Actif financier

décembre 2002 en illustrant ses principales dispositions par des exemples chiffrés. Un cas pratique destiné aux élèves de terminale Bac Pro Comptabilité et STG, ainsi qu’aux étudiants de BTS CGO et de DPECF complète cette présentation. Mots-clés : actif – avantages économiques – durée d’utilisation – immobilisation amortissable – amortissement pour dépréciation - composants – dépenses de remplacement – dépenses de gros entretien L’amortissemecimmobilisations corporelles trouve son origine en 1993

comptabilisation par composants et des provisions pour gros entretien dans les organismes de logement social (résultant du règlement n° 2000-06 du CRC relatif aux passifs et du règlement n° 2002-10 relatif à l’amortissement et la dépréciation des actifs modifié par le règlement n° 2003-07) Sommaire 1 – Détermination des composants 1.1 - Règles applicables 1.2 - Identification des composants 2 – Traitement des réhabilitations 2.1 - Traitement à la date de première application au 1er janvier 2005

Les régularisations de fin d’exercice Chaque année, en date théorique du dernier jour de l’exercice comptable, toutes les entreprises sont tenues de passer en comptabilité un certain nombre d’écritures de régularisation. I – amortissements A> Définition : les amortissements constatent la perte de valeur normale d’un bien due à l’usure. B> Type d’amortissement. On peut distinguer : 1) Amortissement constant ou linéaire qui consiste à constater une perte de valeur identique de l’immobilisation

Clients douteux ou litigieux Définition - Intitulé du compte 416 du Plan comptable général qui enregistre les créances dont le recouvrement est incertain ou celles pour lesquelles il existe un litige. Ces créances sont à distinguer de celles qui sont irrécouvrables, c’est-à-dire celles pour lesquelles la perte est définitive. Lors de l’inventaire, il est important de distinguer les créances irrécouvrables et les créances douteuses des bonnes créances et d’apprécier le risque de non-recouvrement

Pour dépréciation : Une diminution probable de valeur d’un élément d’actif NP = existe AP = 0 Constitution (Création) 619/639/659 29/39/59/15/45 Dotations …. Provisions … N.P N.P 29-39-59 B.BAIROUK NP > AP Ajustement en + Provisions Principe général d’enregistrement 619/639/659 NP = existe AP = Existe Dotations …. 29/39/59/15/45 Provisions … N.P – A.P N.P – A.P Ajustement NP < AP NP = 0 AP = existe Ajustement en - Annulation 29/39/59/15/45

MM-95880 Comptabilité : la comptabilisation des livraisons d'immobilisations à soi-même LA LIVRAISON D'IMMOBILISATIONS A SOI-MÊME Il s'agit des cas où une entreprise fabrique une immobilisation pour elle-même. exemple : une entreprise de construction fabrique son propre entrepôt. L'entreprise doit s'adresser une facture à elle-même. L'immobilisation est facturée à son coût de production. Le coût de production s'obtient en additionnant les éléments suivants (PCG 321- 13) : - le coût d'acquisition

results to the method employed (Cross sectional, vs time series, OLS, GMM and Hansen Jagannathan distance) will be proposed to complete the study described here. p. 3 1. Introduction Depuis près de quarante ans, le modèle d'évaluation des actifs financiers (MEDAF) développé par Sharpe (1964), Lintner (1965) et Black (1972) constitue sans aucun doute le modèle le plus utilisé par la communauté financière tant pour l'estimation du coût du capital, l'élaboration de stratégies d'investissement que

FINANCIÈRE Gérard CHARREAUX Tout phénomène financier peut s'appréhender comme un transfert temporel de richesse, lequel est fondamentalement risqué. Aucun agent économique n'est certain de la richesse réelle qu'il percevra à la fin du contrat qui réglemente ce transfert. Le risque encouru varie dans sa nature et dans son intensité, selon le support du transfert, c'est-àdire en fonction du type d'actif utilisé. Les deux dimensions fondamentales du raisonnement financier sont donc le temps et le risque. La

comportent également des risques inhérents au remboursement du capital ou inhérent au défaut de crédit ou au risque de taux. On le sait, Les acteurs financiers sont toujours à la recherche d'informations pour minimiser le risque dans le portefeuille. Pour cela on fait recours à plusieurs méthodes et modèles comme la méthode d'évaluations des actifs financiers (MEDAF). Face à cette situation, il importe de nous interroger sur l'incorporation d'un titre de créance dans un portefeuille face à la minimisation

acquisitions, sur la couverture de leurs risques financiers et enfin servent d'intermédiaires entre les agents économiques à capacité de financement (épargnants, investisseurs…) et les besoins de financement des entreprises. Sommaire [masquer] 1 Théorie de la finance d’entreprise 1.1 L’arbitrage risque-rentabilité 1.1.1 Rentabilité 1.1.2 Risque 1.1.3 Rentabilité exigée 1.1.4 Valeur présente 1.2 Décision d'investissement 1.2.1 Investissement financier 1.2.2 Investissement opérationnel 1.2.3