Achéens

ne se contentent pas des lieux communs. chronologie : fin 3e millénaire : installation de peuples parlant grec, dans la péninsule grecque actuelle.  vague successives du sud de la russie actuelle, les immigrants ( les premiers sont les achéens ) se sont mêlés aux autochtones  contribuent à modeler la civilisation du BRONZE de la période ( 1400 1200 avt JC) = civilisation mycénienne car principaux centres dans le Péloponnèse à Mycènes, Pylos, Argos… forme primitive de grec

pas que des étrangers puissants y acquissent le moindre crédit. Je n'en veux pour preuve qu'un seul exemple. Qu'on voie ce qu'ils firent dans la Grèce : ils y soutinrent les Achéens et les Étoliens ; ils y abaissèrent le royaume de Macédoine, ils en chassèrent Antiochus ; mais quelques services qu'ils eussent reçus des Achéens et des Étoliens, ils ne permirent pas que ces deux peuples accrussent leurs États ; toutes les sollicitations de Philippe ne purent obtenir d'eux qu'ils fussent ses amis, sans

pas que des étrangers puissants y acquissent le moindre crédit. Je n'en veux pour preuve qu'un seul exemple. Qu'on voie ce qu'ils firent dans la Grèce : ils y soutinrent les Achéens et les Étoliens ; ils y abaissèrent le royaume de Macédoine, ils en chassèrent Antiochus ; mais quelques services qu'ils eussent reçus des Achéens et des Étoliens, ils ne permirent pas que ces deux peuples accrussent leurs États ; toutes les sollicitations de Philippe ne purent obtenir d'eux qu'ils fussent ses amis, sans

pas que des étrangers puissants y acquissent le moindre crédit. Je n'en veux pour preuve qu'un seul exemple. Qu'on voie ce qu'ils firent dans la Grèce : ils y soutinrent les Achéens et les Étoliens ; ils y abaissèrent le royaume de Macédoine, ils en chassèrent Antiochus ; mais quelques services qu'ils eussent reçus des Achéens et des Étoliens, ils ne permirent pas que ces deux peuples accrussent leurs États ; toutes les sollicitations de Philippe ne purent obtenir d'eux qu'ils fussent ses amis, sans

que des étrangers puissants y acquissent le moindre crédit. Je n'en veux pour preuve qu'un seul exemple. Qu'on voie ce qu'ils firent dans la Grèce : ils y soutinrent les Achéens et les Étoliens ; ils y abaissèrent le royaume de Macédoine, ils en chassèrent Antiochus ; mais quelques services qu'ils eussent reçus des Achéens et des Étoliens, ils ne permirent pas que ces deux peuples accrussent leurs États ; toutes les sollicitations de Philippe ne purent obtenir d'eux qu'ils fussent ses amis

inventée par Homère. Jusqu'à ce que les coups de pioche d'un archéologue allemand, Heinrich Schliemann [1822-1890] mettent à jour les ruines de Troie (en Asie Mineure, à proximité de l'Hellespont – actuelle Canakkale en Turquie), puis les vestiges achéens de Mycènes et Tirynthe, dans le Péloponnèse. II. Une vision déformée, travestie ou allusive du réel ? A. Les romans nous proposent une vision de la société exaltée, sublimée ou critique Cependant la vision suggérée des événements

Mentor, et Télémaque arrivent à Pylos où ils reçoivent cordial accueuil. Télémaque répond à Nestor sur le but de son voyage et le prie de lui apprendre ce qu'il sait sur son père. Nestor lui conte les épreuves subies devant Troie et le retour des Achéens. Mais il ne sait rien d'Ulysse. Ils s'entretiennent sur les prétendants, les chances de vengeance et sur le retour d'Ulysse. A la demande de Télémaque, Nestor lui explique comment l'abscence de Ménélas rendit possible le meurtre d'Agamemnon. Le lendemain

TD4 Antiquité : La cryptie à SparteINTRODUCTION Le premier document est un récit biographique nommé Vie de Lycurgue et écrit par Plutarque entre 100 et 120. Ce récit fait en réalité partie d’une oeuvre de Plutarque nommé Vies parallèles ou Vie des hommes illustres , cette oeuvre est composée de 46 récits biographiques, chaque récit biographique étant mis par paire et comparant un grec et un romain, le romain

Panopolis, Tryphiodore et Quintus de Smyrne. Les anciens romanciers comme Parthénios de Nicée, Longus, Apulée et Héliodore. La complexité de la mythologie grecque est probablement due à la multiplicité des influences : babyloniennes, minoennes, achéennes, autochtones… À partir de ces influences diverses s'est forgée une multitude de récits que l'on pourrait qualifier de « nationaux », propres à une cité (le cycle thébain pour Thèbes, le cycle héracliéen pour Sparte). Toute l'activité des mythographes

Naxos (vers 734), Leontinoi et Catane (vers 728) en Sicile. On peut rappeler aussi les colonies corinthiennes de Corcyre, sur la côte illyrienne, et Syracuse (vers 733) en Sicile, et ici encore la colonie mégarienne de Mégara Hyblaea (vers 727). Les Achéens s’établissent en Italie du Sud, à Sybaris et Crotone (dernier quart du viiie s.). D’autres Grecs participent à cette entreprise coloniale. Les Rhodiens et Crétois fondent Géla, en Sicile (vers 688). Les habitants de la Locride fondent Locres Épizéphyrienne