Acte 3 Scène 3 Tartuffe Tirade

pour belle ». Il lui fait comprendre aussi que la poésie peut la transformer  : « Pour n’avoir pas trop d’alarmes », « pourraient bien durer encore », « Qu’autant que je l’aurais dit ». Le texte de Ronsard fonctionne de la même façon. B  – Le chiffre 3 dans le premier vers. – Les trois motifs. – Le changement de place des trois motifs à la façon d’un carré magique. – Les trois refrains. C   L’opposition de taille entre les deux animaux (« de belle taille » / « Elle, qui n’était pas grosse en tout

MOLIERE : DOM JUAN : ACTE IV SCENE 3 : M. DIMANCHE Introduction : Jean-Baptiste Poquelin est un dramaturge français du XVIIème siècle. En 1644, il prend le surnom de « Molière ». Ecrite en riposte de l'interdiction de Tartuffe en 1664, la pièce « Dom Juan » est jouée pour la première fois en 1665. Cette pièce remporte un grand succès mais elle est censurée pour athéisme et hypocrisie. L 'extrait que nous étudions est « tiré » de la scène 3 de l'Acte IV. Dans cette scène, Dom Juan est chez

acteurs » tirée d'une comédie (Les Fourberies de Scapin) et une « liste des acteurs » tirée d'une tragédie (Bérénice) ; – deux dénouements (celui du Menteur et celui d’Andromaque) ; – deux préfaces de contemporains de Corneille (Molière, préface du Tartuffe ; Racine, préface de Phèdre). Des passages de la Poétique d'Aristote pourront être également proposés afin de montrer combien le théâtre de l'âge classique est héritier des préceptes du théoricien grec. LE CONTEXTE ESTHÉTIQUE : L'ESPRIT BAROQUE Il

que jouant un rôle dans la société]) Le comique est une tonalité : - qui part d’une anomalie (un excès, un effet de surprise comme la chute, une gaucherie physique, la répétition [verbale par exemple] ; par exemple, le personnage de Tartuffe dans « Tartuffe », il y a quelque chose de déréglé) - qui conditionne une distance affective qui rend possible le rire (par exemple : Arnolphe dans « L’Ecole des femmes » a des sentiments sincères, ce qui rend nécessaire des procédés. - où

Dom Juan : c’est un « grand seigneur méchant homme » à la conduite scandaleuse. Un impie, un débauché qui séduit les femmes, les épouse et les abandonne. ♦ Scène 2 : Dom Juan apparaît sur scène. Sganarelle désapprouve la conduite de son maître qui vient d’abandonner sa femme Elvire. Dom Juan se lance alors dans une longue tirade : la fameuse profession de foi du séducteur. Il expose sa philosophie de l’amour : la fidélité est une prison. Il fait l’éloge de l’inconstance amoureuse. Il

que par et pour sa représentation. L’étymologie même du mot théâtre renvoie au grec theomai qui signifie regarder et renvoie au lieu de la représentation, la scène. Antonin Artaud, dans le Théâtre et son double , en 1938, déclare pourtant que le théâtre en Occident, est un théâtre de la Parole, que la mise en scène est inférieure au texte, et que « le théâtre n’est qu’une branche de la littérature ». Le théâtre occidental n’est-il qu’un théâtre de la parole ? Nous verrons

Comédie =>Molière => Créée et mise en scène en 1665, a Paris au Théâtre du Palais royal. Moment critique dans l’histoire du dramaturge => Interdiction de Tartuffe => pressions des dévots, compagnie du Saint sacrement => La pièce s’attaque à l’hypocrisie des faux dévots. Molière => auteur, acteur, directeur de troupe. => Pour renflouer ses caisses =>Mythe moderne de DJ : sujet a la mode pour son libertinage. La tirade de DJ, éloge de l’inconstance. Acte 1, scène 2 DJ répond à S, avec un éloge de

Commentaire Dom Juan Acte I scène I Proposition 1 : Plan : I) Une scène d'exposition séduisante A. Lieu, temps et action : un effet d'ouverture B. Un incipit qui séduit car surprenant avec l'éloge paradoxal du tabac II) Les deux valets = des personnages comiques A. Gusman B. Sganarelle : un poltron, hypocrite, commérant, pédant III) Le portrait du grand absent : DJ : cette rencontre en attente fonctionne comme un désir de rencontrer en vrai le personnage A. Un homme infidèle

violence contre laquelle il défend les citoyens, et n’a donc pas à se soumettre à la loi qu’il défend. Aussi ne sera-t-on pas étonnés de voir que Dom Juan présente lui-même sa séduction des femmes comme une succession de conquêtes militaires (Acte 1, scène 2). Inversement d’ailleurs la guerre n’est-elle pas également alors avant tout un spectacle, dont le magnifique agencement chorégraphique sera raillé par Voltaire dans Candide au siècle suivant ? En même temps on sait que suite aux excès de

| |[masquer] | |1 Personnages | |2 Résumé | |3 Réception | |4 Intentions de Molière | |5 Analyse de l'œuvre | |5.1 Dom Juan