Acte 3 Scene 6 Illusion Comique

Khôlle n°6 Alain Vingt leçons sur les beaux-arts 1re leçon (L’imagination aveugle qui cherche l’objet) • Monde des Beaux-arts = monde d’énigmes mais pourtant facile à décrire (monuments, tableaux, sculptures, poèmes, symphonies…). Va s’inspirer de Kant (Critique du jugement) et de Hegel (Cours d’esthétique). Mais contrairement à Kant, va essayer de réintégrer le sublime dans le beau ; contrairement à Hegel, pas de fil historique (Arts symbolique surtout architectural, classique surtout

l’étudiant qui est aux commandes des boutons lui repose les questions avec plusieurs propositions et il doit retrouver le bon mot. Quand il répond faux, l’étudiant lui envoie une décharge qui augmente à chaque fois. A la fin de l’expérience, on observe que 2/3 des étudiants obéissent. Quand une information passe, 90% des étudiants obéissent. C’est une bureaucratie. Le régime antique moderne par les préoccupations constances de ne jamais perdre la totalité fournie les conditions d’une compréhension de l’existence

Nous nous limiterons aux domaines britannique et français et à la mise en écriture par les écrivains des Empires d’Asie, Inde et Indochine. La colonisation a d’abord été une question de langage et l’on a souvent associé impérialisme et textualité [3] car la langue européenne constitue le standard linguistique et la référence absolue. Mais la littérature coloniale peut aussi constituer un moyen de redonner la parole à l’Asie alors que, traditionnellement, c’est l’Occident qui, selon Edward Said,

parle de « Comic-Books » ou même de « Comics » c’est pour faire référence aux bandes dessinées américaines qui mettent en scène des super héros, mais il n’en a pas toujours été ainsi. Le mot « Comic » apparaît en Amérique à la fin du siècle précédent, il désigne alors les séries périodiques qui paraissaient dans le journal chaque dimanche. Leur nom fait référence au caractère comique des histoires qu’elles relatent. Le personnage le plus connu et le plus représentatif de ce nouveau média est le « Yellow

le traitement de textes Microsoft Word 2001 pour Macintosh. Mise en page sur papier format LETTRE (US letter), 8.5’’ x 11’’) Édition complétée le 8 avril 2002 à Chicoutimi, Québec. Karl MARX (1850), Les luttes de classes en France (1848-1850) 3 Table des matières Note Introduction par Friedrich Engels Karl MARX : les luttes de classes en France I. De février à juin 1848 1. La défaite de juin 1848. 2. République française! Liberté, Égalité, Fraternité! II. De juin 1848 au 13 juin 1849 III

chez le roi, chez le pauvre, chez des gens mariés, dans une église ; enfin aux bords du Gange pour y connaître tour à tour la volupté et l'ambition) finissent par tomber l'un et l'autre amoureux de la même femme. Mais ils sont supplantés par Yuk, un comique, le dieu du grotesque. Cette femme, c'était « la Vérité » et le tout devait finir « par un accouplement monstrueux. » Commentaire L'enfantement de cette œuvre fut douloureux pour Flaubert comme il l’avouait dans une lettre à un ami : « Je ne

........ 2 : Le récit (2) : narrateur et point de vue .................................................. 3 : Le roman : présence des personnages ................................................. 4 : Le théâtre : du texte à la scène ............................................................ 5 : Du théâtre au cinéma .......................................................................... 6 : L’argumentation : exprimer une opinion ............................................. 7 : L’argumentation

n’est pas réducteur). Thème : le désir et la loi. Exercices : - Dissertation comparée : 3 œuvres à confronter + citations ; exemples précis issus des 3 œuvres. - Extrait d’un texte : commentaire composé incluant des analyses lexicales, symboliques… (différent de l’explication linéaire). - Oral : exposé en binôme portant sur l’ensemble des œuvres/ ou commentaire composé. Présentation des 3 œuvres : Ce sont des romans européens proches, mais aussi éloignés par leur date et leur esthétisme

l’horreur de cette solitude. Là je trouvai la Dentaire heptaphyllos, le Ciclamen, le Nidus avis, le grand Lacerpitium et quelques autres plantes qui me charmèrent et m’amusèrent longtemps. Mais insensiblement dominé par la forte impression des objets[3], j’oubliai la botanique et les plantes, je m’assis sur des oreillers de Lycopodium et de mousses, et je me mis à rêver plus à mon aise en pensant que j’étais là dans un refuge ignoré de tout l’univers où les persécuteurs ne me déterreraient pas. Un

mes pieds ; je ne sais ce qui me prit, mais je la ramassai sans que mes camarades s’en aperçussent et je la mis précieusement dans ma veste. Première sottise ! Prosper Mérimée, Carmen, 1845. Texte 2 Au début de la nouvelle, le narrateur met en scène Robert de Tressignies, un aristocrate libertin et quelque peu blasé. Intrigué et fasciné par la beauté et le comportement provocant d’une prostituée, il se met à la suivre dans les rues de Paris. ½¼ ½ Tressignies se disait confusément tout