Acidose

(L’entreposage et l’irradiation des CGR favorise l’accumulation de potassium. Les nouveau-nés sont les plus à risque.) | Mesure du taux d’électrolytes et électrocardiogramme. * Suggestion : traitement pour abaisser le taux de potassium sérique | Acidose métabolique | * Choc * pH des produits sanguins | Mesure du pH du patient. * Rétablissement de l’équilibre acido-basique, si nécessaire | Adaptation autorisée du manuel de transfusion du personnel infirmier de l’hôpital St. Michael’s de Toronto

agitation…), dépression du système nerveux central, des difficultés respiratoires, une perte partielle de la mémoire. Ces symptômes s’accompagnent généralement de nausées et de vomissements et de douleurs digestives. L’individu ressent par la suite une acidose marqué : un déséquilibre acido-basique dans l’organisme. Sa respiration s’accélère et s’amplifie. Quelques jours après l’intoxication au méthanol apparaissent les premières complications visuelles. Le diamètre de la paupière augmente considérablement

Gonalgie : douleur du genou Syndrome de menace = menace d’infarctus du myocarde. On appelle également cela  l’état de mal angineux .Cela veut dire un ensemble de signes qui font craindre un infarctus imminent par bouchage d’une artère coronaire. Acidose lactique : taux de lactate sanguins supérieure à 7 mmol par litre et une acidité (pH) dosé dans le sang, circulant dans une artère, inférieure à 7,25 mmol par litre. Autrement dit, il s'agit d'une forme particulière d'acidose (acidité trop élevée

orientation clinique n’a aucune rentabilité en raison d’une faible sensibilité et spécificité. Jusqu’à 50 % des crises convulsives ont un EEG négatif [55]. À l’opposé, les sujets âgés asymptomatiques ont une anomalie dans 40 % des cas [19, 40]. Une acidose lactique transitoire est évocatrice. Le diagnostic peut être très difficile si la crise est atypique. Les crises akinétiques, rares chez l’adulte, apparaissent comme une syncope brutale parfois sans syndrome postcritique. Les crises comitiales partielles

glutamate-glyoxylate aminotransferase ; GO : glycolate oxydase ; GR : glyoxylate ´ ´ ´ ´ reductase ; HPR : hydroxypyruvate reductase ; LDH : lactate deshydrogenase. ´ ´ ´ l’alteration de la fonction renale : anemie, retard statural, ´ ´ decouverte d’une acidose metabolique ou d’une augmentation ´ ´ ´ ´ de creatininemie. Outre les consequences des episodes d’obstruc´ ` ´ tion et d’infection lies a la presence des lithiases, l’insuffisance ´ renale est le fait d’une atteinte tubulo-interstitielle progressive

capacité vitale post chirurgie une augmentation de production de C02 : sepsis, frissons. L’hypercapnie se manifeste cliniquement par une hypertension artérielle, des troubles de la conscience, des sueurs, une hypopnée voire apnée, entrainant une acidose respiratoire. Elle se traite par une antagonisation immédiate des curares et des morphiniques selon le tableau clinique, une prise en charge de la douleur adaptée et une prévention de l’hypothermie. - L’inhalation bronchique du contenu gastrique

d’homéostasie. Racines • ANGI(O), AZOT(O), CALCI, CYST(O), ÉRYTHR(O), GLOMÉRUL(O), GLYC(O), HÉMAT(O), HÉM(O), INSULIN(O), KALI, LEUC(O), LIP(O), NATR(O), NÉPHR(O), PROTÉIN(O), PYÉL(O), SIDÉR(O), THROMB(O), URÉTÉR(O), URÉTR(O), UR(O). Termes médicaux • Acidose et alcalose, anurie, azotémie, calciurie, diurèse, érythropénie, glycosurie, hématurie, hyper et hypocalcémie, hypercholestérolémie, hyper et hypoglycémie, hyper et hypokaliémie, hyper et hyponatrémie, hyper et hypoprotéinémie, hyper et hyposidérémie

doit être évoquée en cas de symptômes inexpliqués : asthénie inexpliquée, fatigabilité à l’effort, altération de l’état général, dyspnée, myalgies, de troubles digestifs ou élévation des transaminases et des CPK, insuffisance rénale, traduisant une acidose métabolique, notamment liée aux INTI (surtout stavudine et didanosine). Elle est confirmée par le dosage des lactates. HAS / Service des affections de longue durée et accords conventionnels décembre 2007 14 Guide ALD « Infection par le virus

l’hémoglobine dans les urines. Elle est relativement rare et s’accompagne généralement d’une anémie sévère. L’acidose Elle est probablement due à l’anoxie tissulaire avec utilisation de voies métaboliques anoxiques générant de l’acide lactique. Cette acidose métabolique, si elle est importante, se traduit par une respiration profonde de type Kussmaül et par une odeur aigrelette de l’haleine. 8 L’hypoglycémie L’hypoglycémie serait due à une diminution de la néoglucogenèse hépatique ou résulterait

endocrine, cellule cible, récepteur. • Hormone, insuline. • Diabète insulinodépendant et diabète non insulinodépendant. • Examens hématologiques et biochimiques. On choisit de ne traiter que la régulation de la glycémie comme exemple d’homéostasie. • Acidose et alcalose, anurie, azotémie, calciurie, diurèse, érythropénie, glycosurie, hématurie, hyper et hypocalcémie, hypercholestérolémie, hyper et hypoglycémie, hyper et hypokaliémie, hyper et hyponatrémie, hyper et hypoprotéinémie, hyper et hyposidérémie