Addition électrophile

PROPRIETE DES VECTEURS EGAUX: PROPRIETE  1 Deux vecteurs non nuls sont égaux si et seulement si ils ont la même direction, le même sens  et la même norme. PROPRIETE  2 Le vecteur [pic]est égal au Vecteur [pic]si et seulement si ABCD est un parallélogramme. PROPRIETE  3 I est le milieu du segment [AB] si et seulement si le vecteur [pic] et le vecteur  [pic]sont égaux. Vinz-95130 0. Point de vue historique : Le mot « vecteur » vient du latin « vehere » (conduire, transporter) La notion

Les différentes règles de calcul Calcul d'une somme : Lorsque l'on a une addition il y a une règle de calcul. Si on a deux signes moins qui se suivent il faut les remplacer par un plus. Sinon le calcul est normal Exemple : 15-(-3)=15+3=1815-3=12 Calcul d'un produit et d'une somme : Lorsque l'on a un calcul avec une multiplication ou une division et une addition, il faut tout d'abord effectuer la multiplication ou la division. Exemple : 15*3+915/3+9 =45+9 car on fait d'abord

Projet de méthodes numériques : goutte mono-dimensionnelle Ce projet traite de la dynamique moléculaire qui consiste à simuler l’évolution d’un système de particules au cours du temps par le calcul informatique. Divers algorithmes basés sur les lois de la dynamique classique de Newton sont utilisés. Dans notre cas, c’est l’algorithme de Verlet. Dans cette méthode, les positions au temps t et (t-dt) servent à calculer les nouvelles positions au temps (t+dt). Pour cela, on étudie le modèle de

PROGRAMMATION LINÉAIRE Une société sidérurgique possède trois chaînes A, B et C qui produisent différents types de tôles montrés dans le tableau ci-dessous avec la notation qu’on utilisera pour les identifier. |Tôle |Notation | |Tôle 4/10 mm |T4 | |Tôle 5/10 mm |T5 | |Tôle 6/10 mm |T6 | |Tôle 7/10 mm |T7

Exercices relatifs au chapitre 1 : Les forces 1°) Introduction Le cours de mécanique n’est pas un cours purement théorique, il se maîtrise via la pratique de nombreux exercices. Les énoncés de ces exercices sont indépendants du chapitre théorique, afin de ne pas le surcharger. Mais les numérotations sont conservées pour garder le parallélisme ! 2°) Calcul vectoriel b. Opérations vectorielles Sortez votre papier

Cours Autocad 2008 (2) Version 1 Avril 2010 Avertissement Ce « poly» résulte de ma prise de note personnelle lors de mon apprentissage d'Autocad. Erreurs et imprécisions seront donc au RDV. C'est un « pense-bête » avant d'attaquer les incontournables ouvrages sur Autocad : on en trouve d'excellents à la bibliothèque de l'ECL. Séance 2 - (2h) 1. cotations 2. hachures Exercices - coter et hachurer l'ipod de la séance 1 - le pont de Millau 1. cotations • commencer par créer un calque

On appelle corps des nombres complexes, et on note C un ensemble contenant IR tel que : I 2 • Il existe dans C un élément noté i tel que i = - 1. I • Tout élément de C s'écrit sous la forme a + b i , où a et b sont des réels. I • C est muni d'une addition et d'une multiplication qui prolongent l'addition et la multiplication de I IR, et qui suivent les mêmes règles de calcul. Nombres complexes particuliers : Soit un nombre complexe z = a + b i avec a ∈ IR et b ∈ IR . • si b = 0 , on a z = a , z est

| |équilibre et manipuler des objets, projeter de |analyse et production d’images, dessins, cartes |repérer quelques grandes composantes musicales | |objets |techniques opératoires (addition, |(motifs, accords, variations, formes). | |à en peser la valeur |soustraction,multiplication, division euclidienne) |reconnaître une situation de proportionnalité, une | |Chevaucher

Une soustraction A - B peut s'écrire :A - B = A + (R - B) modulo R.Exemple en base 10 :529 - 412 = 529 + (1000 - 412) modulo 1000 soit 117.or 117 = (529 + 588) modulo 1000 = 1117 modulo 1000. On observe que :1/ Une soustraction se traite comme une addition si on fait intervenir le complément.2/ Il est nécessaire de formater le complément. Le bit de poids le plus fort est le bit de signe. Par convention," 0" pour le signe "+", "1" pour le signe "-". Exemples de calculs :* Notation :Exprimons le chiffre

 R). On doit  donner un sens à ; ce doit être un élément  de F(R, R) c'est‐à‐dire une fonction de R dans R. L'application          est donc définie en donnant  l'image de tout élément réel x par              , soit :  + : loi interne de F(R, R) + : addition dans R 5 Définition de la loi externe De même, si            est un nombre réel et f un élément de F(R, R),          doit être  une fonction de R dans R. Elle est définie dès qu'est donnée l'image de tout  élément de R soit :  Pour mieux comprendre le sens de cette définition