Acteurs De La Délocalisation Et Leurs Bénéfices

socio-économiques Avril 2009 Rapport de recherche Mondialisation et délocalisations d’emplois Philippe Hurteau, chercheur 1710, rue Beaudry, bureau 2.0, Montréal (Québec) H2L 3E7 514 789-2409 begin_of_the_skype_highlighting              514 789-2409      end_of_the_skype_highlighting begin_of_the_skype_highlighting              514 789-2409      end_of_the_skype_highlighting · www.iris-recherche.qc.ca Mondialisation et délocalisations d’emplois Sommaire La crise économique qui frappe de plein

2003 contre 598 millions d’euros en 2001. - bénéfice net en hausse de 111,3% à 179 millions d'euros... Sa prévision pour 2004 serait en augmentation de 40%. - Le groupe compte 6 000 salariés répartis dans 40 pays. Ressources : - financières : L’action Puma est passée de 60 euros en février 2003 à la bourse de Frankfort, à un peu plus de 140 euros aujourd’hui. - industriel : après une phase de restructuration sévère, de 1993 à 1998, à base de délocalisations en Asie du sud-est. Le groupe a fait des économies

Augmentation des cotisations sociales, augmente le cout du travail qui augmente le prix des produits Cependant les entreprises peut compétitives perdent des marchés et sont donc obligées de licencier. Le coût du travail trop élevé est un facteur de délocalisation. => elles se révèlent inefficaces dans un contexte de mondialisation car elle n’est pas adapté au contexte d’aujourd’hui les allocations chômage coutent chers et surtout incitent selon les libéraux les chômeurs à ne pas travailler. Il faut

joint-venture, c’est-à-dire d’une filiale commune à deux entreprises de deux nationalités distinctes. Parfois l’IDE amène l’entreprise initiatrice à transférer son activité de production du pays d’origine vers un autre pays. On parle alors de délocalisation. Mais la multinationalisation se réalise aussi par la mise en place de « réseaux d’alliance » entre une ou plusieurs entreprises « centre névralgique » et un ensemble d’entreprises liées à celle(s)-ci par des contrats (sous-traitance, franchise

salariés. Et selon le statut choisi par cette dernière, les acteurs peuvent être confondus ou non. Ces deux capitaux sont les piliers indissociables de l’entreprise. Le capital financier a longtemps été considéré comme le plus important dans une entreprise, il est détenu par les actionnaires qui risquent leurs capitaux en les investissant et sont rémunérés en fonction de leur apport sous forme de dividendes, sur la base des bénéfices réalisés par cette entreprise. Il sert à financer le capital

Scénario 1 : La conquête de nouveaux marchés 3 Scénario 2 : Opportunités de savoirs et économiques 4 Présentation du marché mondial de l’automobile en 2014 6 La montée en puissance d’acteurs nouveaux 6 Les innovations majeures du marché 7 Les 5 premiers acteurs du marché de l’automobile fin 2014 : 8 Analyse SWOT Renault : 9 Analyse SWOT Nissan : 9 Opportunités et menaces sur le marché : 10 Analyse externe : 11 Les 5 forces de Porter 13 Analyse interne – Alliance Renault Nissan 14 Capacité stratégique : VIRN

Corée, la Chine… Une diversification d’acteurs qui joue sur le commerce international. Les conséquences sur l’emploie et la croissance ne sont pas de même nature que au 19ème Siècle qui avait pour but de stimuler la croissance. Aujourd’hui les délocalisation sont industriels et tertiaire , l’activité se déplace et avec elle l’emploie. La croissance et l’emploie sont donc directement attaqué. I. Présentation Les investissements direct à l’étranger n’ont pas de définition propre. On peut dire que

irréversibles. DES MUTATIONS IRRÉVERSIBLES 68 La crise économique et financière rabote le pouvoir d’achat et consacre le low-cost. La mondialisation génère peur et incertitude et questionne nos DES MUTATIONS modèles de développement. IRRÉVERSIBLES Délocalisation, évasion fiscale, respect des salariés... les fabricants ne peuvent plus se cacher derrière leurs marques. D’autres crises : sanitaires, sociales, et écologiques viennent amplifier le phénomène. À chacun son lot de marques incriminées ici ou

provenant tout droit des méfaits de la mondialisation. Nous n’entendons parler que de fermetures d’usines, de délocalisations, de relocalisations, de faillite d’entreprises, et ce, même concernant des firmes multinationales (FMN) paraissant solides extérieurement. Le monde économique mondial a totalement changé et est en perpétuelle mutation. Le phénomène de mondialisation touche tous les acteurs de la vie économique, que ce soit les consommateurs ou les FMN. Ces dernières doivent pouvoir réagir à ses

négatif sur leur environnement. Leur but est de réaliser des bénéfices les plus importants possibles, sans se préoccuper des conséquences négatives que cela va engendrer. Le monde est dans une logique de guerre économique, on ne travaille pas ensemble, mais chacun pour soi, le but étant d’écraser ses concurrents pour prendre leurs clients. Car bien évidemment, dans une guerre il y a toujours un gagnant et un perdant. Avec les délocalisations dans les pays dont la main-d’œuvre est moins chère, la montée