Acteur De Bonne Foi Scene 13

les ouvrages que j'ai donnés au public, il n'y en a point qui m'ait attiré plus d'applaudissements ni plus de censeurs que celui-ci. Quelque soin que j'ai pris pour travailler cette tragédie, il semble qu'autant que je me suis efforcé de la rendre bonne, autant de certaines gens se sont efforcés de la décrier. Il n'y a point de cabale qu'ils n'aient faite, point de critique dont ils ne se soient avisés. Il y en a qui ont pris même le parti de Néron contre moi. Ils ont dit que je le faisais trop cruel

Face à la Bible et ses problèmes d’interprétation, Saint-Augustin est un des premiers à avoir affirmé une règle herméneutique : « Tout ce qui, dans la parole divine, ne peut se rapporter au sens propre, ni à l’honnêteté des mœurs ni à la vérité de la foi, est dit, sachez le bien, au sens figuré »[2]. Le Cantique des Cantique est peut être le texte biblique qui illustre le mieux cette règle par le fait qu’il met à mal la question du canon par son érotisme, son humanité et l’absence de Dieu. Cette interprétation

amitié fait penser à une expérience mystique – élection divine - Une expérience chimique avec « quintessence » - Mélange chimique -> « mélange » (l. 7), « confonde » (l. 6), « quintessence » (l. 37) III - Une amitié indicible « ne sais quelle » l. 13 « je crois par … » l. 19 « je ne sais quelle » l. 37 -> amitié indicible - Amitié ineffable car parfaite (elle n’a aucun modèle). - « Parce que c’était lui ; parce que c’était moi » -> vers blanc (seul), parallélisme, alexandrin : définition poétique

...............................................9 Introduction.......................................................................................12 Acte premier......................................................................................13 Acte deuxième...................................................................................26 Acte troisième....................................................................................42 Acte quatrième..................................

est d’origine religieuse, il naît sous le signe du Dieu Dionysos. Cf : littérature comparée. Les textes eux-mêmes mettent en scène des Dieux et surtout des hommes qui subissent la colère des Dieux. Il y a un côté sacrificiel et même rituel pour un Dieu. En même temps le théâtre est fait aussi pour un bénéfice sur l’homme, purger l’homme des passions en les jouant sur scène : la catharsis. Le théâtre est né d’un rituel religieux et donc d’abord de danse et de chant en rond, un rite autour d’un

de comédie et son maître. La pièce soulève des questions politiques et sociales qui intéressent encore aujourd’hui les metteurs en scène contemporains. Problématique d’étude La principale question à laquelle nous tenterons de répondre dans cette séquence consacrée au Mariage de Figaro est la suivante : « Quelles relations entre maîtres et valets sont mises en scène dans Le Mariage de Figaro ? » Cette question nous invitera à formuler plusieurs réponses car la pièce de Beaumarchais, célèbre pour

 maître-­‐valet  est  devenu  indispensable  à  la  comédie.     1.1.1.1 Avant  le  XVIIème     Dans  l’Antiquité,  «  la  comédie  nouvelle  »,  du  IV°  au  II°  siècle  av.  J.-­‐C.,  met  en  scène  le  couple   maître-­‐serviteur.   Ménandre   dans   la   Grèce   Antique   et   Plaute   et   Térence   dans   la   Rome   Antique  font  des  valets  et  des  servantes  des  types  comiques,  au

les subtilités de leur esprit au coeur de VOTRE ALTESSE ROYALE. Mais, Madame, ce n'est pas seulement du coeur que vous jugez de la bonté d'un ouvrage, c'est avec une intelligence qu'aucune fausse lueur ne saurait tromper. Pouvons-nous mettre sur la scène une histoire que vous ne possédiez aussi bien que nous ? Pouvons-nous faire jouer une intrigue dont vous ne pénétriez tous les ressorts ? Et pouvons-nous concevoir des sentiments si nobles et si délicats qui ne soient infiniment au-dessous de la noblesse

[page 2] L’histoire de Peau d’âne [page 4] Des personnages à plusieurs facettes [page 5] Peau d’âne Texte et mise en scène de Jean-Michel Rabeux © M. Kuhn à la MC93 de Bobigny, du 16 novembre au 4 décembre 2012 Édito Longtemps considéré comme mineur, le théâtre dit « jeune public » ou « tout public » retient aujourd’hui l’attention croissante de grands metteurs en scène. Olivier Py, Joël Pommerat, Jean-Michel Rabeux, Emmanuel Dermarcy-Mota, autant d’artistes qui ne dédaignent plus cette dimension

indications « paraît au fond », « entrant par le premier plan à droite », « sortant par le fond » situent les acteurs sur la scène et décrivent leurs déplacements. L’indication « seul » souligne que Caboussat ne commence à parler qu’après que Jean est complètement sorti de scène. Le chou et la betterave sont les deux accessoires nécessaires dont l’acteur doit jouer et que le metteur en scène et le décorateur peuvent mettre plaisamment en valeur. « Embarrassé » et « regardant autour de lui » suggèrent