixe, parce qu’il n’y a rien

production: le facteur capital (en particulier le stock de machines) et le facteur travail (population active occupée ou nombre total d'heures travaillées). Toutefois, les études statistiques sur les sources de la croissance montrent qu'il subsiste un «résidu» inexplicable par l'influence directe de ces 2 facteurs: c'est la productivité global des facteurs (PGF); l'action autonome du progrès technique se manifesterait, au-delà de son incorporation directe dans le facteur capital ou le facteur travail

pays intermédiaires ont connu un rattrapage rapide au 20e siècle (Asie de l’est et Chine), tandis que d’autres, principalement en Afrique ne parviennent pas à décoller. En effet, des les années 30 il apparait nécessaire de réduire les inégalités de capital pour que le système capitaliste continue à se développer. Ces changements productifs puis institutionnels ensuite ont permis aux pays aujourd’hui développés de distancer une grande partie du monde sui n’a pas suivi les même changement au même moment

se donne une ecriture et un langage et cest transmettre par des signes et ce qui se transmets par la voix et qd un peuple a la capacite intellectuel comme un suremer de transmet par ecrit et oralement a la generation suivante alrs que commence l accumulation de ces connaissances par ecrit une transmission du savoir qui augment de generation par generation. Et donc les egytiens qui ont connue l ecriture sacré qui le lot de 2 ou 3%de la population permet au savant de la generation suivante de connaitre

sont mal vues par la religion. 2. Louis XIV (17eme siècle) Grand acteur de la mode car ce roi de la démesure prends rapidement conscience de la supériorité delà France en matière d'art décoratif. La France rayonne car elle est vu comme la capitale du bon goût et des plaisirs. Il impose la politique de centralisation en important les savoirs faire d'autres pays à Paris afin de montrer sa puissance et supériorité aux visiteurs étranges (marketing). "La mode est pour la France ce que les

il faut importer le moins possible et exporter le plus possible. Le commerce international est vu comme une arène conflictuelle mais s’avère toutefois nécessaire parce que les exportations constituent un bien pour le pays (source d’or, d’argent, accumulation de monnaies). Les importations représentent un mal pour le pays car elles riment avec sortie de devises (appauvrissement du pays par conséquent). Cette doctrine ne s’appuie pas sur la fermeture des nations mais à une politique d’ouverture par la

cette idée d’étapes dans les années 1950 avec ROSTOW. Il y a également l’idée qu’il n’y a pas de rétrogradation possible d’une étape à l’autre. C’est un phénomène cumulatif : cumulation de richesses et de facteurs de production (capital et travail). Il y a une accumulation de savoir-faire qui ne se traduira pas du progrès technique, qui lui-même entrainera du progrès technique. L’idée d’accumulation de savoir-faire permet d’expliquer l’idée qu’il n’y a pas de rétrogradation d’un stade à l’autre,

Chapitre 3 : Accumulation du capital, progrès technique et croissance Problématique du chapitre : Dans quelle mesure le PT est-il une solution pour l'humanité ? I/ Les différents types d'innovations : L'inventeur de la typologie des innovations est J-A Schumpeter. Il parle de destruction créatrice. Le progrès technique est vu jusqu'en 1945 comme le progrès de l'humanité, c'est le positivisme.. Mais avec la bombe d'Hiroshima le PT tétanise c'est la fin du positivisme. Thèmes | Aspects