Acteurs Du Surendettement

et non supportable à long terme. La solution que von Hayek préconise est de remettre en avant les bienfaits de l'épargne et du marché libre autorégulé de manière à court-circuiter les inévitables bulles et crises systémiques liées au surendettement croissant des acteurs de l'économie. Pour lui, injecter de l'argent dans un secteur en crise reviendrait à pervertir la loi de la concurrence et du libre marché, en raison du biais que ces aides apportent sur les prix. Ces deux économistes, déjà en conflit

tranquillité » : les crises de surendettement se préparent lorsque tout va bien et que les agents économiques (entreprises, ménages…) profitent de la croissance et des taux d’intérêt bas pour emprunter parfois au-delà du raisonnable. Mais lorsque les taux d’intérêt se retournent à la hausse, en particulier du fait du resserrement monétaire, l’endettement qui paraissait soutenable, compte tenu du niveau modéré des taux, devient insupportable et vire au surendettement. Le « paradoxe de la crédibilité

billets en circulation Formation des acteurs économiques (guichetiers, commerçants…) aux signes de sécurité des billets Elle veille à la stabilité monétaire Pourquoi ? L’inflation n’est pas une solution durable La stabilité de la valeur de la monnaie favorise la confiance qui est la base des échanges économique Comment ? En surveillant la quantité de monnaie en circulation En fixant le prix de l’argent Est-ce que ça marche ? On interroge les acteurs économiques pour savoir si les décisions

coloniales) ; une mise à l'écart d'une partie du monde quand l'autre se renforce (repli de l'Amérique latine, enrichissement de la péninsule ibérique ; stagnation de l'Inde renforcement des Îles britanniques). Quels sont les moteurs, les lieux et les acteurs de cette troisième mondialisation ? I. Des moteurs traditionnels. 1. Une explosion des flux. C'est le fait majeur de toutes les mondialisations, celle-ci n'échappe pas à la règle. 1. Des flux mondiaux. 1. L'essor des flux traditionnels. •

ou comment concilier meilleure prise en compte des litiges et accroissement de la performance économique1 Georges Gloukoviezoff, Centre Walras, Université Lumière Lyon2 La question d’une médiation bancaire en France, déjà évoquée par de nombreux acteurs depuis plusieurs années, est désormais à l’ordre du jour par le biais législatif. La loi n°2001-1168 du 11 décembre 2001 portant mesures urgentes de réformes à caractère économique et financier (Murcef) contraint en effet les établissements de crédit

Paris 07 SP Tél. : 33 (0)1 40 56 83 26 www.cnle.gouv.fr 2 « Que la vie soit meilleure pour les générations futures… » S. L. « … Et pour les générations actuelles aussi. » F. H. Propos d’atelier extraits des journées Dire et réagir ensemble. Tous acteurs, tous citoyens sur nos lieux de vie Caen, 12 et 13 novembre 2009 3 SOMMAIRE INTRODUCTION 9 PREMIÈRE PARTIE 13 CHAPITRE 1 LA PAUVRETÉ : PRENDRE TOUTE LA MESURE DE SES CONSÉQUENCES À PARTIR DU TÉMOIGNAGE DE CEUX QUI LA VIVENT 15 CHAPITRE

situations d’exclusion du crédit bancaire qui a donné naissance au micro-crédit social (I). Pour fonctionner et réaliser ses objectifs de réinsertion sociale et financière, le mécanisme de micro-crédit social nécessite un partenariat entre différents acteurs (II). Partie I - Contexte et environnement du micro-crédit social : Dans le contexte où les besoins en matière de consommation sont de plus en plus importants malgré les faibles revenus de la population (A), le recours au microcrédit peut être

SOMMAIRE INTRODUCTION .…………………………………….……………………………………………………….1 I. THEORIE DE LA MICROFINANCE 1 La microfinance: quoi? 1 La microfinance: comment? 2 1. Outils 2 a) Microcrédit 2 b) Micro-assurance 2 c) Micro-épargne 3 d) Micro-transferts 3 2. Acteurs 3 a) IMF 3 b) ONGs 3 c) Banques Commerciales 4 Une ou plusieurs microfinances? 5 II. LA DUALITE DES ENJEUX ET SES CONSEQUENCES SUR LA PRATIQUE 5 Tensions entre développement social et rentabilité 5 1. Le but et la taille des prêts 6 2

de relance et donc de la consommation. Cette politique de relance ne peut plus être l’apanage des gouvernements. La relance par les dépenses publiques est une notion totalement exclue. La seule façon de relancer la consommation se fait par les acteurs privés, les entreprises et les ménages. La consommation est issue du revenu disponible. Ce niveau de revenu, conditionne largement la consommation mais également l’endettement. Il y a chez les ménages, une propension à consommer très variable

- pouvoir aider à réfléchir à son avenir, à faire des choix judicieux Pour tendre vers cette finalité, l’accompagnement de Mr se fonde sur son engagement volontaire et réciproque. Grâce à la relation de confiance que nous avons établie, Mr P., acteur de son devenir, a élaboré avec moi-même, les objectifs de son projet d’accompagnement. Ce projet est formalisé par un contrat écrit et signé par lui-même, dont les objectifs sont négociés et révisables. Il est amendable, il prévoit des modalités