Acte Instrumentaire

communautaire (donc contrôle de conventionalité). Le JA vérifie si la directive respecte bien ce principe communautaire/constitutionnel. Si ce n’est pas le cas, il doit saisir la CJUE. CE, 1936, Arrighi Le JA ne peut pas vérifier la constitutionnalité d’un acte administratif pris en application d’une loi car cela reviendrait à exercer un contrôle de constitutionnalité (théorie de l’écran législatif) CE, 2009, CRIIGEN L’écran législatif peut être contourné dès lors que la norme constitutionnelle est postérieure

PARTIE 1 La vente commerciale est le plus courant des contrats commerciaux. Elle correspond à l’acte de commerce type. Il s’agit d’un acte de commerce par nature. Le code de commerce ne l’a réglemente pas. On trouve donc ses sources dans le code civil, dans les lois et règlements spéciaux et dans les usages. Dans ce cas, la question de la vente internationale ne sera pas abordée. Il faudra donc envisagé dans cette partie, d’abord la formation des contrats de vente puis les obligations de l’acheteur

chose FRUCTUS : Le droit d’en retirer les fruits ABUSUS : le droit d’en disposer, c’est-à-dire de la vendre, de la donner, ou de la détruire. Droit réel accessoire: En quelque sorte, une sureté pour le créancier (hypothèque, droit de gage,…) ACTE JURIDIQUE Article 1108 : Formalisme, Consensualisme de l’AJ Quatre conditions sont essentielles pour la validité d'une convention : Le consentement de la partie qui s'oblige ; Sa capacité de contracter ; Un objet certain qui forme la matière de

être retenue, le premier sens est la notion de devoir ou d'obligation de nature morale ou d'obligation légale. Il ne s'agit pas d'obligation civile car il n'y a pas d'obligation de créancier. On utilise le terme d'obligation au sens d'un écrit, d'un acte qui sert de preuve. Elle peut être constaté en droit des affaires. Ce terme est utilisé pour représenté une valeur mobilière qui constate une prestation. On parle donc d'un marché des obligations représentatif d'emprunt. Un deuxième sens est parfois

retrait d’un acte administratif équivaut à l’annulation de cet acte par l’autorité administrative. Opérant « AB INITIO », le retrait anéantit l’acte dès l’origine et supprime ses effets aussi bien passés que futurs. L’acte retiré disparait totalement de l’ordonnancement juridique. Par l’étendue de ses compétences, le retrait se distingue de l’abrogation. Les règles du retrait sont d’une certaine complexité. Elles prennent en compte 3 distinctions : Distinction entre acte créateur de

propriétaire c'est-à-dire qu’il a un titre, mais ce dernier est nul. La prescription est de 10 ans s’il habite dans le ressort de la cour d’appel et de 20 ans sinon. c. comment justifier la prescription acquisitive s’il n’existe pas de titre Par un acte de notoriété signifié par un notaire et signé par un témoin. Enfin il convient de préciser que si le droit de propriété qui s’exerce sur les choses corporelles meubles et immeubles est en principe perpétuel il n’en est pas de même pour les propriétés

l’autre (le débiteur) une prestation de faire quelque chose, ou une abstraction. Cette obligation peut avoir comme origine un acte juridique, c'est-à-dire une manifestation de volonté accomplie, en vue de produire des effets de droit. Il peut s’agir d’un acte unilatéral émanant d’une seule personne (ex : testament). Mais en droit des affaires il s’agit pratiquement toujours d’un acte bilatéral qui se forme par la rencontre de volonté d’au moins 2 personnes Partie 1 : Le contrat et sa formation Titre

devant le Tribunal de Strasbourg était bien recevable. La CAA va donc effectuer ce contrôle dans son premier considérant mais de manière très expéditive notamment parce qu'elle ne cherche pas préalablement à définir si oui ou non l'acte visé est bien un acte administratif unilatéral. Elle aurait notamment pu s'interroger sur la nature de la Poste et du statut du Directeur du Centre financier de la Poste qui a édicté l'acte. On pourrait penser que la Cour considère la nature administrative de l'acte comme

TD5Strat Le pouvoir réglementaire depuis 1875. Le pouvoir règlementaire est la compétence attribuée à l’administration pour édicter des règlements, et la compétence est le pouvoir déterminé par une norme contrôlé par le juge. Un règlement est un acte administratif unilatéral à portée générale. Depuis 1875, le pouvoir règlementaire a évolué de façon significative. L’année 1875 marque le passage à la Troisième République. Concernant le pouvoir règlementaire, il semble nécessaire de rappeler la

non-rétroactivité des actes administratifs est un principe général de droit consacré par le Conseil d’Etat, dans sa décision d’Assemblée «Société du journal L’Aurore» en date du 25 juin 1948 mais également par le Conseil Constitutionnel. Cela signifie qu’un acte, réglementaire ou individuel, ne peut produire d’effets pour le passé, c’est-à-dire avant sa publication ou sa notification. Est donc également concerné l’acte de modification, qui, comme l’acte d’abrogation, trouve son fondement dans le principe d’adaptabilité