Acteurs De La Délocalisation Et Leurs Bénéfices

ces deux institutions que sont le FMI et la Banque mondiale. Au moyen de leurs investissements ils placent sous leur dépendance financière les pays d’ Europe occidentale, d’Asie et d’Amérique latine * la puissance commerciale car les EU sont un acteur majeur des échanges internationaux * la puissance militaire à cause des gros moyens technologiques bombardiers, sous-marins ) mis en œuvre et des bases navales assurant aux EU la domination de l’espace maritime .Cette puissance s’appuie sur des

 Mémoire Majeur : LES FACTEURS DETERMINANTS DE LA DELOCALISATION : Etude Comparative entre l’ Asie et l’ Afrique Directeur : Monsieur Alain BIENAYME PROFESSEUR D’ ECONOMIE A L’ UNIVERSITE PARIS DAUPHINE MEMBRES DU JURY : M. ALAIN BIENAYME M. JEAN-MARC SIROËN Travail élaboré par : NOOMEN LAHIMER DEA 111 Année universitaire 2002-2003 Table des matières INTRODUCTION 4 Chapitre 1 : La théorie des IDE 6 Section 1 : Définitions de l’IDE 7

: - Les normes étatiques (nationale ou étrangère), - Les normes que l'on dit "non-étatiques" en raison du fait qu'elles ne sont pas purement étatiques mais pluri-étatiques pour les unes : ce sont les CONVENTIONS INTERNATIONALES, élaborées par les acteurs privés des relations internationales et basées sur les usages, les coutumes, le droit commercial international et la jurisprudence arbitrale. Les parties doivent, aussi, s'efforcer d'être prévoyantes lorsqu'elles rédigent leur contrat pour éviter

salaires plus bas sur le secteur auxquels ils sont rattachés (Moins de salariés et délocalisation), ce qui peut provoquer le mécontentement des salariés. De plus, la baisse des prix peut avoir de fortes répercutions sur la qualité des produits. (usage de produits de substitution) III – Etude du cas Ryanair. 1. Position de leader pour RyanairRyanair possède :• Des coûts de production inférieurs aux autres acteurs du marché dus aux effets d'expérience : et qui permettent de réaliser des économies

au cours des années soixante et soixante-dix. C’est aujourd’hui le secteur textile1 qui se mondialise et l’inquiétude grandit au rythme de l’ouverture des marchés et des délocalisations qu’elle suscite. L’entrée de la Chine dans l’OMC est à cet égard édifiante. Sans pouvoir être chiffrée précisément, la part des délocalisations dans le textile est une des plus élevées de Graphique 7 - Résultat pou l’industrie2. La suppression des quotas depuis le 1er janvier 2005 pour l’ensemble des articles textile-habillement

cinq à dix fois plus faible.  Délocalisation et nouveau modèle économique : le cas du secteur textile-habillement La revue de l'IRES Gilbert Ammar et Nathalie Roux Le secteur du textile-habillement a été marqué dans les années 2000 par d'importantes mutations. La mondialisation a abouti à un redéploiement international des firmes à la recherche de nouvelles sources de compétitivité. Le secteur a ainsi été confronté à de nombreuses vagues de délocalisations qui ont conduit à un effondrement

l’ouverture des économies : La question de la régulation : dollar faible ou euro fort ? La question de la concurrence (Boeing/Airbus) La question de l’émergence de nouveaux pays (la Chine notamment …) La question de l’emploi et des délocalisations. Mais qu’est-ce que la mondialisation ? Jacques Adda la définit comme « l’abolition de l’espace national sous l’emprise d’une généralisation du capitalisme avec le démantèlement des frontières physiques et réglementaires ». Pour Charles

verrons comment ils sont le vecteur de la nouvelle division internationale du travail. 2.2.3 - Améliorer la compétitivité hors-prix par la différenciation des produits. 2.3 - Firmes transnationales et Nations. 2.3.1 - Firmes transnationales, délocalisations et emploi dans les pays développés. (TD p 342-343) 2.3.2 - I.D.E. et développement dans les P.E.D. (doc. 6 p 326) 2.3.3 - Firmes transnationales et autonomie des Etats. (doc. 25 et 26 p 336-337) III - Mondialisation, évolutions sociales

dans le but de réaliser un bénéfice. Son existence se justifie à partir du moment où la combinaison productive qu’elle réalise est plus efficace qu’un recours direct au marché, c'est-à-dire lorsqu’il est plus rentable de faire que de faire faire. Mais le défaut de cette dernière définition est qu’elle ne fait pas apparaître les divers objectifs sociétaux que pourraient avoir par ailleurs les entreprises. On dirait que la seule chose importante est de faire du bénéfice. Tel est le problème aujourd’hui :

produits qui sont propres). Ex : FIAT et PSA pour réagir au succès du RENAULT Espace. RQ : Il est très difficile de conclure un contrat d’alliance (peur des partenaires par crainte de vol de connaissances ou compétences ou mauvais partage des bénéfices). * Stratégie fonctionnelle : détail de la stratégie générique en fonction de chaque rôle de l’organisation. * Stratégie organisationnelle : définir choix de l’entreprise en matière de système d’information, d’organisation et division